"Off Secrets et coulisses : secrets et coulisses des événements", le 12/11 à 20h45 sur France 4

SECRETS ET COULISSES DU SUPERCROSS DE BERCY

Un documentaire de Coralie Chardonnet

« Off : Secrets et Coulisses » s’est glissé dans les rouages de Bercy pour comprendre comment ce temple du sport et de la musique se transforme à l’envie, pour accueillir des spectacles plus grandioses les uns que les autres et plus particulièrement lors de la 30ème édition du Supercross de Bercy…

Trente ans de courses démentielles de motocross, de sauts freestyle dantesques, de musique poussée à fond, de pompoms girls, de jeux de lumières… Trente éditions durant lesquelles Bercy fait salle comble, pendant trois soirées. Le Supercross de Bercy, c’est l’évènement de l’année pour les amateurs de motocross qui n’hésitent pas à venir de l’Europe entière pour admirer les plus grands pilotes au monde, notamment les superstars américaines et françaises.

Depuis une dizaine d’années, le Supercross est entrecoupé de shows Freestyle, une discipline à haut risque dans laquelle les pilotes effectuent des figures acrobatiques lors de sauts. Là encore, l’élite mondiale est présente. Bref, un spectacle mythique, unique en Europe, qui a lieu chaque année depuis la création du Palais Omnisport en 1984. Un événement rendu possible grâce aux prouesses techniques du lieu et qui nécessite une incroyable transformation du Palais.

LE LIEU: LE PALAIS OMNISPORTS DE PARIS BERCY, UNE SALLE CAMELEON

Avant Bercy, les grandes compétitions sportives d’intérieur étaient rares. La création de Bercy a permis le développement d’un concept nouveau, le sport-spectacle, des événements qui allient l’exploit au spectaculaire. Les sports fun indoor, le supercross moto en salle ou le football américain semblaient auparavant impensables à organiser.

Avec Bercy, tout est permis. Sports, concerts, défilés de mode, comédies musicales, le spectaculaire n’y est jamais en reste. Aujourd’hui, Bercy affiche 1,5 million de spectateurs annuel et accueille chaque année plus de 120 manifestations. Dans ce lieu de 55 000 m2, les seuls éléments fixes sont la piste de cyclisme de 250m de long et la patinoire de 1 800 m2. Tout le reste, du sol au plafond, se démonte. D’un court de tennis, à une patinoire, en passant par un circuit de motocross, tous les spectacles sont montés avec une aisance particulièrement déconcertante. Nul ne peut suspecter l’infrastructure sur laquelle tout cela repose.

Le palais est constitué d’une salle principale ayant une capacité maximale moyenne de 17 000 places assises, entourant complètement les pistes de jeux. La salle principale offre une visibilité parfaite en tous points, car il n’y a aucun poteau porteur dans les gradins. Ce sont quatre fûts porteurs, en retrait des gradins, qui supportent une charpente métallique à géométrie irrégulière, située à 24 mètres de l’aire de jeu.

Cette charpente métallique de 6 400 m² offre trois particularités techniques importantes : un réseau de monorails sur lequel circulent quatre convoyeurs à pont roulant de 5 tonnes, chacun permettant toutes les manipulations et les transformations de la salle dans les délais les plus courts. Grâce à ce dispositif original, imaginé et réalisé pour la première fois au monde, ce palais permet une série d’applications techniques sans limite pour la sonorisation, les éclairages et les effets spéciaux, tant pour le sport que pour les spectacles.

SECRETS ET COULISSES DE LA FÊTE DES LUMIÈRES A LYON

Un documentaire d’Elodie Bonnes

Chaque année, au mois de décembre et durant quatre jours, la ville de Lyon change de visage et offre un nouveau profil à ses habitants et visiteurs. Monuments, places, fontaines… des lieux quotidiens que les Lyonnais traversent à longueur d’années, vont se métamorphoser et se dévoiler sous un jour inédit, loin de leur banalité.

Du 6 au 8 décembre 2012, Lyon célèbre la Fête des Lumières. Lyon, troisième ville de France, active et laborieuse se transforme en cité magique et poétique. La Fête des Lumières, d’origine religieuse, met désormais à l’honneur la création lumière. Designers, plasticiens, architectes, vidéastes, infographistes et éclairagistes s’emparent de la ville et la transforment en un théâtre à ciel ouvert.

Projections lumière et vidéo sur les monuments, conception d’objets illuminées, parades lumineuses… une centaine de créations investit les édifices, les places, les fleuves et les collines pour transfigurer ces espaces quotidiens.

Comment s’opère cette métamorphose ? Comment la mairie de Lyon parvient-elle à transformer sa ville ? A quel coût énergétique ? Comment les artistes s’emparent-ils de l’espace urbain pour le détourner ? Les équipes de « Off : Secrets et Coulisses » vont s’installer à Lyon avant et pendant ces quelques jours de fête, pour comprendre comment s’opère cette métamorphose de la cité.

Nous allons suivre les équipes de la mairie de Lyon qui travaillent d’arrache-pied pour que la ville soit prête pour le jour J. Ils nous expliqueront comment ils parviennent à minimiser la hausse de la dépense en énergie pendant ces quatre jours. En parallèle, nous allons être au côté de plusieurs artistes, dans les coulisses de la fabrication de leurs œuvres. Nous découvrirons leur univers souvent décalé et onirique.

Comment travaillent-ils la lumière ? Comment investissent-ils la ville pour la transformer ? Pour eux, l’enjeu de la Fête est important : chaque année, trois millions de visiteurs parcourent la ville métamorphosée, trois millions de juges, parfois sans concession pour des artistes contemporains. Au fur et à mesure que le lancement de la fête approche, les problèmes techniques s’accumulent : entre la conception théorique d’une œuvre et son installation, il y a souvent de multiples embuches.

Le stress va monter crescendo jusqu’au lancement de la Fête et les premières réactions du public. À travers les artistes et les équipes de la mairie de Lyon, nous allons être les témoins de la transformation d’une ville.

« Le goût du Béarn et de l’Ariège » dans Des Racines et des ailes – Collection Patrimoine, le 13/11 à 20h35 sur France 3

Un film réalisé par Clémentine Arnaud et Arnaud Mansir

Du massif Pyrénéen aux plaines sauvages, ce film est un voyage au cœur du Béarn et de l’Ariège. Ces deux territoires séparés géographiquement ont une histoire commune, le plus grand prince des Pyrénées : Gaston Fébus.

Nous partons à la découverte de ces régions chargées d’histoire en compagnie d’amoureux qui ont choisi de sauvegarder ce patrimoine exceptionnel mais aussi le faire revivre.

Dans le Béarn, les rivières qui façonnent le paysage portent un nom singulier : les gaves. Ces cours d’eau marquent depuis toujours l’histoire de la région. C’est Alexis Ichas, un auteur intarissable sur le sujet, qui nous en fait revivre les grandes pages. Grâce à lui, nous partons à la découverte de sites médiévaux remarquables comme Sauveterre, Oloron-Sainte-Marie ou Auterive.

Pau, la capitale du Béarn construite en bord de gave est d’abord connue pour son château qui a vu naître Henry IV. Au XIXème siècle, une autre histoire passionnante transforme la destinée de cette petite ville de province : la naissance du tourisme de luxe. Promenade, palais d’hiver, théâtre, casino, villas exceptionnelles : la cité se métamorphose pour accueillir la grande bourgeoisie et l’aristocratie venues du monde entier.

Pendant près d’un siècle, chaque hiver, de riches familles profitent du climat et de la vue exceptionnelle sur la chaîne de montagne. Julie Boustingory, urbaniste, nous fait revivre cette glorieuse époque qui a transformé Pau en ville belvédère.

La suite de notre périple nous conduit vers les plus belles montagnes du Haut-Béarn. Sur ce territoire longtemps abandonné, des gens s’engagent pour faire revivre le pastoralisme. Nous suivons d’abord une équipe de biologistes pour une mission haletante. Chargés de contrôler l’eau dans les estives les plus reculées, ils aident ainsi les bergers à produire le fromage d’estive, le « caviar » des fromages. Plus bas, deux jeunes muletiers sillonnent les sentiers escarpés pour rejoindre les bergeries inaccessibles par la route. Dans un décor à couper le souffle, entre modernité et tradition, ces acteurs participent au repeuplement des hautes vallées.

En Ariège, nous partons à la rencontre de Florence Guillot. Depuis plus de vingt ans, cette archéologue se passionne pour un patrimoine hors du commun : les grottes fortifiées. Nichées dans les parois de la Haute-Ariège, ces postes de surveillance de l’époque médiévale quadrillent le territoire.

Plus à l’est, dans la réserve nationale de Faune d’Orlu, gardes, scientifiques et bénévoles unissent leurs efforts pour protéger l’isard, le cousin du chamois alpin.

Nous les suivons dans leurs missions de comptage, au sol ou en hélicoptère et dans leurs tentatives délicates de capture. Une aventure avec des passionnés qui veillent à ce que ce seigneur des Pyrénées continue de peupler les montagnes ariégeoises.

Enfin, nous embarquons avec Jacques Jany, un pilote d’ULM hors-pair. Avec Olivier de Robert, un ami auteur, il écrit un livre sur l’Ariège vue du ciel. Des plaines verdoyantes aux sommets enneigées, des châteaux cathares aux bastides médiévales, nous découvrons, vus du ciel, les sites qui façonnent ce territoire au cours d’une expédition aérienne exceptionnelle.

Ils sont architectes, naturalistes, muletiers, historiens, gardiens de refuge et ont choisi de vivre mais aussi de se battre pour faire vivre ce territoire.

« Envoyé Spécial la suite – CMU : Soins interdits, 6 ans après », le 9/11 à 14h sur France 2

Un reportage de Marion Baillot

La CMU, la Couverture Maladie Universelle, compte quatre millions de bénéficiaires. Elle couvre les frais de santé des plus démunis. En 2007, Envoyé spécial avait enquêté sur les discriminations dont étaient victimes les patients CMU. À l’époque, 10 % des médecins généralistes refusaient de les soigner. Chez les spécialistes, le taux de refus atteignait 40 %. Une discrimination contraire au code de déontologie médicale.

Six ans plus tard, la situation s’est-elle améliorée ?

En Isère, nous sommes retournés voir Lydie Chassan, une infirmière qui accompagne les bénéficiaires de la CMU dans leurs démarches de santé, notamment lorsqu’ils font l’objet de refus de soins.

Aujourd’hui, elle est plus pragmatique. Plutôt que « d’aller au clash » avec les médecins, elle oriente les patients refusés vers des généralistes et des spécialistes qu’elle connaît.

Les bénéficiaires de la CMU ne sont pas les seuls à rencontrer des problèmes d’accès aux soins. Six ans après notre premier reportage, nous nous sommes intéressés à ces Français qui dépassent le plafond d’attribution de la CMU, parfois à quelques dizaines d’euros près.

Pour de nombreuses personnes précaires, se soigner est devenu un luxe. Trop « riches » pour bénéficier de la CMU, mais trop pauvres pour avancer les frais médicaux et se soigner correctement. Comme Jacky, retrouvé dans la région de Grenoble et qui souffre toujours de graves problèmes de dos, ou comme René, diabétique, un Français sur cinq renonce régulièrement à des soins médicaux pour des raisons financières.

« Un château à tout prix ! », à voir dans So France le 02/11 à 20h50 sur D8

« Un château à tout prix », un documentaire de Paolo BOSONIN

Des châteaux à vendre, la France en compte environ 200. Une niche immobilière qui s’adresse à une clientèle très spécifique composée tout à la fois d’amateurs de vieilles pierres, mais aussi d’investisseurs ambitieux.

Mais les châtelains du XXIe siècle partagent tous le même défi : maintenir debout de véritables colosses aux pieds d’argile. Coûts d’entretien démesurés, chantiers à répétition… posséder un château n’est pas toujours une partie de plaisir. D’autant qu’en ces temps de grave crise financière, la menace de voir les aides publiques disparaître complètement fait peser une lourde menace sur de nombreux châteaux privés.

C’est donc désormais tout un pan du patrimoine qui se retrouve dans la tourmente.

Alors la vie de château est elle encore possible ? Quelles sont les différentes stratégies développées au fil des années pour sauver son patrimoine ? Qui sont ces hommes et femmes qui se saignent pour des monuments séculaires ? Est-ce que leur engagement est toujours désintéressé ?

« Boulangeries : qu’est devenu le bon pain d’autrefois ? », le 26/10 à 20h50 sur D8

« Boulangeries : qu’est devenu le bon pain d’autrefois ? », un film d’Amaury VELTER

Le pain, le produit alimentaire préféré des français ! C’est même l’un des fleurons de notre patrimoine gastronomique.

Chaque seconde, 320 baguettes sont consommées dans l’hexagone. Un marché qui se chiffre à plus de 11 milliards d’euros par an.

Avec 32 000 boulangeries en activité, la concurrence est particulièrement sévère. Alors quels sont leurs secrets pour se démarquer les unes des autres ? Comment les boulangers s’y prennent ils pour fabriquer le pain que tout le monde va s’arracher ?

Au sommaire de l’Effet Papillon du 26/10 à 13h40 sur CANAL+

« PRIEZ PORNO PAUVRES PECHEURS » – Un sujet de Gary Grabli

C’est l’histoire d’un mec qui aimait se faire des lignes sur le corps des playmates, et aussi bouger les lignes. Il y en a une pourtant qu’il ne franchira jamais, c’est la ligne verte, celle des couloirs de la mort… Larry Flynt, cloué depuis 35 ans dans un fauteuil roulant, a exhorté la justice américaine à épargner son agresseur, un serial killer de la pire espèce, qui l’a d’ailleurs rendu paraplégique. Un vibrant plaidoyer contre la peine de mort qui n’est pas passé inaperçu… Même si certains se demandent encore si c’est du lard ou du cochon.

« DESTIN ANIME » – Un sujet de Benoit Chaumont avec Ibar Aibar

C’est le phénomène d’animation de la rentrée. 60 pays sont déjà sur les rangs pour en acheter les droits, 3 mois à peine après son apparition sur les écrans pakistanais. BURKA AVENGER, mi Malala mi Wonder Woman, est la première super héroïne au pays des Talibans. La première aussi à se battre en burqa de ninja pour l’éducation des filles. Une croisade qui rappelle étrangement celle de la jeune Malala, la militante pakistanaise récompensée il y a quelques jours par le prix Sakharov, le prix du courage.

« ISRAEL, L’ARMEE SANS DESSUS DESSOUS » – Un sujet de Cyprien d’Haese

(Rediffusion du 13/07/2013)

Qui a dit que le service militaire n’était pas sexy ? Certainement pas les israéliennes… Depuis quelques mois, certaines jeunes recrues de Tsahal ne résistent pas à l’envie de poster sur Facebook des photos d’elles à moitié nues sous les drapeaux. Un étalage de charme inacceptable pour les autorités militaires qui multiplient les sanctions… Sans réel effet dissuasif. Mais comment au juste convaincre les 18-20 ans accrocs aux réseaux sociaux de se déconnecter pendant le service ?

Le PLANETARIUM de Mathieu Leblanc et David Castello-Lopes

Le CHIFFROSCOPE de Léonard Cohen, David Castello-Lopes et Emmanuel Grand

« Envoyé Spécial – Afrique du Sud : les raisins de la honte », le 24/10 à 20h45 sur France 2

En Afrique du Sud, la route des vins est une destination de plus en plus prisée des touristes étrangers. Autour de 500 000 l’empruntent chaque année, et parmi eux, de plus en plus de Français. C’est cinq fois plus qu’il y a dix ans. Ils visitent le petit village de Franshoek fondé autrefois par des huguenots, enchaînent les dégustations, et rencontrent des producteurs.

Des producteurs essentiellement blancs, dix neuf ans après la fin de l’apartheid en Afrique du Sud. Quant aux ouvriers viticoles, essentiellement noirs, leur salaire minimum est de dix euros par jour. Une somme modique pourtant arrachée de haute lutte : en janvier dernier, à deux pas des domaines visités par les touristes, ils étaient 100 000 à se révolter… Bilan de la répression policière : 3 morts et des centaines de blessés.

La société sud-africaine a-t-elle réellement changé dans ces campagnes reculées ? Héloïse Toffaloni et Vincent Barral ont emprunté la route des vins à l’époque des vendanges. Ils ont suivi des vacanciers français et ont découvert, hors des circuits touristiques, le revers de la carte postale : des ouvriers mal payés, mal logés, et des professionnels du vin qui semblent parfois regretter le temps de l’apartheid.

Ils ont aussi suivi un syndicaliste agricole qui parvient pour la première fois à mobiliser des dizaines d’ouvriers, peu habitués à se plaindre ouvertement de leurs conditions de travail.

Au sommaire de l’Effet Papillon du 19/10 à 13h40 sur CANAL+

« EMBRASSE-MOI SI TU PEUX » – Un sujet de Jaouhar Nadi

Tout est parti d’un simple baiser. D’un baiser entre deux collégiens, immortalisé et posté sur Facebook à la sortie des cours. Le couple s’embrasse et le Maroc s’embrase. Les tourtereaux passent 3 nuits en taule, la Toile se mobilise, et les appels à s’embrasser en pleine rue et à bouche que veux-tu se multiplient, car au Maroc… s’embrasser dans la rue est un délit, une incitation à la débauche, une atteinte à la pudeur passible de 5 ans de prison.

« ON PENSE ENCORE A TOI Ô MOUAMMAR » – Un sujet de Benoit Chaumont avec Stéphane Ligeoix

Si Churchill disait que « la démocratie est le pire système de gouvernement, à l’exception de tous les autres », voilà que chez nous, certains en viennent à regretter le temps béni, non pas des colonies, mais des dictatures. Et notamment celle de Mouammar Kadhafi en Lybie. Mais quelle mouche a bien pu piquer le sénateur Marini ? Craint-il une invasion progressive de l’Europe par les étrangers depuis que le colonel n’est plus là ? Et d’ailleurs y a-t-il seulement un lien ? Et si au fond, c’était plutôt du côté de l’Europe qu’il fallait regarder, l’Europe qui payait grassement ce régime pour l’isoler de la misère ?

« LA VIE APRES LA MORT » – Un sujet de Marie Linton et Guillaume Bression

Comment raccrocher à la vie des gens susceptibles de vouloir en décrocher, c’est tout le dilemme de la Corée du Sud, qui avec 50 morts par jour en moyenne, est une des Nations les plus déprimées et suicidaires des pays de l’OCDE ? Et bien, en leur donnant rendez-vous avec la mort. L’idée est bel et bien morbide, sans doute farfelue, et pourtant, jouer au mort-vivant vous redonnerait sacrément le goût de la vie.

LE PLANETARIUM de Mathieu Leblanc et David Castello-Lopes

Le CHIFFROSCOPE de Léonard Cohen, David Castello-Lopes et Emmanuel Grand

« Les bonnes recettes du Mont Saint-Michel », dans So France le 19/10 à 20h50 sur D8

« LES BONNES RECETTES DU MONT SAINT-MICHEL » – Un documentaire de Léa Caruelle

Le site est connu dans le monde entier : deuxième destination touristique de France. Le Mont Saint-Michel s’est organisé pour tirer un profit maximum de cet afflux touristique massif.

Ici, boutiques de breloques et restaurants couteux appartiennent à une poignée de Montois, qui préservent jalousement leur pré carré.

Sans compter la mainmise du maire et homme d’affaires Eric Vannier, qui a capitalisé sur la plus célèbre marque du Mont : la Mère Poulard, dont il détient le restaurant, l’hôtel et l’usine de biscuits… L’homme détient également la moitié des restaurants, commerces et hôtels de la commune, ainsi que des musées…

Enquête sur une incroyable cash machine le 19/10 à 20h50 sur D8.

Au sommaire de l’Effet Papillon du 12/10 à 13h40 sur CANAL+

« COEUR DE BOXEUR » – Un sujet de Benoit Chaumont avec Ibar Aïbar

« Il a pris ses couilles et il les a claquées sur la table » comme on dit à Porto Rico ! D’un coup, d’un seul, le 4è mondial des poids-plume, Orlando Cruz est devenu plus célèbre que s’il avait décroché le titre mondial, qu’il vise d’ailleurs samedi soir sur un ring de Las Vegas. Le boxeur a mis K.0. un tabou en faisant son « coming out ». Son homosexualité, il l’assume, l’affiche, et même la revendique, – il est allé jusqu’à demander son compagnon en mariage sur Facebook – une première dans ce milieu machiste, tendance homophobe.

« MORSI PAS DU TOUT » – Un sujet de Cyprien d’Haese

Direction maintenant Égypte où les violences meurtrières se multiplient, avec un retour aux bonnes vieilles méthodes de l’état policier. 3 mois après avoir déposé le président MORSI, l’armée s’est lancée dans une purge des Frères Musulmans. Une répression sanglante qui divise le pays, empêche toute réconciliation nationale et fait craindre une radicalisation encore plus forte des opposants au régime. Bref, le climat est délétère et dégénère. L’Armée traque, les Frères se braquent, et le sang coule.