« ENGRENAGE INFERNAL : Victimes de dérives sectaires », un documentaire d’Alexis de La Fontaine le 13/03 à 20h45 sur Planète+ Justice

Secte, un mot qui fait peur. Derrière ce mot, des milliers de vies brisées. Abus de faiblesse, viols, extorsion de fonds et traumatismes psychologiques durables, pour un individu.

Les conséquences de la vie au sein d’une secte sont multiples et parfois dramatiques. Jean-Luc Barbier, jazzman d’origine suisse ancien scientologue, et Magali Breu, jeune Française de 30 ans dont la mère a fondé un groupe de prière à dérive sectaire, ont été, l’un comme l’autre, victimes de ce fléau.

Comment retrouver une vie normale après avoir vécu cette épreuve hors-norme ?

« OFF SECRETS ET COULISSES DU SALON DE L’AGRICULTURE », un documentaire hors-série de Laure Bessi et Mickaël Beurdouche le 12/03 à 20h45 sur France 4

Cette année, le Salon de l’Agriculture fêtait ses 50 ans. Un évènement pour le monde agricole !

Du 23 février au 3 mars 2013, ils étaient 2000 éleveurs, venus des quatre coins de l’hexagone à préparer, bichonner, astiquer leurs plus belles bêtes, en vue de les présenter aux différents concours organisés par le salon.

Ces concours sont une vitrine inespérée pour leurs élevages. Nos équipes ont suivi la préparation des bêtes, depuis l’exploitation jusqu’au jour du concours.

Mais tous les participants ne sont pas des éleveurs aguerris, certains sont encore en pleine formation. C’est le cas des étudiants des lycées agricoles qui envoient leurs meilleurs éléments, comme Firmin et Morgane, participer au trophée des lycéens.

Une véritable aventure humaine pour ces jeunes de 16 ans qui « montent » à Paris pour représenter les couleurs de leur lycée.

Une fois les portes du salon fermées, le public parti, chaque soir tous les exposants se retrouvent autour d’une table, ou d’un stand, pour festoyer à la « bonne franquette » avec les meilleurs vins et produits que chacun rapporte de sa région. Les équipes de « Off Secrets et coulisses » ont passé 10 jours avec eux, 24/24, au cœur de cette cour de ferme géante.

Le salon c’est aussi 230 tonnes de paille, 215 tonnes de copeaux et 280 tonnes de fumier… Des centaines de petites mains qui fourmillent pour préparer et accueillir les 700 000 visiteurs prévus et les 5000 animaux. Du lapin géant des Flandres à Forban, un taureau d’1,8 tonne, des éleveurs au chef de la sécurité, sans oublier la farandole des politiciens…

« Off Secrets et coulisses » vous embarque dans les coulisses de la plus grande ferme de France.

Au sommaire de L’Effet Papillon du 09/03 à 13h40 sur CANAL +

Vouloir le beurre et l’argent du réacteur, c’est un sujet de Marjorie Grappe et de Christophe Barreyre

Personnes endettées ou handicapés mentaux envoyés au cœur du réacteur, déchets radioactifs enterrés à la va-vite, prostitution autour du site, la mafia japonaise, les redoutables yakuzas, fait son beurre de la catastrophe de Fukushima.

L’Amérique possédée, c’est un sujet de Sabrina Van Tassel avec Charles Baget (rediffusion)

Si soudainement vous parlez à jeun une langue inconnue ou que l’eau bénite vous pique, pas besoin de chercher plus loin : vous êtes possédé par le diable… Depuis quelques mois, aux Etats-Unis, le diable gagne du terrain et les exorcistes, ces prêtres chasseurs de démons et de dollars, se multiplient comme des petits pains.

Enfants de la balle, c’est un sujet de Cyprien d’Haese

16 ans et déjà 50 assassinats au compteur. Ce jeune homme de main arrêté par la police mexicaine illustre la tendance des chefs de cartel avec les enfants ou les ados : on leur fait peur ou on en fait des tueurs.

Et comme chaque semaine, retrouvez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

« Larguez les amarres ! », un film de Lionel Langlade, le 8/03 à 20h35 dans Thalassa sur France 3

Qui n’a jamais rêvé de changer de vie ?

Thalassa propose de larguer les amarres, de partir en mer avec des hommes et des femmes qui se sont choisis un nouveau destin. Parmi eux, il y a de vrais aventuriers, des navigateurs au long cours, recherchant la solitude et le danger. Mais il y a aussi des profils plus sages, qui s’inventent un nouveau quotidien, en famille et sous d’autres latitudes.

« Larguez les amarres ! » entrecroise cinq trajectoires, cinq nouveaux départs. En toile de fond : les paysages les plus variés, du Pôle Nord à la Terre de Feu, de l’île de Ré à l’archipel des Tonga.

Manu le rebelle est parti sur un coup de tête. À vingt-quatre ans, il affronte le Cap Horn et cherche ses limites…

Chantal et Didier, eux, ont préféré attendre la retraite pour se jeter à l’eau. Leur tour du monde est bien plus calme…

Changer de vie, ce n’est pas toujours choisir le confort.

Prisonniers des glaces, Éric, France et leurs 2 enfants passent l’hiver au Pôle Nord pour mesurer la banquise.

Lui aussi fait des sacrifices, mais c’est pour mieux se connaître… Comme Robinson, Xavier apprend la survie sur une île déserte, au beau milieu du Pacifique.

Le grand départ, ça fait rêver, mais il faut savoir s’arracher à son ancienne vie. Aurore et Romain n’en finissent plus avec les préparatifs sur le quai de Port Fréjus…

Pour chacun, il y aura des rebondissements, du risque et des rencontres…

« Larguez les amarres ! » a suivi ces cinq aventures pendant un an, et sur tous les continents. Cinq histoires pleines de difficultés, mais qui donnent à penser, et qui font rêver.

Un film de Lionel Langlade dans Thalassa le 8 mars à 20h35 sur France 3.

« Les Branches esseulées : Trafic de femmes vietnamiennes en Chine », un reportage de Patricia Wong et Gaël Caron le 07/03 à 20h45 dans Envoyé Spécial sur France 2

Une récente étude chinoise montre que d’ici 2020, 35 millions d’hommes ne pourront pas trouver l’âme sœur dans l’Empire du Milieu. En Chinois, on appelle ces hommes les « Guanggun » (branches esseulées). Ils vivent pour la plupart dans des villages isolés de Chine, que les femmes ont désertés pour chercher un mari riche à la ville. Des trafics illégaux se sont organisés pour que ces célibataires se marient.

Des milliers de femmes arrivent chaque année des régions rurales du Vietnam, du Laos, de la Birmanie, d’Indonésie. Vendues comme des esclaves, “importées” en Chine, ces nouvelles épouses réalisent vite la différence entre l’homme fortuné dont les trafiquants leur ont parlé et le destin qui les attend : une vie de labeur et de reproductrice dans la Chine rurale. Certaines choisissent de s’enfuir, d’autres se résignent…

Après plusieurs mois d’enquête, Patricia Wong et Gaël Caron, de l’agence Capa, ont pu suivre Xiao Lu, un cultivateur de thé de 30 ans, dans son périple au Vietnam pour acheter une femme, à 3500 km du village de Ting Xia où il habite. L’enquête commence dans un quartier en périphérie de Ho-Chi-Minh-Ville où les trafiquants, chinois et vietnamiens, regroupent les hommes « les branches esseulées » dans des hôtels, leur confisquent leur passeport, et leur présentent des jeunes femmes. Les célibataires chinois dépensent environ 5000 euros pour « acquérir » une épouse, de préférence vierge. Celle-ci est « échangeable » en cas de problème, promettent les trafiquants.

Dans sa chambre d’hôtel, Xiao Lu rencontre Thu Yen, une jeune fille de paysans pétrifiée de timidité. Ils ne peuvent pas communiquer : il ne parle pas vietnamien, elle ne parle pas chinois. Quelques jours plus tard, une cérémonie de mariage, sans valeur légale, va avoir lieu dans le petit village où habite Thu Yen, sur les bords du Mékong. Et Mme Wang, chef des trafiquants, remettra à la jeune fille un visa pour la Chine.

Quelques jours plus tard, Thu Yen découvrira son nouveau village, perdu dans une vallée, au cœur d’un pays dont elle ne parle pas la langue… Enquête exclusive sur un trafic qui n’a jamais été filmé et qui concerne, depuis cinq ans, plusieurs centaines de femmes vietnamiennes. Récit d’une odyssée, celle d’un cultivateur de thé, où le mot « amour » ne sera jamais prononcé.

« ENGRENAGE INFERNAL : Esclaves modernes », un documentaire de Martin Mischi le 06/03 à 20h45 sur Planète+ Justice

L’esclavage a été aboli en France par un décret en date du 27 avril 1848. Pour beaucoup ce n’est plus qu’un souvenir lointain et honteux de notre histoire.

Pourtant il existe encore tout près de chez nous. Tina Okpara et Christophe Lavigne en sont la preuve vivante. Elle, a été torturée et réduite en esclavage par sa mère adoptive et violée par son père adoptif, un célèbre footballeur du PSG. Lui, a été réduit au rang d’esclave par ses patrons, un couple de boulangers vivant à Arcachon et en apparence très respectables.

Un film de Martin Mischi
Diffusion le 6 mars à 20h45 sur Planète + Justice

ENQUETES CRIMINELLES : « Le tueur au visage grêlé », un film de Alexis De La Fontaine, le 06/03 à 20h50 sur W9

C’est le dossier criminel le plus ancien traité par la brigade criminelle de Paris. Depuis 27 ans, la police judiciaire recherche un homme qu’elle soupçonne d’être l’auteur de six crimes commis entre 1986 et 1994 : trois viols sur enfants, et trois assassinats. Il pourrait également être impliqué dans une dizaine d’autres affaires criminelles.

Alors pourquoi est-il insaisissable ? Les policiers ont pourtant en leur possession un tas d’indices : les empreintes digitales, l’ADN du tueur, un portrait-robot et surtout une caractéristique physique de l’assassin bien particulière : la peau de son visage est grêlée. Pourtant, l’homme court toujours et n’a jamais été appréhendé…

« Enquêtes Criminelles » rouvre les dossiers de tous ses crimes, retrouve les témoins, et reconstitue les faits.

Qui est ce prédateur qui agit avec une sauvagerie inouïe ? Quel est son mode opératoire ? Connaît-il ses victimes ou agit-il par hasard ?

L’homme est-il l’un des plus grands tueurs en série que la France ait connu ?

« Le tueur au visage grêlé », un film de Alexis De La Fontaine
Le mercredi 6 mars à 20h50 sur W9.
Émission déconseillée aux moins de 10 ans.

« SEXE, BUSINESS ET POLITIQUE : L’ARME SECRÈTE », une enquête de Vanina Kanban

C’est le grand tabou des affaires : le sexe utilisé comme arme de séduction massive. Un secret de polichinelle, dans certains secteurs économiques. Plus efficace qu’une enveloppe de billets et beaucoup moins dangereux : les formes généreuses d’une professionnelle peuvent s’avérer redoutablement efficaces pour faciliter la signature d’un contrat.

Une forme de corruption des sens qui ne laisse pas de traces et crée un pacte intime entre le corrupteur et celui qui accepte le « cadeau ». Principales cibles : les gros donneurs d’ordres industriels et les hommes politiques qui ont la main sur les chantiers publics. Pour la première fois, tous les acteurs de ce système témoignent : des industriels qui ont recours à l’arme secrète du sexe, des élus en fâcheuse posture et des prostituées tout à fait lucides sur le rôle qu’on leur fait jouer.

Lancée il y a deux ans, cette enquête a été rattrapée par l’actualité. L’affaire du Carlton de Lille, dans laquelle est impliqué Dominique Strauss-Kahn, révèle les liens troubles entre un cadre du BTP et un homme politique de premier plan, alors en piste pour devenir président de la République. Ce film apporte des témoignages (et une lecture) inédits de ce rocambolesque épisode de notre vie publique.

Arme de séduction massive, le sexe peut aussi se transformer en arme tout court, quand il est instrumentalisé pour mettre en pièce la réputation et la carrière d’un adversaire… Pour SPECIAL INVESTIGATION, Vanina Kanban enquête en France, aux Etats-Unis et en Russie, sur les dessous cachés de la politique et des affaires.

Une enquête de Vanina Kanban à découvrir le lundi 4 mars à 20h55 sur Canal +.

A noter, la parution le 7 mars du livre « Sexe, business et politique – DSK au coeur du scandale – Le vrai visage des affaires » de Vanina Kanban et Bénédicte des Mazery aux Éditions Plon.

Retrouvez SPECIAL INVESTIGATION sur le SITE DE CANAL + et sur FACEBOOK.

« ENFIN LES FEMMES ! », un film d’Olivier Ghis le 03/03 à 00h25 sur Canal+

Pleins feux sur les femmes ! Tel est l’objet de ce documentaire, qui offre un panorama complet de la place – de plus en plus conséquente – du beau sexe dans le X d’aujourd’hui.

À travers une série d’entretiens, de tournages, d’extraits, nous suivons au travail des figures majeures comme Ovidie, Liza des Sierra, Anna Spam, Erika Lust ou Nina Roberts.

Elles nous disent, chaque fois, leurs difficultés, leurs doutes, leur ambition : filmer autrement l’amour, affirmer le désir, le regard féminin. Autrement dit : moins de gros plans génitaux, d’avantage de réalisme, de suavité, de préliminaires… Ou pas : car nos protagonistes n’ont pas toutes, loin de là, la même idée sur la question.

Enfin, il s’agira de décrypter le pourquoi du comment d’une tendance lourde du X actuel : la montée en puissance des filles, non plus comme objets de désir, mais comme productrices, à part entière, de fantasmes et de rêves.

Film déconseillé aux moins de 18 ans

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz en Nouvelle-Zélande », le 03/03 à 15h15 sur Canal +

Au pays du rugby, modes de vie et habitat révèlent l’art de vivre au vert.

Depuis 2007, la série « Les Nouveaux Explorateurs » présente les différentes façons de vivre aux quatre coins du monde. Pour ce numéro, l’architecte Erik Mootz est allé au sud-ouest de l’océan Pacifique, en Nouvelle-Zélande. Il traverse en camping-car ce pays grand comme la moitié de la France, où vivent 4 millions d’individus dans un cadre géographique exceptionnel.

Après une escale à Hobbiton, village des Hobbits construit par Peter Jackson pour le tournage du « Seigneur des Anneaux » et de « The Hobbit », l’architecte visite plusieurs maisons de rêve au design épuré, de style Frank Lloyd Wright. Certaines sont situées en ville comme celle d’Auckland ; d’autres en pleine nature telle la Turn Point Lodge.

Nous rencontrons aussi Matt, employé de l’industrie du cinéma néo-zélandais. Ce nomade vit depuis vingt-deux ans dans un van tagué de paysages. Brian, Néerlandais, a lui tout quitté pour installer sa famille dans le cadre paradisiaque des Malborough Sounds.

Nous passons pas Kandallah, ce village inspiré de l’architecture vernaculaire des îles grecques et de l’univers de « Star Trek », édifié par l’architecte Ian Athfield. A Great Barrier Island, Erik Mootz découvre le « bach », cabanon « construit sur un terrain qui ne vous appartient pas, à partir de matériaux récupérés », dans lequel vivent des gens à la manière de Robinson Crusoé. Du plus rustique au plus design alimenté par un système de batterie solaire, le « bach » incarne ce mode de vie d’autosuffisance que les Néo-Zélandais appellent « les trois B » : bach, bière, barbecue.

Pour finir, Erik Mootz se rend à Christchurch, capitale de l’île du Sud, dont le centre-ville a été détruit à 80% par un séisme en février 2011. Il nous présente les nouveaux bâtiments comme le centre commercial construit en containers recyclables, ou la cathédrale éphémère triangulaire à charpente en tubes de carton, réalisée en quatre mois par l’architecte Shigeru Ban !