« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les chirurgiens de guerre », un documentaire de Lionel Langlade le 24/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion dans le camp de réfugiés syriens de Zaatari.

Mars 2011, début la guerre civile en Syrie. Très vite, une partie de la population syrienne fuit vers la Jordanie. Pour faire face à un afflux croissant de réfugiés, la Jordanie décide début août de créer un camp au Nord du pays. C’est la naissance de Zaatari. 70.000 personnes y vivent actuellement. Mais ils sont entre 2 et 3.000 à arriver à chaque jour.

Pour éviter une catastrophe humanitaire, la France, en accord avec l’ONU et sous tutelle de la Jordanie déclenche en août 2012 l’opération Tamour et décide l’envoi d’une antenne chirurgicale. 100 militaires au total dont une trentaine de personnel médical. Objectif : soigner les civils et les militaires quelque soit leur camp.

Christophe Hondelatte va passer plusieurs jours aux côtés des deux chirurgiens de guerre et de leurs équipes.

Il partagera leur urgence absolue pour tenter de comprendre la vie de ces hommes et femmes engagés volontaires pour une mission de deux mois.

Tout au long du documentaire, le journaliste livrera son ressenti sur ses rencontres et ses impressions à chaud sur la façon d’aborder ce métier hors du commun, au service des autres, sur une zone de conflit.

ENQUETES CRIMINELLES : « Meurtre de la banquière : Affaire Elodie Kulik », un film de Alexis De La Fontaine, le 22/05 à 20h50 sur W9

Vers minuit, le 11 janvier 2002, les pompiers de Péronne dans la Somme reçoivent un terrible appel au secours. Au bout du fil une jeune femme hurle qu’elle vient d’être enlevée. Plusieurs voix d’hommes derrière elles sont audibles, mais ses agresseurs lui arrachent son téléphone avant quelle ne puisse en dire plus…

Deux jours plus tard son corps est découvert calciné dans une décharge. C’est Elodie Kulik 23 ans, une jeune et jolie banquière de la région. Elle a été violée et étranglée. A côté de son corps les gendarmes découvrent un préservatif et un mégot.

Grâce à ces preuves l’ADN de l’un des agresseurs est identifié. Malheureusement il est inconnu des services de police… Impossible de mettre un nom dessus.

C’est le début d’une incroyable enquête qui va durer plus de dix ans. Les gendarmes ont peu de pistes. Sa famille et ses amis sont sous le choc, la jeune femme était appréciée de tous, on ne lui connaissait aucun ennemi.

Quelques heures avant le drame Élodie Kulik avait passé la soirée avec un ami au restaurant, elle avait bu un thé chez lui avant de rentrer chez elle en voiture. Son ami est mis hors de cause.

A-t-elle été suivie ? S’agit-il d’un crime de rôdeur ? A-t-elle été la proie d’un ou plusieurs prédateurs sexuels ?

L’une des pistes envisagées est celle du tueur en série Jean Paul Leconte, condamné pour deux meurtres de jeunes femmes dans la même région. Mais après vérification, l’homme est rayé de la liste des suspects. L’un des indices dont disposent les enquêteurs est le dernier appel passé par la jeune femme. L’analyse audio de cet appel permet d’affirmer que deux des hommes entendus sur l’enregistrement ont un fort accent picard. De toute évidence dans la région des gens connaissent le scénario du drame mais se taisent.

L’enquête semble dans une impasse quand en 2011 un incroyable rebondissement se produit. Pour la première fois, la justice utilise une nouvelle technique : la recherche d’ADN par parentèle. Le nom de Grégory Wiart sort. C’est bien son ADN qui a été retrouvé dans le préservatif sur la scène du crime !

Malheureusement pour l’enquête il est décédé quelques mois après le meurtre. Reste à démasquer ses complices. L’enquête sur l’entourage du jeune homme va finir par payer.

Quelques mois plus tard, Willy Bardon, un ami de Wiart est arrêté et mis en examen.

Sa voix a été reconnue par plusieurs de ses proches comme étant celle que l’on entend derrière les cris de terreurs d’Elodie Kulik dans son ultime appel à l’aide…

« Global gâchis » : sortie du livre de Tristram Stuart sur le scandale du gaspillage alimentaire, le 6 juin en librairies

Le livre de Tristram Stuart, « Waste, uncovering the global food scandal » vient d’être publié en français sous le titre « Global Gâchis, révélations sur le scandale mondial du gaspillage alimentaire ».

Le documentaire a été diffusé sur Canal+ le 17 octobre dernier sur Canal +

Alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent de malnutrition sur notre planète, un tiers de la production mondiale de nourriture est gâchée. L’ensemble des producteurs, dis- tributeurs et consommateurs des pays occidentaux jette une quantité de nourriture qui pourrait nourrir 7 fois la population qui a faim dans le monde.

Ce gaspillage, qui intervient tout au long de la chaîne alimentaire, soulève à la fois des questions environnementales, éthiques et économiques. Se poser la question du gaspillage alimentaire, c’est se poser la question de notre survie. en 2050, nous serons 9 milliards d’habitants sur terre et autant de bouches à nourrir. La production agricole doit réussir un tour de force : répondre à la forte hausse de la demande tout en pré- servant les ressources naturelles.

Le premier réflexe serait de dire que pour nourrir plus de monde, il faudrait produire plus, alors qu’il suffirait de gaspiller moins. Des solutions étonnamment simples permettraient de résoudre ce qui est devenu l’un des plus problèmes environnementaux et sociaux auxquels il est le plus urgent de faire face.

Est-on enfin prêts à considérer le gaspillage comme anormal? Tristram stuart, auteur du best-seller Waste (la référence internationale en matière de gaspillage alimentaire), nous guide dans cette enquête. en sa compagnie, nous allons en Europe, au Costa Rica, au Pakistan, aux Etats-unis ou encore au Japon découvrir des exemples affligeants de gaspillage, mais aussi de stimulantes innovations et des solutions pour tirer le meilleur parti de ce que nous produisons.
Notre mode de vie a généré une crise alimentaire mondiale. Il faut maintenant la résoudre.

« Global Gâchis », un documentaire d’Olivier Lemaire, écrit par Maha Kharrat et Tristram Stuart, sur une idée de Jean-Marie Michel, diffusé le 17 octobre 2012 à 20h50 sur CANAL +

« HONDELATTE PART EN LIVE : Dans un centre éducatif fermé », un documentaire d’Anna Salzberg le 17/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion au centre éducatif fermé de Narbonne.

Les centres éducatifs fermés ont été créés par la loi Perben le 9 septembre 2002, pour accueillir les mineurs délinquants multirécidivistes âgés de 13 à 18 ans.

Ils devaient constituer une alternative à l’incarcération automatique de mineurs en prison.

C’est à Narbonne, l’un des 45 Centre Éducatifs Fermés (CEF) en France, que Christophe Hondelatte passe plusieurs jours dans cet univers quasi-carcéral.

Jour et nuit, 24 éducateurs encadrent 12 garçons. A 17 ans en moyenne, ils ont déjà commis de multiples vols, mais aussi braquages, agressions sexuelles, ou trafic de stupéfiants.

Grâce au directeur de l’établissement et aux éducateurs, Christophe Hondelatte vit le quotidien de ces gamins sans repère.

Éducation scolaire, sports, activités physiques mais aussi suivi des procédures judiciaires en cours, Christophe Hondelatte fait tomber le masque du journaliste pour tenter de les aider et de les encourager

Capa Presse et Capa Entreprises récompensés aux Deauville Green Awards

Premier Festival International du film corporate télévisé sur la thématique de l’environnement et du développement durable, les Deauville Green Awards se sont déroulés du 16 au 18 avril 2013. Il vise à récompenser les productions engagées pour l’écologie et le développement durable issues des sociétés de production et de communication audiovisuelle.

Lors de la deuxième édition, Capa Presse et Capa Entreprises ont été récompensés :

  • Capa Presse a obtenu l’Astéria d’or dans la catégorie « Agriculture et économie verte » pour le film documentaire « Global gâchis, le scandale mondial du gaspillage alimentaire » réalisé par Olivier Lemaire, écrit par Maha Karrat et Tristram Stuart. Sur une idée originale de Jean-Marie Michel pour Canal+.
  • Capa Entreprises a obtenu l’Astéria d’or dans la catégorie « Production et consommation durables » pour le film corporate « Recycling, triez peluches », réalisé par Alex Franchet et produit par Martin Kouchner pour les Aéroports de Paris

« Intime conviction : Les jurés face au doute » un film de Sarah Lebas et Eléonore Manéglier Dessenne, le 07/05 à 22h35 sur France 2

Comment juger quand on est un simple citoyen qui ne connaît rien de la justice ? Comment se forger une intime conviction lorsqu’il y a des doutes sur la culpabilité de l’accusé ?

Ces responsabilités écrasantes sont assumées chaque année en France par plus de 20 000 personnes : de simples citoyens, tirés au sort sur les listes électorales, qui deviennent le temps d’un procès des jurés d’assises.

Ce documentaire de la collection Intime conviction suit le questionnement intime de jurés à l’occasion d’un procès d’assises qui s’est déroulé à Troyes. Convoqués pour être jurés dans une affaire de viol, des citoyens ordinaires vont découvrir qu’ils sont là pour juger un accusé qui clame son innocence depuis cinq ans, qui n’est jamais allé en prison, et qui donc comparaît libre. Cet homme reconnaît avoir eu une relation sexuelle avec une femme mais prétend ne jamais l’avoir forcée. De son côté, la plaignante prétend avoir été contrainte à une relation sexuelle, sans être consentante. Il n’y a aucun témoin, aucune preuve, c’est la parole de l’un contre la parole de l’autre.

Pour réaliser ce documentaire, nous avons obtenu l’autorisation exceptionnelle de filmer les jurés dans la salle où ils se réunissent avec le Président et ses deux assesseurs durant toute la durée du procès. Cette salle, où petit à petit, ils se forgent une intime conviction.

De cette pièce aux couloirs du tribunal en passant par le cabinet de l’avocat général et le bureau de l’avocat de la défense, nous avons pu filmer sans contrainte tous les arcanes de ce procès. Nous avons également suivi la plaignante et l’accusé durant ces deux jours de procès. Seul interdit : nos caméras n’ont pas été autorisées à filmer les débats et le délibéré.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les sauveteurs en mer », un documentaire de Sylvain Pierron le 03/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte avec les sauveteurs en mer de Quiberon.

La SNSM, Société Nationale de Sauvetage en Mer, c’est une armée de 7.000 bénévoles qui oeuvrent le long des 3.500 km de côtes françaises.

C’est à Quiberon, dans le Morbihan que Christophe Hondelatte a choisi de poser son ciré. La station est en alerte, 24h sur 24, 365 jours par an. Le journaliste part à la rencontre de ces passionnés de la mer. Bénévoles à la SNSM, ils sont pompiers, maçons ou pêcheurs et consacrent leur temps libre à risquer leur vie pour sauver celles des autres.

Christophe Hondelatte est guidé par le chef de la station, l’âme des lieux : Gérard Kerscaven, 65 ans dont 50 années passés à secourir.

Travail au simulateur, formation permanente ou exercice de survie, le journaliste n’hésite pas à se jeter à l’eau en toutes circonstances.

Il nous fait également découvrir lors de moments plus intimes, la conviction et la générosité de ces hommes et de ces femmes, prêts à mourir pour sauver une vie.

En 2012 en France, les sauveteurs en mer ont réalisé 4.920 interventions pour secourir 8.000 personnes en difficulté.

« ENGRENAGE INFERNAL : Victimes de séquestrations », un documentaire de Michaël Beurdouche le 01/05 à 20h45 sur Planète+ Justice

La liberté c’est le droit le plus fondamental de l’individu. Pourtant chaque jour, des hommes et des femmes sont séquestrés. On se souvient de Natasha Kampusch en Autriche mais ces histoires se déroulent aussi plus près de chez nous. Lydia Gouardo et Diaryatou Bah ont elles aussi été prisonnières pendant de longues années. Livrée, pour l’une, à la merci de son père, et pour l’autre, au bon plaisir de son mari, elles sont aujourd’hui libres et racontent l’enfer qu’elles ont vécu. Mais surtout, elles nous expliquent comment elles ont réussi à se reconstruire.

Un film de Michaël Beurdouche Diffusion le mercredi 1er mai à 20h45 sur Planète+ Justice

« Sur l’autoroute du soleil », un documentaire de Vincent Dupouy et Lionel Langlade, le 29/04 à 20h45 sur France 3

A quelques semaines des premiers grands départs en vacances d’été, France 3 et CAPA vous proposent de découvrir un lieu que nous fréquentons tous sans vraiment le connaître : l’autoroute.

La France possède le quatrième plus grand réseau routier du monde. Plus de 10 000 kilomètres qu’empruntent chaque année près de 130 millions de voyageurs. Pour veiller à la sécurité et au confort de ces millions d’automobilistes, près de 16 000 salariés sont mobilisés 24 heures sur 24. Résultat : les autoroutes sont quatre fois moins dangereuses que les nationales et le réseau français est le plus sûr d’Europe.

La plus emblématique de toutes les autoroutes françaises, c’est l’A7.

Un long ruban de 320 kilomètres qui traverse les plus beaux paysages du Sud de la France. C’est l’autoroute du Soleil et des vacances. Un monde qu’en général on ne fait qu’apercevoir depuis sa voiture.

Alors, pendant tout un été, des caméras ont été installées pour nous faire découvrir l’envers du décor et la vie de ceux qui, jour et nuit, veillent à son bon fonctionnement mais aussi de ceux qui inventent l’autoroute de demain.

Jean-Pierre, l’ange-gardien, patrouilleur depuis vingt ans. Dans son camion jaune, c’est le premier à intervenir en cas de danger. Enfants oubliés sur les parkings ou touristes pique-niquant le long des voies, plus rien ne l’étonne. C’est lui aussi qui prend tous les risques en allant récupérer un vélo tombé sur la voie ou en sécurisant le premier les victimes d’un accident, comme ce jour de grand départ où un camion de bonbonnes de gaz s’est renversé en bloquant le flot des vacanciers. Il ne parle aucune langue étrangère, mais se débrouille dans toutes.

« HONDELATTE PART EN LIVE : En prison », un documentaire de Jean-Marie Barrère le 26/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Pour ce numéro, Christophe Hondelatte est en immersion dans la dernière née des prisons françaises : la maison d’arrêt de Carquefou à Nantes.

570 détenus ou prévenus dont 40 femmes. 250 surveillants. Deux détenus maximum par cellule.

Pendant 4 jours et 4 nuits, Christophe Hondelatte tente de s’approcher au plus près des surveillants pour tenter de comprendre ce métier, souvent décrié.

La philosophie de la prison a changé lui explique-ton dès le début du documentaire. C’est ce que va constater le journaliste. Comment lutte t-on contre la surpopulation carcérale ? Comment parvient-on à humaniser les rapports entre les détenus et les surveillants ? Comment prépare t-on les condamnés à la réinsertion ?

Christophe Hondelatte va de surprise en surprise. Au quartier des femmes mais aussi au sein des UVF, les Unités de Vie Familiale. Des appartements trois pièces avec cuisine, salon, lits et terrasse qui permettent à certains condamnés de profiter de leur famille pour une durée de 6 à 72 heures au sein même de la prison.