« Passeport pour le crime, Bangkok », un doc de Sam Caro, présenté par Sarah Lelouch le 26/04 à 20h40 sur 13ème rue

Le 26 avril 2011, à 20h40, Sarah Lelouch sera aux commandes d’une soirée spéciale sur 13ème Rue.

L’animatrice présentera « Passeport pour le crime », consacrée à Bangkok. Sarah Lelouch explore la face sombre de la capitale thaïlandaise. Un film de 90 minutes, réalisé par Sam Caro, sur les faits divers qui font la Une des médias locaux.

Bangkok: ses pagodes, ses canaux… et ses crimes. Derrière la carte postale, la « Venise de l’Asie » est une ville violente. Sarah Lelouch a exploré la face sombre de la capitale thaïlandaise. Loin des circuits touristiques, elle rapporte un film choc, centré sur les faits divers qui là-bas font l’actualité.

De la banale escroquerie à l’assassinat de sang froid, du trafic de drogue à la contrefaçon, Sarah Lelouch s’est intéressée aux faits divers, grands et petits, qui alimentent les médias thaïs. Pour se tenir au plus près de l’action, elle a suivi sur le terrain les reporters spécialisés.

Dans les 90 minutes de cette surprenante immersion, la présentatrice s’aventure dans les quartiers chauds, pousse la porte d’une morgue ou part en filature avec une brigade de bonzes… Autant de séquences qui en disent bien plus long sur la société thaïe qu’un guide touristique classique.

Avec les faits divers, Sarah Lelouch a trouvé son passeport… pour comprendre la Thaïlande.

PASSEPORT POUR LE CRIME – BANGKOK
Un documentaire de 90 minutes présenté par Sarah Lelouch et réalisé par Sam Caro.
CAPA / 13ème Rue

23 Février – soirée spéciale « Xhynthia, un an après » sur France 3 avec un documentaire exclusif de Marc Garmirian et Jean-Christophe de Revière

Le 23 février, France 3 consacre une journée spéciale à la tempête Xynthia. Tout juste un an après les événements climatiques qui ont dévasté une partie de la Charente-Maritime et de la Vendée, la rédaction entière sera mobilisée.

Ainsi, Samuel Étienne et Carole Gaessler présenteront respectivement le 12/13 et le 19/20 depuis la côte atlantique. Deux documentaires sur les événements seront diffusés: l’un dans l’après-midi et l’autre le soir, en prime time. Juste après ce dernier, Patrick Poivre d »Arvor, qui pourrait également être sur place, animera un débat, entouré de nombreux invités.

A 20h35, le documentaire : XYNTHIA, AU CŒUR DE LA TEMPÊTE

47 morts, dont 29 pour le seul village de La Faute-sur-mer, en Vendée. Trois victimes à Charron, en Charente-Maritime, une grand-mère et ses deux petits-enfants. 6000 maisons inondées, 50 000 hectares de terres agricoles submergées. C’est le bilan de la tempête « Xynthia », qui a déferlé sur la France, le dimanche 28 février 2010. La tempête la plus meurtrière depuis celles de 1999.

Comment cette nuit de cauchemar a-t-elle été vécue par les survivants, les sauveteurs et les météorologues qui la suivaient sur leurs écrans ?
Que savaient-ils la veille au soir de cette tempête annoncée ?
Comment ont-ils vécu l’après-tempête ? Qu’ont-ils perdu ?
Comment vont-ils pouvoir repartir et se libérer des traumatismes liés à la catastrophe ?

« Xynthia, au cœur de la tempête », présente les témoignages de ceux qui ont vécu cette nuit dramatique du 27 au 28 février, et permet de comprendre grâce, à des images inédites, le scénario de film catastrophe qui a eu lieu.

« La mer a repris sa place », c’est ainsi que beaucoup de témoins dans la région ont décrit la catastrophe. Des habitants de l’Ile de Ré ou de Charron, en Vendée, de La Faute-sur-mer,en Vendée, se sont réveillés au milieu des flots dans des territoires qui étaient effectivement des îles au XVIIème siècle. On appelle ce coin de France « Le pays gagné sur la mer ». Le sang-froid, le dévouement dont ont fait preuve sauveteurs et habitants, a impressionné la nation. Des valeurs humaines importantes se sont dégagées à l’occasion de cette catastrophe.

Deux villages ont particulièrement souffert : la Faute-sur-mer et Charron, des coins de France qui avaient des allures de petit paradis et qui ressemblent aujourd’hui à des villages fantômes.

Attirés par la mer, la nature, et un micro-climat particulièrement clément, les habitants de ces villages ont été surpris par la violence du phénomène climatique. S’ils ont entendu les alertes météo diffusées à la radio ou à la télévision, ils n’ont jamais compris qu’ils pouvaient être à ce point en danger en restant enfermé dans leur maison.

A Toulouse, à La Rochelle et à la Roche-sur-Yon, les responsables nationaux et départementaux de Météo-France expliquent pourquoi personne n’a pu anticiper les conséquences dramatiques du passage de Xynthia sur les côtes françaises.

A l’aide d’image d’archives inédites et d’images 3D de reconstitution, nous fait vivre la nuit de la tempête avec des témoins directs, qui ont passé des heures dans l’eau, bloqués chez eux. Certains d’entre eux ont perdu des proches, d’autres leur maison, tous leurs biens et leurs souvenirs.

Après le drame, dans plusieurs communes de Vendée, le paysage a rappelé celui de zones de guerre, avec des familles de sinistrés vidant sur le trottoir ce qui restait de leurs biens. Après les images de l’inondation, des sauvetages, des hélitreuillages, des rescapés surpris par les eaux au milieu de la nuit en pyjama, ces scènes de désolation ont choqué tout autant.

Le village de La Faute-sur-Mer, 2 500 habitants, est traumatisé par ses morts (29), noyés dans leurs maisons, construites en zone inondable. Après cette nuit tragique, de nombreuses questions se posent. Pourquoi les digues n’ont-elles pas rempli leur office ? Pourquoi ne pas avoir évacué préventivement certaines zones ? Qu’aurait-il fallu faire pour éviter un tel désastre humain ? Xynthia servira-t-elle de leçon pour l’avenir ?

Savoir ce qui s’est passé en Vendée la nuit du 27 au 28 février 2010, peut être très utile pour l’avenir, pour apprendre à se préparer à de tels évènements climatiques. Car, même si Xynthia n’est pas directement liée au réchauffement climatique, les scientifiques nous prédisent de plus en plus de tempêtes majeures.

XYNTHIA, AU CŒUR DE LA TEMPÊTE
Un documentaire de 90 minutes
Réalisé par Marc Garmirian et Jean-Christophe De Revière
Une production Capa / Diffusion France 3 le 23 février 2011 à 20h35

« La France au fil de l’eau » Un film de Véronique Préault et Jérôme Mignard, le 9/02 à 20h35, dans Des Racines et des Ailes sur France 3

Des sources du Tarn aux étangs de la Brenne, en passant par les canaux du Nord de la France, c’est un visage inédit de notre pays que nous offrent ces nouveaux amoureux de patrimoine.

Sur leur péniche Kaïros, un couple sillonne la France et livre des marchandises en passant par les canaux. Des visiteurs viennent partager leur expérience, grâce à une chambre d’hôte installée à bord.

Dans les Gorges du Tarn, les habitants de la région se battent pour préserver les petits villages isolés. Des vignerons, venus du bordelais, relèvent le défi de replanter la vigne qui couvrait autrefois les côteaux. Au Château de la Caze, le chef cuisinier fait découvrir à une stagiaire mauricienne les secrets culinaires de la région.

En Brenne, dans le Centre de la France, les professionnels du Parc Naturel s’attachent à préserver cette région à l’écosystème fragile. Depuis quelques années, ce paradis naturaliste est menacé par deux espèces envahissantes : une plante, la jussie, et surtout l’écrevisse rouge de Louisiane. Réussiront-ils à éradiquer ces deux fléaux ?

Avec leurs clichés, deux photographes amoureux de la Brenne se battent eux aussi à leur façon pour témoigner de cette précieuse beauté.

« La France au fil de l’eau »
Un film de Véronique Préault et Jérôme Mignard
Une production CAPA

« Le troisième âge au 7ème ciel », un documentaire d’Andrea Rawlins-Gaston, le 6/02 à 23h dans « Déshabillez-nous » sur France 3

Ils s’appellent Claude, Mauricette, Jean-Pierre, Colette ou Josiane. Ils ont entre 58 et 77 ans. Malgré les aléas de la vie, l’usure du couple et des corps, ils ont décidé de ne pas renoncer à leur sexualité et de faire du dernier tiers de leur vie un feu d’artifice.

Qu’ils soient en couple depuis longtemps comme Chantal et Jean-Pierre, qui entretiennent leur sexualité à coup de surprises quotidiennes ou ensemble depuis peu, comme Mauricette et Claude, qui découvrent leur sexualité à 62 ans chacun… Qu’ils soient séparés, comme Colette ou veufs, comme Josiane… Ils ont tous la flamme, l’envie ou la sagesse de ceux qui savent ce qu’ils ont vécu et surtout, ce qui leur reste à vivre.

Pour certains, c’est aussi le temps des nouvelles expériences, comme Marie et Christian qui, avec 36 ans de mariage au compteur, se sont tournés vers le libertinage. Pour d’autres, c’est la redécouverte de leur sexualité grâce aux progrès de la médecine, comme Marie-Josée et Claude. Après 5 ans d’abstinence, ils se sont mis aux piqûres intracaverneuses pour retrouver des érections et renouer avec la passion amoureuse de leurs débuts.

Halte au défi de la performance sexuelle, place à l’intimité, à la complicité, à l’amour peut-être moins souvent, mais mieux, en tout cas, toujours. Aujourd’hui, grâce à l’allongement de l’espérance de vie, à la levée des tabous et aux progrès de la médecine, nous pouvons tous faire l’amour jusqu’à la fin de notre vie, à condition bien sûr d’être en bonne santé et d’avoir toujours l’envie.

Ne jamais baisser les bras, transformer ce moment de la vie souvent redouté en bouquet final, c’est le message de ces hommes et des ces femmes qui avec tendresse, humour et amour racontent leur sexualité après 60 ans.

« LE TROISIÈME ÂGE AU 7ÈME CIEL »
De Andrea Rawlins-Gaston
Un documentaire de 52 minutes produit par CAPA
Diffusion le 6/02 à 23h dans « Déshabillez-nous » sur France 3

« Trafics, les rubis des Khmers rouges », un documentaire d’Olivier Weber, le 3/02 à 23h40 sur France 2

Des trafics, il y en a de plus en plus sur la planète. Le monde en vit, des maquis des guérillas ou des jungles d’Afrique jusqu’aux capitales occidentales. Trafics d’armes, de drogue, d’or, de diamant, de pétrole, de bois tropical et même… d’hommes et de femmes.

Tout y passe. Des réseaux organisés qui alimentent les guerres. Certains ferment les yeux. Beaucoup en profitent. A croire que la mondialisation s’est alliée aux cartels et aux mafias. Bienvenue sur la planète des trafics en tout genre.

Olivier Weber est grand reporter et écrivain. Les trafics, il connaît bien. Il parcourt la planète des guérilleros et des trafiquants depuis vingt-cinq ans, du Sahara à l’Afghanistan, de la Corne de l’Afrique à la Mer de Chine.

Cette fois-ci, il revient au Cambodge, au pays des Khmers rouges, les miliciens qui furent au pouvoir sous les ordres de Pol Pot. De 1975 à 1979 ils ont instauré un régime de terreur d’inspiration maoïste. Intellectuels, juges, avocats, bonzes, personne ne trouvait grâce à leurs yeux. En 4 ans les Khmers rouges vont éliminer deux millions de Cambodgiens. C’est un des plus sanglant génocide du 20ème siècle.

Chassés du pouvoir en 1979, une partie des Khmers rouges a repris le maquis et mené une guérilla active jusqu’en 1996. Aujourd’hui le dernier fief des Khmers rouges est situé dans la région de Pailin, à la frontière thaïlandaise. Une région au sous-sol bourré de rubis.

Longtemps le trafic des pierres précieuses a permis aux Khmers rouges de financer la guerre. Aujourd’hui il permet à certains de vivre une retraite dorée et d’échapper à la justice internationale qui tente de les rattraper.

Car Olivier revient au Cambodge alors que les premiers responsables du génocide sont enfin jugés pour leurs actes devant un tribunal international à Phnom Penh.

Mais visiblement certains anciens Khmers rouges ne redoutent pas la justice, plus de trente ans après avoir participé au génocide contre le peuple cambodgien. Réfugiés dans la province de Pailin, ils se sont lancés dans les trafics depuis des années, notamment celui du rubis, en toute impunité. Avec les pierres précieuses, les anciens compagnons de Pol Pot ont littéralement « acheté » la paix à Phnom Penh, la capitale. Une contrebande qui permet aux bijoutiers du monde entier de se ravitailler, via des courtiers qui négocient tout en cash, en Thaïlande ou à Phnom Penh.

Olivier Weber tente de pénétrer et de se faire accepter dans un milieu où les journalistes ne sont pas les bienvenus avec un objectif : remonter jusqu’à la tête du trafic et retrouver ceux qui l’organisent pour une rencontre sans concession. Sa mission : rencontrer un homme, Ee Chhean, ex-commandant militaire khmer rouge, proche de Pol Pot, devenu gouverneur de la ville, mais aussi le propriétaire de casinos et d’hôtels luxueux sortis de terre grâce à l’argent du trafic de rubis.

TRAFICS : LES RUBIS DES KHMERS ROUGES
Un documentaire d’Olivier Weber
Production CAPA
Diffusion le 03/02 à 23h40 sur France 2

« Mortel Guet-apens », un documentaire de B. Jeanneau pour Enquêtes Criminelles, le 31/01 à 20h40 sur W9

Le Havre, 2 avril 1996. Il est 4 heures du matin lorsque Alain et Angela Hay, 46 et 48 ans, prennent la route pour Mulhouse. En quittant leur maison, ils pensent partir pour quelques jours à peine, ils ne se doutent pas que ce sera leur dernier voyage…

En effet, le soir-même, leurs proches commencent à s’inquiéter : on sait qu’ils sont arrivés à bon port mais depuis, on est sans nouvelle… Toute la famille s’inquiète et maintes hypothèses sont évoquées : accident de la route, disparition volontaire, ou meurtre ?

Il faudra attendre un mois avant que leur voiture ne soit retrouvée dans le grand canal d’Alsace, une voiture qui va révéler de nombreux secrets…

COLLECTION  »ENQUETES CRIMINELLES » – MORTEL GUET-APENS
Documentaire – 52′
Réalisé par Bertrand Jeanneau
Produit par Capa Presse

« D comme débrouille en Colombie », un reportage de Sebastian Perez, le 16/01 à 15h, dans Les Nouveaux Explos sur CANAL+

Cocaïne, Farc, milices d’extrême-droite, corruption, kidnappings, sont les maladies qui gangrènent la Colombie.

Ceux qui refusent de choisir entre la peste et le choléra n’ont pas le choix ils vivent du système D. Un loueur de machines à laver, des constructeurs de side-cars sur voie ferrée, un marchand de café avec sa voiture en bambou mais aussi un chiffonnier: Sebastian est partie à la rencontre de cette Colombie inventive parsemée de sourires et d’espoir.
Loin, très loin des clichés habituels.

D comme Débrouille … en Colombie, de Sebastian Perez Pezzani
Le 16/01 à 15h, dans Les Nouveaux Explos sur CANAL+

« Rendez-vous chez moi au Canada », de Roland Théron, le 9/01 à 15h dans Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +

Dans les grandes forêts du centre du Canada, Allan Mackie fait ses maisons en rondins, comme celles des pionniers venus d’Europe, qui apportaient leur savoir faire d’assemblage des bois massifs.

Aujourd’hui les canadiens s’échappent dès que possible des villes pour retrouver le bord d’un lac sauvage, et profiter des températures clémentes de l’été. A deux heures de Toronto, au bord de l’eau, Larry Williams s’est construit une maison originale : un cube de verre posé sur le granit.

A l’Ouest du pays, en Colombie Britannique, sur Vancouver Island, surfeurs et marginaux ont construits d’étranges maisons bioclimatiques intégrées au paysage.

Des lacs de l’Ontario aux fjords reculés de la côte pacifique de Vancouver Island, Roland THERON réalise une exploration atypique de l’habitat canadien. En traversant d’Est en Ouest le Canada – Immense pays qui fait fait 14 fois la France – il découvre une variété étonnante de modes de vie et d’habitats.

« Rendez-vous chez moi au Canada »,
Un film de Roland Théron, le 9/01 à 15h dans Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +

« La fièvre de l’orchidée », un reportage de Martin Blanchard, le 23/01 à 16h45 et à 20h35 sur France 5

Des orchidées, tout le monde connaît au moins le phalænopsis. En quelques années, cette plante à longues tiges et aux fleurs aériennes est devenue la championne incontestée des plantes en pot. Jamais dans le monde de l’horticulture une plante ne s’était imposée aussi vite et aussi massivement. Elle est devenue la porte d’entrée la plus fréquente au monde des orchidées. On vous en offre une, et la « fièvre de l’orchidée » vous gagne.

Partout en France, de simples particuliers aménagent leur garage ou une pièce de leur appartement en serre tropicale. D’autres vont consulter des horticulteurs chevronnés pour ramener à la vie leur phalænopsis desséché.

Derrière ces passions singulières, prospère un véritable marché au niveau mondial. Les fermes d’orchidées thaïlandaises produisent en masse des fleurs d’orchidées et les gigantesques serres néerlandaises fournissent toute l’Europe en phalænopsis.

Bien loin de cette frénésie de production, d’autres passionnés œuvrent sur le long terme. Au cœur de Paris, les jardiniers du Sénat préservent leur collection historique d’orchidées. Et à l’autre bout du monde, dans les montagnes chinoises du Yunnan, la marque de luxe Guerlain réintroduit patiemment dans son milieu naturel une espèce particulière d’orchidées, la vanda cœrulea. Ses propriétés particulières seront utilisées pour fabriquer des crèmes cosmétiques.

La fièvre de l’orchidée (Version longue)
Un documentaire de Martin Blanchard
Le 23 janvier à 16h45 puis à 20h35 sur France 5

C’EST NOTRE HISTOIRE, la première émission contributive dédiée à notre histoire : rendez-vous le 9 janvier à 20h35 avec Marie Drucker sur France 5

Pour le deuxième numéro de cette émission contributive dédiée à notre histoire commune, la journaliste Marie Drucker et l’historien Fabrice d’Almeida invitent les téléspectateurs à se remémorer leurs souvenirs du 10 mai 1981, de François Mitterrand et de la grande alternance.

LE DOCUMENTAIRE – 10 mai 1981, le roman d’une victoire
Un documentaire français réalisé par Richard Puech en 2010.

Comment s’est déroulée l’incroyable ascension politique de François Mitterrand, de 1958 à son élection en 1981 ? D’anciens collaborateurs et ministres du leader socialiste, premier président de gauche depuis le début de la Ve République, témoignent. Le réalisateur a notamment recueilli les paroles de Jacques Attali, Robert Badinter, Michel Charasse, Edith Cresson, Henri Emmanuelli, Roland Dumas, Laurent Fabius, Charles Fiterman, Lionel Jospin, Pierre Joxe, Jack Lang, Pierre Mauroy ou Jacques Séguéla. Tous évoquent son redoutable sens politique et son intuition. Ils évoquent les grandes étapes de son parcours.

LE DEBAT Présenté par : Marie Drucker, Fabrice d’Almeida

Invités : Laurent Fabius (ministre du Budget en 1981), Jack Ralite (ministre de la Santé en 1981), Jack Lang (ministre de la Culture en 1981), Jacques Toubon (député de Paris en 1981), Catherine Nay (journaliste).

Egalement invités sur le plateau, les téléspectateurs et internautes qui ont contribué en envoyant leurs témoignages sur le site de France 5 échangeront autour leurs souvenirs de la victoire de François Mitterrand lors de l’élection présidentielle du 10 mai 1981.

L’équipe de rédaction de CAPA et de l’émission C’EST NOTRE HISTOIRE remercie à l’occasion tous les participants, les témoins et les jeunes journalistes ayant accepté de participer à ce projet.

Vous pourrez revoir les meilleures de vos contributions lors du débat, et consulter l’ensemble des vidéos et des témoignages sur le site de France5.fr