LES NOUVEAUX EXPLORATEURS « Rendez-vous chez moi en Argentine » avec Roland Théron, le 15/01 sur Canal+

Dans « Rendez vous chez moi », Roland Theron pousse les portes des maisons pour comprendre comment ils ont imaginé, construit, investi et détourné leur habitat. Pour ce nouveau rendez-vous, il explore l’Argentine et va à la rencontre de ses habitants étonnants.

A deux pas des chutes d’Iguazu, Alfredo, écologiste avant l’heure, construit des maisons en récupérant des bouteilles en plastique. Un savoir faire qu’il exporte aujourd’hui dans toute l’Amérique latine.

A 3500 mètres d’altitude, dans la province de Jujuy, Hugo vit dans sa maison en adobe, à l’écart du monde, avec ses chèvres, au milieu des cactus.

A Buenos Aires, Carolina et sa bande des jeunes occupants de « La Vecinda » partagent chambres, cuisine – et plus si affinités – autour de la cour centrale d’une vieille bâtisse au coeur de la capitale. Version moderne des « conventillos », premier habitat des immigrants de ce jeune pays où 6 millions d’européens débarquent à la fin du 19 ème.

Pas loin, dans le delta du Tigre, les maisons ne sont accessibles qu’en bateau. Faustino tient bon, dans sa vieille maison sur pilotis. Contre vents et marées.

Au sud de Mendoza, au coeur des plus beaux vignobles de l’argentine, John vit à la Bodega Atamisque, au milieu de 700 hectares, véritable oasis au pied de la cordillère.

Plus au sud, à San Carlos de Bariloche, Roland THERON rencontre Gonzalo, gardien d’un étrange château de style bavarois, en plein coeur de la Patagonie.

Pour finir ce voyage d’exception au coeur de l’habitat argentin, direction le « grand sud », au pied de la montagne mythique du Fitz Roy. Ici Martin, et ses 20000 moutons, vit dans l’estancia de ses ancêtres. Avec vue sur sur un paysage qui semble n’avoir pas bougé depuis la préhistoire.

LES NOUVEAUX EXPLORATEURS
RENDEZ VOUS CHEZ MOI … EN ARGENTINE
AVEC ROLAND THERON
RÉALISATION : ROLAND THERON ET ARNAUD MANSIR

Roland Theron en quelques mots
Spéléologue, skieur, plongeur, gastronome, artisan réalisateur cameraman multicarte, Roland Theron sillonne depuis 25 ans la planète. Diplômé en Sciences Politiques, il fait ses premières armes dans la radio, avant de partir pour un premier tour du monde. A peine revenu à son Vercors natal, il réalise de grands reportages sur des sujets d’actualité, des films d’exploration scientifiques ou des enquêtes sur les questions environnementales. Aujourd’hui, avec l’agence CAPA, il réalise « Rendez vous chez moi… », une nouvelle exploration de l’habitat.

Retrouvez Roland Théron et des extraits exclusifs du doc sur le blog des Nouveaux Explorateurs sur Canal+

Rejoignez Diego Bunuel dans « NE DITES PAS A MA MERE que je suis … au KAZAKHSTAN », le 27/11 à 15h sur CANAL+

Après avoir baroudé au coeur des zones de guerre semées d’embûches et s’être immergé dans les mégapoles mondiales, Diego s’aventure dans cette nouvelle saison de “Ne le dites pas à ma mère” dans les” terra incognita”.

Il est certainement devenu difficile de trouver un lieu vierge de toute topographie à l’âge de Google Maps et du GPS, et pourtant Diego va s’attacher à vous montrer que ca n’est pas que l’emplacement d’un pays sur une carte qui définit sa place dans le monde. Ainsi il existe de nombreuses histoires qu’il nous reste encore à découvrir.

Au cours de cette nouvelle saison de “Ne le dites pas à ma mère”, Diego va s’immerger dans 5 pays que vous pensez surement connaitre mais qui pourtant restent, sur plein de points, inconnus.

« NE DITES PAS A MA MERE que je suis … au KAZAKHSTAN »

Mis à part le fait que ce soit le 9ème pays en terme de superficie , dont le sol regorge de pétrole et d’uranium, on ne connait pas grand chose du Kazakhstan et du rôle stratégique qu’il joue, tout en discrétion, sur la scène mondiale. Depuis son indépendance en 1991, au moment de la chute de l’empire soviétique, les superpuissances mondiales se sont ruées à ses côtés pour l’aider à nettoyer la contamination nucléaire, pomper ses ressources en pétrole et l’aider à contenir les tendances islamiques extrêmistes en son sein.

Diego visite un territoire pillé et désolé laissé par les soviétiques au moment de leur retrait et s’entretient avec ceux qui luttent avec les ressources limitées dont ils disposent pour aider les milliers d’innocents qui ont été brutalement et sans aucune empathie manipulés à cette occasion. En dépit de tout, Diego rencontre des gens remplis d’espoir et une capitale tournée vers le future.

Diego débute son voyage par Astana la nouvelle capitale du Kazakhstan instaurée 14 ans plutôt par son président Nursultan Nazarbaeyev. Diego observe le culte de la personnalité qui lui est voué dans tous les composantes et infrastructures édifiées à cette occasion. Diego a droit à une visite guidée avec rien moins que l’architecte en chef de cette merveille, créée à partir de rien sur les vastes steppes semi désertiques du Kazakhstan.

Diego s’envole ensuite pour la vallée de Chu en compagnie du chef de l’agence de lutte contre la drogue alors même que la saison de la chasse aux trafficants ne fait que commencer. 138 000 hectares de terre envahies par une gandja indienne qui auraient été malencontreusement déversées alors qu’une caravane faisant la route de la soie se serait renversée. Diego observe à quel point la minuscule unité mobile de police en charge de cette vaste étendue, tente de contrôler ce qui en entre et en sort.

On connait presque rien de la région de Sémipalatinsk au nord du pays et c’est bien ce que les Soviets voulaient. Entre 1949 et 1989 plus de 500 bombes nucléaires on été tirées au mépris des 700 000 habitants de cette région. Diego visite la ville et le fameux lac atomic qui émet toujours des radiations élevées à ses abords. A 150 kilomètres à l’est du site de tir, Diego rencontre le Docteur Nurmagambetov qui accompagne les femmes enceintes qui pourraient donner naissance à des enfants malformés du fait de leur expositions aux radiations. Diego poursuit sa visite par le centre néo natal et l’orphelinat pour être témoin des effets dévastateurs que ces tests continuent de générer sur les habitants de la région.

La peste bubonique, une maladie tout droit venue du Moyen Age. Toujours aussi vivace dans les étendues de sel, qui dans le passé était le fond de la mer d’Aral. La maladie se propage essentiellement par l’intermédiaire de la Grande Gerbille porteuse de la bactérie. Diego nous montre ce qu’il reste de la mer d’Aral, juste un dixième de sa superficie initiale et visite le laboratoire d’analyse et de recherche sur la peste bubonique. Il part également en tournée avec les unités mobiles chargées des prélèvements et constate une fois de plus que l’immensité de cette étendue et la tache à accomplir sont surdimensionnées pour équipe unique en son genre.

Finalement Diego quitte enfin les steppes pour les montagnes Kazakhs afin de rencontrer un des derniers fauconniers du pays. Ce qui fut dans le passé un sport traditionel national s’est peu à peu éteint par manque de moyens et le braconage dont les faucons font l’objet (vendus à 100000$ pièce sur le marché noir)

Rejoignez donc Diego dans Ne dites pas à ma mère que je suis reparti au Kazakhstan tandis qu’il traverse ce magnifique pays sacagé par les soviétiques.

LES NOUVEAUX EXPLOS « D… comme Débrouille en Albanie », avec Sebastian Perez Pezzani, le 2/10 à 15h sur CANAL+

Une nouvelle fois Sebastian Perez Pezzani est parti à la découverte de ceux qui par leur intelligence et leur sens de l’adaptation réussissent à se sortir de toutes les situations.

Les rois du système D et les princes de l’astuce permettent à Sebastian de nous dévoiler l’autre facette des pays les plus pauvres. Et l’Albanie en fait partie. C’est là-bas que Sebastian nous emmène rencontrer un recycleur de barrages hydro-électriques, des Roms qui s’adaptent au tourisme du pays ou encore un pharmacien qui récolte lui même les plantes médicinales pour les vendre dans les rues de Tirana.

Du nord au sud du pays, voyagez en compagnie de Sebastian, loin des clichés, et découvrez l’Albanie comme vous ne l’avez jamais vue.

LES NOUVEAUX EXPLORATEURS
D COMME DEBROUILLE … EN ALBANIE
DE SEBASTIAN PEREZ PEZZANI

« Rendez-vous chez moi en Inde », avec Roland Théron, le 22/05 à 15h sur Canal+

Deuxième pays le plus peuplé au monde, l’Inde est en pleine mutation depuis les dernières décennies. Des millions de paysans affluent dans les grandes métropoles. Il faut bien les loger quelque part.

A Mumbaï, Roland Theron rencontre Mayuree. Elle vit avec toute sa famille dans une seule pièce, comme les 450 familles de cet immeuble : un « Chowl », ancien logement ouvrier des usines textiles, typique du centre ville.

En Inde, le contraste entre plus pauvres et plus riches est saisissant. Au nord de Mumbaï, dans l’Etat du Gujarat, Dilip Sanghvi, vendeur de diamants, fait construire sa maison de 1700 mètres carrés, aux murs en onyx, autour d’une porte monumentale.

Plus au nord, dans l’Inde désertique du Rajasthan, explorer l’habitat c’est ouvrir à chaque fois une page d’histoire. A Jodhpur, Roland Theron se perd dans les ruelles de la vile bleue, véritable labyrinthe. Dans le quartier brahmane, Deepak règne en seigneur sur sa famille : 50 personnes dans la même maison : un « Haveli », demeure traditionnelle des riches commerçants, vieille de plus de 500 ans.

Comment faire un ville moderne adaptée à l’Inde d’aujourd’hui ? Certains on déjà essayé. A Chandighar, au début des années 50, juste après l’indépendance de l’Inde, il fallait construire une nouvelle capitale régionale. Nehru, premier ministre de l’époque, engagea l’Inde vers la modernité en confiant le projet à l’architecte français Le Corbusier.

Roland Theron rencontre Mr Sharma, qui travailla avec Le Corbusier pour construire cette ville nouvelle a partir de rien. Une ville pensée au départ pour apporter le confort minimum aux plus démunis.

Pour finir ce voyage d’exception, dans l’Etat de l’Arunachal Pradesh – Inde peu connue du Nord Est – Roland Theron explore les maisons sur pilotis, en bambous, des Adis, une des nombreuses tribus animistes qui vit dans les montagnes, pas loin de la frontière du Tibet.

« D comme Débrouille… Au Kenya » de Sebastian Perez Dimanche 27/03 à 15h00 sur Canal+

On a tout vu et tout lu sur le Kenya : ses safaris, ses guerriers Masaïs, ses paysages, son histoire. De Joseph Kessel aux reportages animaliers le Kenya est un des pays les plus connus du monde.
En revanche il y a une chose que nous ne savons pas.

C’est que les Kenyans sont considérés par le reste de l’Afrique (et ce n’est pas rien) comme les maîtres du système D.

Si la fabrication d’artisanat à l’aide de canettes de soda, sac en plastiques, pneus de voiture fût un temps leurs spécialités, ils sont aujourd’hui passés à la vitesse supérieure.

On parle maintenant d’aviation, d’énergies renouvelables et de téléphonie.

Sebastian Perez Pezzani part rencontrer les avant-gardistes de la débrouille et les rois de l’astuce et nous propose un voyage au Kenya comme vous ne l’avez pas vu.

« D comme débrouille en Colombie », un reportage de Sebastian Perez, le 16/01 à 15h, dans Les Nouveaux Explos sur CANAL+

Cocaïne, Farc, milices d’extrême-droite, corruption, kidnappings, sont les maladies qui gangrènent la Colombie.

Ceux qui refusent de choisir entre la peste et le choléra n’ont pas le choix ils vivent du système D. Un loueur de machines à laver, des constructeurs de side-cars sur voie ferrée, un marchand de café avec sa voiture en bambou mais aussi un chiffonnier: Sebastian est partie à la rencontre de cette Colombie inventive parsemée de sourires et d’espoir.
Loin, très loin des clichés habituels.

D comme Débrouille … en Colombie, de Sebastian Perez Pezzani
Le 16/01 à 15h, dans Les Nouveaux Explos sur CANAL+

« Rendez-vous chez moi au Canada », de Roland Théron, le 9/01 à 15h dans Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +

Dans les grandes forêts du centre du Canada, Allan Mackie fait ses maisons en rondins, comme celles des pionniers venus d’Europe, qui apportaient leur savoir faire d’assemblage des bois massifs.

Aujourd’hui les canadiens s’échappent dès que possible des villes pour retrouver le bord d’un lac sauvage, et profiter des températures clémentes de l’été. A deux heures de Toronto, au bord de l’eau, Larry Williams s’est construit une maison originale : un cube de verre posé sur le granit.

A l’Ouest du pays, en Colombie Britannique, sur Vancouver Island, surfeurs et marginaux ont construits d’étranges maisons bioclimatiques intégrées au paysage.

Des lacs de l’Ontario aux fjords reculés de la côte pacifique de Vancouver Island, Roland THERON réalise une exploration atypique de l’habitat canadien. En traversant d’Est en Ouest le Canada – Immense pays qui fait fait 14 fois la France – il découvre une variété étonnante de modes de vie et d’habitats.

« Rendez-vous chez moi au Canada »,
Un film de Roland Théron, le 9/01 à 15h dans Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +