« Les Toiles de l’Inde » un documentaire de Stéphane Carrel, le 7/06 à 22h10 sur CANAL+ Cinéma

De Mumbai à Calcutta en passant par Delhi, découverte de l’atmosphère dans les salles de cinéma en Inde, où chaque séance commence par l’hymne national.

Dans chaque pays, l’atmosphère dans les salles de cinéma est différente. En Inde, c’est un espace d’adoration, un lieu d’évasion car le cinéma est considéré comme l’exutoire social par excellence. Dans ce pays, chaque séance commence par l’hymne national indien, c’est dire la place qui est accordée au septième art. De Mumbai à Calcutta en passant par Delhi, le réalisateur Stéphane Carrel fait découvrir le cinéma indien dans toute sa diversité.

De Mumbai à Calcutta en passant par Delhi, le réalisateur Stéphane Carrel nous fait découvrir le cinéma indien comme nous ne l’avons jamais vu.

24 HEURES DE PLUS : « Le bonheur hier et aujourd’hui », 21/05 à 20h40 sur JIMMY

Après avoir accepté de partager leur quotidien sous l’œil des caméras pour l’émission culte 24 HEURES, diffusée sur CANAL+, que sont devenus ces hommes et ces femmes ? En passant 24 HEURES DE PLUS avec eux, cette série documentaire décrypte l’évolution de notre société.

LE BONHEUR HIER ET AUJOURD’HUI
Rire, donner la vie, couler des jours heureux. C’était leur mariage ou leurs vacances, ils étaient au comble du bonheur, nous avions vécu 24 heures avec eux. 20 ans après, que sont-ils devenus ?

ELIE SEMOUN, MERKI LA VIE
En 1992, Elie Semoun et son compère Dieudonné démarraient en duo et en fanfare. 20 ans après, Elie n’est plus la moitié du fameux tandem et poursuit sa carrière en solo.
De petites annonces en premier rôle, il a réussi à passer avec bonheur des cafés-théâtres aux plateaux de cinéma.

CAMPING, LES COPAINS D’ABORD
Il y a 20 ans, Richard dit Chouchou était chez lui à la plage comme au camping. Aujourd’hui, Chouchou est toujours le roi des estivants. Sous la tente ou en mobil home, de pétanque en apéro, Chouchou transforme sa vie en vacances éternelles.

POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE
Il y a 20 ans, Fati disait oui à Aïcha. Aujourd’hui, ils sont toujours ensemble, et c’est Fati qui marie sa nièce Melissa. Comment transmettre à sa famille l’art de s’unir pour le meilleur… et pour la vie ?

NAISSANCE, LE MIRACLE ASSISTÉ
Nous avons vécu 24 heures de plus avec Catherine et ses jumeaux, leur vie est un long bonheur tranquille. Ils sont nés devant nos caméras, il y a 18 ans, à l’hôpital Béclère spécialisé dans les grossesses à risque et où exerce toujours René Frydman, le pape de la Fécondation In Vitro.

« Les toiles du monde », un documentaire de Stéphane Carrel, le 27 mai à 20h sur Canal+

La passion du cinéma commence pour chacun d’entre nous dans une salle remplie de fauteuils rouges où s’installent en silence des inconnus. Alors vient le noir et le faisceau du projecteur. La magie peut opérer et l’histoire commencer.

On meurt, on tue, on tombe amoureux, on fait l’amour, on est une femme, un homme, un enfant, un vieillard, un extra-terrestre. Assis face à la Toile, dans un silence quasi religieux, on bascule dans un autre monde.

Pourtant, aux quatre coins de la planète, les salles de cinéma disparaissent. En Afrique, elles sont devenues des décharges publiques. En Russie, les films sont malmenés par le pouvoir et les bobines sont jetées à la poubelle. En Inde, le cinéma est toujours glorifié, mais loin des grandes villes, il ne reste que le satellite pour se faire une toile sur petit écran. Aux Etats-Unis, on s’enferme dans des complexes aseptisés en se goinfrant de pop corns et de sodas.

Dans Les Toiles du Monde,Stéphane Carrel a entrepris un voyage inédit au cœur de ces quatre continents pour partir à la rencontre de ceux qui luttent coûte que coûte pour que l’enchantement sur la toile perdure. Rien n’empêchera le cinéma d’exister tant qu’il y aura des hommes et des femmes qui continuent de faire exister une invention datant de plus de 100 ans. Sur les trottoirs de Calcutta ou dans les bidonvilles de Kampala, dans une forêt sénégalaise, dans les glaces de Sibérie ou dans les grandes salles du New Jersey, dans le dernier cinéma muet de Los Angeles ou dans la plus petite salle du monde.

Au cours de ce trajet initiatique, le réalisateur a rencontré également des cinéastes complètement fauchés qui réalisent des films loin des codes formatés de l’industrie.

Les Toiles du Monde, un voyage en couleurs là où le cinéma vibre encore.

« Bébés volés : l’incroyable scandale », de Caroline du Saint, le 6/05 à 13h sur CANAL+

« Bébés volés : l’incroyable scandale » de Caroline du Saint s’est vu attribuée le prix spécial des étudiants des écoles de journalisme lors de l’édition 2011 du Festival européen de journalisme « SCOOP Grand Lille ».

300.000 bébés volés à leurs mères au cœur de l’Europe, pour alimenter un invraisemblable trafic d’enfants. Ce scandale qui vient d’éclater en Espagne provoque un douloureux examen de conscience à travers tout le pays. Des enfants, aujourd’hui trentenaires, partent à la recherche du secret caché de leurs origines…

Ce trafic d’enfants a commencé sous Franco, dans les années 40. Sa justification était alors politique : le régime retirait les nouveaux nés des familles républicaines « gauchistes » pour les faire adopter par des parents de droite catholique. Mais après le retour de la démocratie en 1975, la pratique a continué, pour des raisons mercantiles. Le trafic s’est même internationalisé. Cet incroyable commerce illicite ne s’est interrompu qu’en… 1987 !

Aujourd’hui, une gigantesque enquête ADN a été lancée pour tenter de renouer les liens entre les mères qui cherchent leurs bébés et les enfants qui veulent retrouver leurs parents. Des milliers de plaintes ont été déposées, plusieurs centaines sont en cours d’instruction. Les premiers procès devraient avoir lieu dans quelques mois.

Passion Patrimoine : « Les Couleurs du Périgord », un film de Leni Mérat et Gary Grabli pour Des Racines et des Ailes, mercredi 25 avril à 20h40 sur France 3

Entre Aquitaine et Massif Central, le Périgord dévoile un patrimoine exceptionnel au gré de ses quatre couleurs. Vert, blanc, pourpre ou noir, de grottes préhistoriques en châteaux, de bastides séculaires en villages de caractère, le Périgord nous offre un étonnant voyage à travers le temps.

Tout commence à Sarlat, la capitale du Périgord noir. Historien et auteur de guides sur sa cité, Romain Bondonneau en explore inlassablement les monuments les plus emblématiques comme la mystérieuse lanterne des morts. Avec un photographe italien tombé amoureux fou de la région, il survole pour la première fois en montgolfière la majestueuse vallée des châteaux.

Toujours en Périgord noir, un autre passionné protège un patrimoine différent, la Vézère. Guide et ancien champion de canoë, Philippe Colomy connaît toutes les merveilles de cette rivière. Chaque année il organise avec son association un grand nettoyage au fil de l’eau aux pieds du majestueux village troglodytique de la Madeleine. Un belvédère qui marque l’entrée dans la Vallée de l’Homme et ses dizaines de sites préhistoriques. C’est ici qu’a débuté au 19ème siècle l’étude de la préhistoire et c’est ici qu’a été découvert il y 7O ans le joyau de l’art pariétal, la grotte de Lascaux. Fragile et totalement fermée au public, Lascaux est constamment étudiée par des scientifiques. Fait exceptionnel, une caméra a été autorisée pour Des Racines et des Ailes à filmer Muriel Mauriac la conservatrice de la grotte, dans une mission de surveillance. Un voyage majestueux au cœur de l’art pariétal, façonné par des hommes il y a 17000 ans.

A Belvès, le nouveau propriétaire d’une demeure seigneuriale a découvert dans son grenier une peinture murale du 15ème siècle représentant les neuf preux. Il a fait appel à Cornelia Cione, venue d’Italie, pour lui rendre tout son lustre. Avec la jeune italienne nous découvrons le majestueux château de Jumilhac au cœur du Périgord vert. Henry de la Tour du Pin, son propriétaire, a lui aussi mis au jour des fresques datant de la Renaissance.

Dans les lumières automnales de la forêt de Champs-Romain, Jean-Pierre Biaussa, un fin connaisseur des cèpes transmet son savoir à un jeune scientifique qui étudie les secrets du champignon-roi, le véritable trésor du Périgord. Au sud de la vallée de la Dordogne, un jeune couple fait revivre une tradition oubliée, la récolte du Safran. Une épice rare et chère qu’ils réservent à Philipe Latreille, un chef-cuisinier enfant du pays. Passionné par la préparation du foie gras, il organise régulièrement des stages pour faire redécouvrir aux périgourdins l’art de cuisinier ce symbole de la région.

En Périgord pourpre, la méconnue abbaye médiévale de Cadouin est en restauration. Un chantier d’envergure mené par Patrick Palem. Dans son atelier de Périgueux, il restaure avec les techniques les plus récentes des pièces venues du monde entier.

Enfin, dans la vallée du bergeracois, un château renaît grâce à l’obstination d’une association de passionnés. Malmené et pillé depuis 3O ans, Bridoire vient d’être racheté par Jacques Guyot, un fou de monuments historiques. En famille et avec l’aide des gens du village, Bridoire va enfin pouvoir ouvrir ses portes au public.

Historien, photographe, agriculteur, guide, restaurateur d’art ou cuisinier, tous n’ont qu’une passion : le Périgord.

Special Investigation : « Vendetta mortelle chez les bikers », un reportage de Stéphane Munka, dimanche 22/04 à 13h00 sur Canal+

Un soir d’août 2003, Jean-François André (dit « La Pie »), un « blouson noir » qui dirige un club de bikers dans la Drôme, est assassiné de plusieurs balles dans la poitrine, alors qu’il rentre chez lui au guidon de sa Harley Davidson. Jamais élucidé par la justice, ce mystérieux assassinat est suivi d’une incroyable vendetta dans le milieu des motards. En quelques mois, trois autres hommes sont assassinés à leur tour…

Ne manquez pas 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +!

Entre Moscou et ses communautés, c’est « je t’aime, moi non plus »… Au sommaire de cette émission :

– Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel
– Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel
– Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche
– Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche
– Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert
Diffusion le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Prenez votre ticket ! 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel

La communauté afghane de Moscou a une particularité. Elle est regroupée sur un seul et même site, appelé Sébastopol. Une ancienne barre d’immeubles d’habitation, dans le plus pur style stalinien. A l’intérieur, un immense bazar qui emploie 8.000 personnes et plus de 1.000 entreprises. Un site totalement autogéré avec son école, sa boulangerie et même sa propre mosquée. Autre particularité : les dirigeants de Sébastopol sont tous d’anciens dirigeants de province afghans, d’anciens universitaires ou d’anciens présentateurs de la télévision d’état. Mais tous ces hommes ont collaboré avec les soviétiques, lors de l’invasion de l’Afghanistan par l’armée rouge en 1979.

Quand les chars russes ont quitté le pays en 1989, ces hommes et leurs familles ont été bannis du pays et même aujourd’hui ne peuvent pas envisager de rentrer à Kaboul.

Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel

Le Tadjikistan est une ancienne république soviétique d’Asie centrale, libérée du joug de Moscou en 1991. Depuis, ce pays montagneux et rural s’est lentement enfoncé dans la misère. A tel point que selon la banque mondiale, le Tadjikistan est le 1er pays au monde, dépendant de l’argent envoyé par sa diaspora.
En Russie, les Tadjiks sont en bas de l’échelle sociale. Ils sont dévolus aux travaux les plus difficiles. Les Russes de ne les aiment pas à tel point que le mot Tadjik est entré dans le langage courant et est devenu une insulte. Pourtant, cette communauté garde le sourire, tant les conditions de vie qu’ils ont quittées sont difficiles….

Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche

Être Noir à Moscou relève du défi. Ils sont Sénégalais, Nigérians ou Camerounais et sont venus faire leurs études au sein d’une faculté prestigieuse, appelée « Université de l’amitié entre les peuples ». Pourtant, à Moscou, ils ne sont pas les bienvenus et font même épisodiquement l’objet de chasses à l’homme. Pour la plupart d’entre eux, ils repartiront en Afrique dès la fin de leur cursus. Mais certains ont fait le choix de rester et même d’y fonder une famille. Mais comme disait Coluche, pour eux « ça sera très dur »…

Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche

En Russie, les Géorgiens sont appréciés. Staline, le petit père des peuples était Géorgien. Ils sont notamment connus pour l’excellence de leur cuisine, dont la légende raconte qu’elle fabrique des centenaires. Les meilleures tables de Moscou sont géorgiennes. Depuis la chute de l’URSS en 1991, plusieurs incidents ont émaillé les relations compliquées qu’entretiennent la Russie et la Géorgie jusqu’à ce jour du 7 aout 2008 et cette guerre éclair menée par Moscou sur le sol géorgien. L’enjeu : deux régions séparatistes de Géorgie : l’Ossetie du Sud et l’Abkhasie. Ce conflit a considérablement changé la donne quant aux regards que les Russes portent sur les Géorgiens. A tel point que la diaspora géorgienne de Moscou s’est sentie et se sent encore aujourd’hui pointée du doigt par la société russe.

Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert

Le Prix Spécial du Jury décerné à Alexis Marant pour le film « Planète à vendre » au FIGRA 2012

Le Prix spécial du jury a été décerné au film « Planète à vendre », d’Alexis Marant, lors de l’édition 2012 du FIGRA, (Festival International du Grand Reportage d’Actualité et du Documentaire de Société)

RESUME DU FILM « PLANETE A VENDRE »

Les crises alimentaire et financière de 2008 ont provoqué une incroyable course pour la mainmise sur les terres cultivables partout dans le monde.

Plus de cinquante millions d’hectares ont déjà changé de mains. Des industriels, des financiers, et même des gouvernements de pays riches cherchent à produire, voire à délocaliser leur agriculture, dans les pays pauvres. Ces mêmes pays qui parfois n’arrivent pas à nourrir leur propre population…

Ce film est une enquête sur trois continents, parce que la question de l’accaparement des terres est globale.

Trois continents et trois cas emblématiques pour raconter à hauteur d’homme une seule et même histoire : celle du Grand Monopoly en cours, et des conséquences dramatiques qu’il pourrait avoir si rien n’est fait pour protéger les intérêts des petits paysans et des pays en développement.

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 25 mars

LOVER BOYS, L’OVERDOSE d’Anne VERON
1er baiser, 1er cadeau, 1er Amour… Les premières fois sont des moments importants dans la vie. C’est d’ailleurs par ce moyen-là que les Lover boys, cette nouvelle génération de proxénètes, attirent leurs proies. Ils séduisent des collégiennes, leurs jouent de la mandoline, avant de les forcer à se prostituer. Des centaines de jeunes filles tombent ainsi, chaque année, sous la coupe de ces proxos new-look, sans que les parents ne se rendent compte de rien. De plus en plus de victimes, de plus en plus de mineures, le phénomène inquiète.

QUAND HAÏTI DÉCHANTE de Bruno GEX
Où sont passés les 4 milliards de dollars d’aide à Haïti ? 2 ans après le séisme qui a dévasté le pays, la reconstruction n’avance pas. L’île est en ruines, en proie au choléra, avec toujours 1 million et demi de sinistrés qui s’entassent sous des tentes. Pour les haïtiens, la présidentielle de mai représentait beaucoup. Ils voulaient croire au miracle, en donnant les clés du pays à leur ancienne star de la chanson. Mais aujourd’hui, Michael Martelly a bien du mal à rester le petit héros du peuple.

MAMAN SUCE SON POUCE de Sabrina VAN TASSEL
Aux Etats-Unis, les républicains ont déclaré la guerre aux femmes. La course à l’investiture a poussé la droite américaine à se mêler de pilules et de mammographie. Vent debout contre l’accès gratuit à la contraception, les conservateurs sont allés jusqu’à traiter de salopes, les femmes qui prennent la pilule. Un comble dans un pays qui détient le record du monde de grossesses précoces. Un phénomène qui est même devenu à la mode, sous l’influence de reality show comme « 16 ans enceinte » qui cartonne sur MTV.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook > c’est par ici !

Nouveau! L’effet Papillon sur Twitter!