[Semaine américaine sur Canal+] « D comme Débrouille aux Etats-Unis », un film de Sebastian Perez à voir le 11/11 à 15h sur CANAL +

Des chercheurs d’or en Alaska avec leurs radeaux de fortune aux habitants de Detroit, la ville où le rêve américain est devenu un cauchemar, en passant par le désert texan, Sebastian Perez est parti rencontrer les rois du Système D.
Ceux qui s’adaptent à toutes les situations dans l’esprit des pionniers fondateurs.

Cinq ans après le début de la crise financière, une grande partie de la société américaine s’est déjà adaptée. La plupart de ceux qui ont tout perdu ont trouvé des solutions de survie dans la solidarité et la débrouille. D’autres, par militantisme et conviction, sont en train d’imaginer une nouvelle société. Un American Dream plus juste et plus solidaire.

LE SYSTÈME D aux Etats-Unis avec Sebastian Perez, c’est un voyage à la rencontre de ceux qui s’inventent un avenir grâce à la débrouille. Tous ces atypiques qui refusent de baisser les bras, avec le sourire.

« D comme Débrouille aux Etats-Unis », un film de Sebastian Perez à découvrir le dimanche 11 novembre à 15h sur CANAL + c

[Semaine américaine sur Canal+] « Obama, la dernière campagne », de Laurence Haïm dans les coulisses de la Maison Blanche, le 06/11 à 22h50 sur Canal+

Prémices de la campagne, conventions démocrates et républicaines, Laurence Haïm sillonne les cinquante États américains et dépeint la réalité de la politique à l’heure actuelle.

En 2008, Laurence Haïm avait suivi sur plus de seize mois toute la campagne de Barack Obama et les rivalités entre démocrates et républicains.

Le 2 juin 2009, elle avait même réalisé, en exclusivité, la première interview du président américain accordée à un média français. Quatre ans plus tard, entre prémices de la campagne et conventions démocrates et républicaines, Laurence Haïm sillonne les cinquante Etats américains et dépeint la réalité de la politique à l’heure actuelle.

De la Maison-Blanche à l’Amérique profonde, Laurence Haïm relate l’ultime combat démocrate d’Obama et décrypte à travers son journal de bord les rebondissements multiples de cette dernière campagne ainsi que ce qu’il faut à un candidat pour devenir ou rester Président.

« Passion Patrimoine : du Languedoc au Roussillon », un film de Philippe POIRET, le 14/11 à 20h45 sur France 3

Ce film est un voyage dans une région surprenante : le Languedoc-Roussillon.

Destination de vacances préférée des Français mais aussi lieu de vie, le Languedoc-Roussillon séduit. Riche de son histoire, cette région cultive ses différences en flirtant avec la Provence et le Pays Catalan. Avec ce film, nous suivons plus particulièrement des hommes et des femmes qui ont choisi de se battre pour vivre dans ce territoire mais aussi pour sauvegarder leur patrimoine naturel. Ils sont viticulteurs, marins pêcheurs, ou  membres d’associations.  Ils ont parfois tout quitté pour vivre leur passion.

Robert Mornet est un passionné du canal du midi, un monument historique de 240 kilomètres reliant la Garonne à La Méditerranée.

Il y a sept ans, au fond de son jardin, cet ancien éducateur entame le projet de reproduire à l’identique un bateau poste de 1818… Aujourd’hui il en termine l’aménagement  pour y recevoir de futurs voyageurs, cette magnifique embarcation reprendra sa route pour faire revivre l’époque où elle était la diligence du Canal Royal des Deux Mers.

Avec ses 300.000 hectares, le Languedoc-Roussillon est le plus grand vignoble de France et aussi et surtout le plus vaste du monde.

Nous nous rendons , sur  les hauteurs de l’étang de Thau. Là, depuis maintenant huit siècles, se dresse l’abbaye de Valmagne,  surnommée la cathédrale des vignes.

Cette abbaye est l’un des monuments les mieux conservés de l’art cistercien. Depuis presque deux siècles, la famille d’Allaines se bat pour sa conservation.

Le Languedoc-Roussillon c’est plus de  200 Kilomètres de côtes avec des lagunes. Avec ses 7500 hectares, l’étang de Thau est la plus vaste du Languedoc. Une petite mer intérieure, aux eaux salées, connue pour ses huîtres et ses coquillages. L’étang est aujourd’hui un territoire à protéger. Le combat de deux femmes qui portent un regard singulier sur cet étang où elles travaillent.

A Marseillan, Annie Castaldo est l’une des rares ostréicultrices du bassin. Elle partage son temps entre la production  des huîtres et la vente sur les marchés.

Fille de pécheur, Claudia Négri est devenue elle aussi marin pêcheur et traque la daurade sur le bassin.

Amies, ces deux femmes participent à une initiative originale : « Panier, poisson, coquillage ». L’idée est de rapprocher les consommateurs du département de l’Hérault avec les ostréiculteurs et les pêcheurs de la lagune. Un projet basé sur le principe des AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture Paysanne).

Nathalie komaroff a installé sa ferme dans un village de Haute montagne. Elle y élève des chevaux de Mérens, une race qui a bien failli disparaître dans les années 70. Et deux fois par an elle organise l’un des dernières transhumances équestres. Un voyage d’une semaine à travers les Pyrénées-Orientales pour rejoindre les hautes vallées de Cerdagne et profiter des pâturages d’altitude pendant la belle saison.

Pour participer à ce voyage hors des sentiers battus, vingt des cavaliers sont venus de toute la France.

« Passion patrimoine : Du Languedoc au Roussillon »

Réalisateur : Philippe POIRET

« Chicago, vivre avec les gangs », un film de Marc Garmirian et Etienne Truchot le 30/10 à 21h40 sur France 5

C’est à Chicago, la troisième mégapole des Etats-Unis, que Barack Obama a commencé sa carrière politique. Les trois-quarts des Chicagoans ont voté pour lui en 2008. Le maire, Rahm Emmanuel, est son ancien bras droit.

Avec un budget en lourd déficit, la ville condense tous les défis qui attendent le pays pour les quatre ans à venir ; santé, éducation, emploi. Mais son problème numéro un, c’est la guerre des gangs.

Chicago possède un des taux de criminalité les plus élevés du pays. Il y a plus de morts par balles – 450 en 2011- dans les quartiers sud, afro-américains et pauvres, que de soldats américains tués en Afghanistan.

Dans le district le plus dangereux, Englewood, les habitants subissent une violence quotidienne et aveugle. Mais les mères de victimes, les policiers, les médiateurs et les leaders religieux se mobilisent pour lutter contre la peur, l’impunité et l’indifférence. Car cette violence qui gangrène la ville du Président est totalement ignorée des débats de l’élection présidentielle.

« 21 Jours inoubliables », un film d’Alexandra Alévêque et d’Alexis Marant le 30/10 à 22h50 sur France 2

La population française vieillit. Derrière les statistiques, il y a des solitudes, et des familles qui se débrouillent comme elles peuvent. Comment vivent-ils, ces seniors qu’on n’ose plus appeler vieux ? Que nous disent ceux qui s’en occupent au quotidien, aides à domicile ou aides soignant ?

Pour 21 Jours et France 2, Alexandra Alévêque a côtoyé ces professionnels de la dépendance qui savent ce qui se cache derrière le grand âge. Elle a travaillé à domicile et en institution.

Pendant ces 21 jours, elle a observé la relation fragile qui s’établit entre soignants et soignés, la confiance à reconquérir chaque jour quand la mémoire s’évapore et les repères s’estompent…

Pourquoi 21 jours ? Parce que c’est le temps nécessaire pour s’adapter, oublier ses a priori et entrevoir une réalité nouvelle. Durant cette expérience, Alexandra Alévêque a surtout été confrontée à un mal aussi tabou que dévastateur, la maladie d’Alzheimer. En France, il y a plus de 800 000 cas identifiés. Mais beaucoup de malades échappent au diagnostic, parce qu’ils sont trop isolés, ou parce que leur entourage reste dans le déni. 3 millions de Français ont un proche touché… et pourtant la maladie d’Alzheimer reste mal connue, et peu traitée par les médias.

Novice dans l’accompagnement des personnes âgées, Alexandra Alévêque a d’abord partagé le quotidien d’aides à domicile. C’est une profession aux contours encore flous. Les vocations manquent, et les formations sont rares.
Les besoins sont pourtant énormes : 70% des malades d’Alzheimer vivent encore chez eux. Recevoir une aide à domicile est pour eux décisif et permet d’éviter le placement.

Alexandra a ainsi rendu visite à Jeanne, 87 ans. Pétillante et gaie, la vieille dame ne reconnaît plus sa propre rue.
Elle a suivi Marion et Hélène dans leurs tournées. Des aides à domicile qui prennent leur travail à cœur et veillent au jour le jour sur leurs « petites dames ». Alexandra a aussi secondé Nathanaëlle et Catherine, qui travaillent elles dans un accueil de jour parisien, pour « jeunes » malades d’Alzheimer. Leur rôle : tenir la mémoire en éveil avec des tâches simples : mettre le couvert, ranger un jeu de société…

Mais quand les souvenirs s’en vont, le moindre geste devient une épreuve. Comment déjeuner normalement, quand on ne connait plus la fonction d’un verre ou d’une fourchette ? Auprès de Nicole, Michel, Dorothée et les autres, Alexandra a mesuré à quel point cette maladie fragilise ceux qu’elle frappe. « On est cabossés, mais quand même, on est encore là… », philosophe Dorothée, qui comme les autres s’accroche pour ne pas perdre pied.

Enfin, Alexandra Alévêque s’est fait embaucher par un EHPAD, dans une unité spécialisée pour les malades d’Alzheimer.Avec Rose et Barka, ses collègues, elle a pris soin d’hommes et de femmes désormais incapables de vivre chez eux. Pour ces cas sévères, l’entourage, épuisé et parfois culpabilisé, a jeté l’éponge et accepté de confier la mère ou l’époux. Ils s’appellent Félix, Angèle ou Lucienne et même s’ils n’ont plus toute leur tête, Alexandra Alévêque se souviendra longtemps de leur présence.

« 21 jours inoubliables », un film d’Alexandra Alévêque et d’Alexis Marant à découvrir le mardi 30 octobre à 22h50 sur France 2

Le « Banquet des 5000 » en images

Pour sensibiliser le public au gaspillage alimentaire, CANAL + a organisé un banquet géant le 13 octobre sur le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris. Un déjeuner gratuit pour 5 000 personnes a été préparé avec des denrées alimentaires destinées … à la poubelle.

A l’origine de cet événement , l’activiste Britannique Tristram Stuart. En novembre dernier, il a organisé un banquet géant à Trafalgar Square à Londres : des milliers de personnes ont dégusté un curry gratuit préparé avec des légumes qui devaient être jetés. Tristram Stuart est l’auteur du best-seller Waste : Uncovering the Global Food Scandal , un ouvrage qui décrypte et analyse ce phénomène mondial.

Retour sur le Banquet des 5000 en images!

Réalisation et montage : Timothée Callec

Téléchargez l’appli Global Gâchis, et partagez vos recettes anti-gaspillage!

« Global Gâchis », un film d’Olivier Lemaire, Maha Kharrat et Tristram Stuart le 17/10 à 20h50 sur CANAL +

Alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent de malnutrition sur notre planète, un tiers de la production mondiale de nourriture est gâchée. L’ensemble des producteurs, dis- tributeurs et consommateurs des pays occidentaux jette une quantité de nourriture qui pourrait nourrir 7 fois la population qui a faim dans le monde.

Ce gaspillage, qui intervient tout au long de la chaîne alimentaire, soulève à la fois des questions environnementales, éthiques et économiques. Se poser la question du gaspillage alimentaire, c’est se poser la question de notre survie. en 2050, nous serons 9 milliards d’habitants sur terre et autant de bouches à nourrir. La production agricole doit réussir un tour de force : répondre à la forte hausse de la demande tout en pré- servant les ressources naturelles.

Le premier réflexe serait de dire que pour nourrir plus de monde, il faudrait produire plus, alors qu’il suffirait de gaspiller moins. Des solutions étonnamment simples permettraient de résoudre ce qui est devenu l’un des plus problèmes environnementaux et sociaux auxquels il est le plus urgent de faire face.

Est-on enfin prêts à considérer le gaspillage comme anormal? Tristram stuart, auteur du best-seller Waste (la référence internationale en matière de gaspillage alimentaire), nous guide dans cette enquête. en sa compagnie, nous allons en Europe, au Costa Rica, au Pakistan, aux Etats-unis ou encore au Japon découvrir des exemples affligeants de gaspillage, mais aussi de stimulantes innovations et des solutions pour tirer le meilleur parti de ce que nous produisons.
Notre mode de vie a généré une crise alimentaire mondiale. Il faut maintenant la résoudre.

« Global Gâchis », un documentaire d’Olivier Lemaire, écrit par Maha Kharrat et Tristram Stuart, sur une idée de Jean-Marie Michel, à voir le 17 octobre à 20h50 sur CANAL +

Le Banquet des 5000

Pour sensibiliser le public au gaspillage alimentaire et accompagner la diffusion du documentaire, CANAL + organise un banquet géant le 13 octobre entre 13h et 15h sur le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris. Un déjeuner gratuit pour 5 000 personnes sera préparé avec des denrées alimentaires destinées … à la poubelle.

Rejoignez l’événement sur Facebook !

Au programme:

Un curry géant de légumes pour 5000 personnes
Des leçons de cuisine pour remettre à l’honneur les abats par Pierre Jancou et Yves-Marie le Bourdonnec
Des recettes simples et bluffantes anti-gâchis par Louise Denisot et Fred Chesneau
La rencontre avec des cochons « recycleurs »
Des jus de pommes pressés sur place
Des salades confectionnées en musique par Disco Soupe
Pas de réservation, venez simplement avec vos amis et vos proches !

Retrouvez le site de l’événement sur CANAL +


« Le banquet des 5000 », un grand festin gratuit pour 5000 personnes, le 13/10 à 13h à Paris

Pour sensibiliser le public au gaspillage alimentaire, CANAL + organise un banquet géant le 13 octobre entre 13h et 15h sur le parvis de l’Hôtel de Ville à Paris. Un déjeuner gratuit pour 5 000 personnes sera préparé avec des denrées alimentaires destinées … à la poubelle.

A l’origine de cet événement , l’activiste Britannique Tristram Stuart. En novembre dernier, il a organisé un banquet géant à Trafalgar Square à Londres : des milliers de personnes ont dégusté un curry gratuit préparé avec des légumes qui devaient être jetés. Tristram Stuart est l’auteur du best-seller Waste : Uncovering the Global Food Scandal , un ouvrage qui décrypte et analyse ce phénomène mondial.

Rejoignez l’événement sur Facebook !

Au programme:

  • Un curry géant de légumes pour 5000 personnes
  • Des leçons de cuisine pour remettre à l’honneur les abats par Pierre Jancou et Yves-Marie le Bourdonnec
  • Des recettes simples et bluffantes anti-gâchis par Louise Denisot et Fred Chesneau
  • La rencontre avec des cochons « recycleurs »
  • Des jus de pommes pressés sur place
  • Des salades confectionnées en musique par Disco Soupe

Pas de réservation, venez simplement avec vos amis et vos proches !

Retrouvez le site de l’événement sur CANAL +

« Le banquet des 5000 » accompagne la diffusion du documentaire « Global Gâchis », d’Olivier Lemaire, écrit par Maha Kharrat et Tristram Stuart, le mercredi 17 octobre à 20h50 sur CANAL +

Retrouvez le site Feeding the 5k et Waste, le site de Tristram Stuart

« Goldman Sachs, le supermarché de la finance » dans l’Hyper Revue de Presse de France Info du 18/09

L’Hyper Revue de Presse de France Info du mardi 18 septembre, présentée par Jean-Christophe Martin et Matthieu Beauval, parle de « Goldman Sachs, le supermarché de la finance », le mini-site de Capa pour Arte qui accompagne le documentaire « Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde ».

L’émission est à (ré)écouter sur le site de France Info ( à partir de 4 min 35).

« Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde », réalisé par Marc Roche et Jérôme Fritel, a par ailleurs enregistré 560 000 connexions sur le site de rattrapage Arte + 7, un record pour la chaîne.

Le documentaire n’est plus disponible gratuitement dans son intégralité, mais l’expérience se prolonge avec « Goldman Sachs, le supermarché de la finance ».

Interview d’Alexandra Alévêque, réalisatrice de « 21 jours à l’usine » diffusé le 18/09 à 22h50 sur France 2

Quelle est la situation des ouvriers en France aujourd’hui?

Pour France 2 et « 21 Jours », Alexandra Alévêque a travaillé pendant trois semaines chez un sous-traitant automobile à Sochaux. Elle a vécu aux côtés de ceux qu’elle a filmé et nous ouvre les portes d’un monde, avec ses codes et ses difficultés. Elle a partagé la tendresse, la solidarité, l’émotion, le rire même au sein de situations difficiles.

Dans cette interview, Alexandra Alévêque raconte le tournage et son expérience à l’usine.

« 21 jours à l’usine », le 18 septembre à 22h50 sur France 2, et à revoir sur Pluzz.fr après la diffusion