Au sommaire de L’Effet Papillon du 27/10 à 13h40 sur CANAL +

Au sommaire de L’Effet Papillon du samedi 27 octobre à 13h40 sur CANAL +

MA FEMME NE S’APPELLE PLUS REVIENS de Benoît CHAUMONT

 » Ici une femme qui fait de la politique n’est pas hallal » a osé dire un élu de Cisjordanie. Imaginez onze drôles de dames qui se lancent, avec l’accord de leur mari tout de même, à la conquête de la mairie de la ville d’Hébron, réputée la plus islamiste de la région. Et pour cette équipe de campagne 100% féminine, une première dans le monde arabe, les thèmes  ne manquent pas : polygamie, inégalité des sexes devant le divorce sans parler des crimes d’honneur. Ma femme ne s’appelle plus reviens !

LA BOURSE OU LA VIE de Olivier PONTHUS

C’est la mauvaise nouvelle de la rentrée scolaire en France : le surendettement des étudiants. Pour imaginer ce que ça peut donner demain papillon a enquêté aux Etats-Unis où l’endettement moyen d’un jeune diplômé débarquant sur le marché du travail est de 27 000 dollars. Barack Obama qui fait actuellement la tournée des campus pour récupérer le vote des jeunes qu’il a un peu déçu il faut bien le dire, a même déclaré « être un type qui croulait sous 60 000 dollars de dettes lorsqu’il est sorti de la Fac». Depuis rassurez-vous il a tout remboursé.

LES HOMMES DU PRÉSIDENT de François CARDONA et Miyuki DROZ

Ils sont onze brésiliens, ça n’est pas une équipe de foot mais les juges de la cour suprême et ils sont les héros du procès des années Lula. Objectif : prouver le système dit du « Mensalao »: ça sonne comme un bon cocktail mais c’est un mauvais montage de pots-de-vin mis en place par les amis de l’ancien président et destiné à s’assurer une majorité au Congrès dans les années 2000. Du côté de l’ancien président brésilien qui a pourtant lutté contre la corruption, il faut bien le reconnaître, on nie en bloc en déclarant que cette affaire finira en pizza, traduction brésilienne de notre expression « en eau de boudin ».

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook, c’est par ici !

L’effet Papillon sur Twitter!

« 21 Jours inoubliables », un film d’Alexandra Alévêque et d’Alexis Marant le 30/10 à 22h50 sur France 2

La population française vieillit. Derrière les statistiques, il y a des solitudes, et des familles qui se débrouillent comme elles peuvent. Comment vivent-ils, ces seniors qu’on n’ose plus appeler vieux ? Que nous disent ceux qui s’en occupent au quotidien, aides à domicile ou aides soignant ?

Pour 21 Jours et France 2, Alexandra Alévêque a côtoyé ces professionnels de la dépendance qui savent ce qui se cache derrière le grand âge. Elle a travaillé à domicile et en institution.

Pendant ces 21 jours, elle a observé la relation fragile qui s’établit entre soignants et soignés, la confiance à reconquérir chaque jour quand la mémoire s’évapore et les repères s’estompent…

Pourquoi 21 jours ? Parce que c’est le temps nécessaire pour s’adapter, oublier ses a priori et entrevoir une réalité nouvelle. Durant cette expérience, Alexandra Alévêque a surtout été confrontée à un mal aussi tabou que dévastateur, la maladie d’Alzheimer. En France, il y a plus de 800 000 cas identifiés. Mais beaucoup de malades échappent au diagnostic, parce qu’ils sont trop isolés, ou parce que leur entourage reste dans le déni. 3 millions de Français ont un proche touché… et pourtant la maladie d’Alzheimer reste mal connue, et peu traitée par les médias.

Novice dans l’accompagnement des personnes âgées, Alexandra Alévêque a d’abord partagé le quotidien d’aides à domicile. C’est une profession aux contours encore flous. Les vocations manquent, et les formations sont rares.
Les besoins sont pourtant énormes : 70% des malades d’Alzheimer vivent encore chez eux. Recevoir une aide à domicile est pour eux décisif et permet d’éviter le placement.

Alexandra a ainsi rendu visite à Jeanne, 87 ans. Pétillante et gaie, la vieille dame ne reconnaît plus sa propre rue.
Elle a suivi Marion et Hélène dans leurs tournées. Des aides à domicile qui prennent leur travail à cœur et veillent au jour le jour sur leurs « petites dames ». Alexandra a aussi secondé Nathanaëlle et Catherine, qui travaillent elles dans un accueil de jour parisien, pour « jeunes » malades d’Alzheimer. Leur rôle : tenir la mémoire en éveil avec des tâches simples : mettre le couvert, ranger un jeu de société…

Mais quand les souvenirs s’en vont, le moindre geste devient une épreuve. Comment déjeuner normalement, quand on ne connait plus la fonction d’un verre ou d’une fourchette ? Auprès de Nicole, Michel, Dorothée et les autres, Alexandra a mesuré à quel point cette maladie fragilise ceux qu’elle frappe. « On est cabossés, mais quand même, on est encore là… », philosophe Dorothée, qui comme les autres s’accroche pour ne pas perdre pied.

Enfin, Alexandra Alévêque s’est fait embaucher par un EHPAD, dans une unité spécialisée pour les malades d’Alzheimer.Avec Rose et Barka, ses collègues, elle a pris soin d’hommes et de femmes désormais incapables de vivre chez eux. Pour ces cas sévères, l’entourage, épuisé et parfois culpabilisé, a jeté l’éponge et accepté de confier la mère ou l’époux. Ils s’appellent Félix, Angèle ou Lucienne et même s’ils n’ont plus toute leur tête, Alexandra Alévêque se souviendra longtemps de leur présence.

« 21 jours inoubliables », un film d’Alexandra Alévêque et d’Alexis Marant à découvrir le mardi 30 octobre à 22h50 sur France 2

« Très chers ancêtres, 10 après », un reportage de Marion Baillot pour « Envoyé Spécial, la suite » le 27/10 à 13h55 sur France 2

Thierry aime les voyages dans le temps. Les racines qu’il déterre sont familiales, les arbres qu’il dessine sont généalogiques. Lancé sur la trace de ses ancêtres, ses recherches débouchaient parfois sur de drôles de découvertes comme celle d’un lointain cousinage avec l’animateur Jean-Pierre Foucault.

C’était il y a dix ans. Depuis, Thierry n’a jamais cessé d’étoffer son arbre généalogique.

Quand nous l’avons retrouvé à Monaco, il avait rendez-vous avec un de ses cousins, une star mondialement célèbre.Dans les archives poussiéreuses des services d’Etat civil ou des tribunaux, « Envoyé Spécial, la suite » a suivi le travail de ces passionnés de généalogie. Des amateurs ou des professionnels dont les recherches ont aujourd’hui trouvé des applications les plus inattendues, notamment dans le domaine médical.

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Antarctique », à voir le 21/10 à 15h sur CANAL +

Après avoir baroudé dans 25 pays, au coeur des zones de guerre semées d’embûches et s’être immergé dans les mégapoles mondiales, Diego s’aventure dans cette nouvelle saison des Nouveaux Explorateurs aux confins de la planète, dans les zones interdites. Ce sont des lieux peu connus et c’est à peine si des étrangers s’y sont risqués. Les conditions y sont extrêmes et l’environnement inhospitalier voire mortel. La vie de ceux qui s’y rendent est un combat de tous les instants.

Rejoignez Diego dans ces expériences du bout du monde au côté de caractères d’exception, tandis qu’il se surpasse et s’adapte à la rigueur qui l’entoure pour découvrir les contraintes et les victoires quotidiennes.

Arriver sur les plages de Cape Town avant de se lancer dans l’aventure du Grand Froid n’est pas ce que Diego avait imaginé comme point de départ d’une expédition en Antarctique.

Et pourtant c’est en Afrique du Sud que Diego embarquera pour 6h d’un vol international d’un autre genre, à bord d’un Ilyushin76 qui l’emmènera sur une piste d’atterrissage glacée de 300m de long sur la base aérienne de Novo, aux abords de la base russe de Novolazaresvskaya. Emmitouflé dans ses vêtements polaires et en attendant d’aller rejoindre la base Princess Elizabeth, Diego ira se restaurer et tentera de rentrer en contact avec les scientifiques russes qui sont installés sur cette base.

Un nouveau vol de 90 minutes l’emmènera enfin à bon port sur la base Princess Elizabeth, à l’est de l’Antarctique, à 1390m d’altitude, sur la terre de la Reine-Maud, à 180kms de la côte, à Utsteinen.

En 1959, douze Etats signe un traité sur l’Antarctique: l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Chili, les États-Unis, la France, le Japon, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et l’URSS (actuelle Russie). En 2010, le traité compte quarante-cinq États signataires. Ce traité donne au continent un statut particulier : les activités militaires y sont interdites ainsi que l’exploitation des ressources minérales sauf celles qui sont menées à des fins scientifiques.

Après deux jours de briefing intense sur les procédures strictes liées à l’environnement (hostile et fragile), une visite médicale de contrôle et un entrainement liées aux techniques de survies et de sécurité dans la région, Diego prendra alors toute la mesure de l’enfermement auquel il va devoir se confronter pendant 21 jours.

Construite lors de l’année polaire internationale 2007/2008, la base Princess Elizabeth remplace la base Roi-Baudoin abandonnée en 1968 par manque de budget. Diego nous la fait visiter. Equipée d’un site d’observation météorologique et de deux plateformes d’analyses chimiques de l’atmosphère et de géophysique, la base Princess Elizabeth a pour spécificité de recycler entièrement ses déchets et de n’utiliser que les énergies renouvelables, solaire et éolienne. Les matériaux et les technologies choisis respectent les principes de l’éco-construction afin de réduire l’impact environnement et se targuer d’être la seule station « Zéro émission ».

Diego va donc apprendre à vivre en totale immersion entouré de scientifiques et de pingouins sur une superficie de 14 millions de km2, soit les Etats-Unis et l’Europe réunis, à 98% recouverte de glace, au cœur du continent le plus froid, le plus sec et le plus venteux, bref dans le plus grand désert du monde.

Rejoignez Diego dans sa quête contemplative à la recherche de la grande ourse, à l’origine du terme Antarctique (opposé à la petite ours, référence à la constellation indiquant le nord), sur les traces de Dumont D’Urville quelques 172 années après que le premier explorateur (français) ait planté un drapeau sur cette incroyable réserve naturelle.

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Antarctique », à découvrir dimanche 21 octobre à 15h sur CANAL +

Au sommaire de L’Effet Papillon du 20/10 à 13h40 sur CANAL +

LES MALADIES IMAGINAIRES de Thomas Zribi

Il y a des dates comme ça qui nous rappelle que certains combats sont loin d’être terminés. Exemple : cela fait seulement 20 ans que l’homosexualité n’est plus officiellement reconnue comme maladie mentale. Pourtant dans certains pays on tente toujours de « guérir » les homos, comme aux Etats-Unis. Et bien la bonne nouvelle des derniers jours, c’est que la Californie est devenue le premier Etat américain à interdire les « thérapies de rééducation ou de conversion » des mineurs homosexuels dont les seuls résultats réels ont été de pousser des ados au suicide…

ILS SONT FOUS CES AFGHANS  de Laurent Hamida

Dès que vous mettez un pied en Afghanistan, un pays qui est en guerre depuis plus de trente ans, vous comprenez vite que la solution ne viendra pas de l’extérieur mais de l’intérieur. Ca tombe bien depuis quelques semaines, face à l’impuissance, il faut bien le dire, des armées occidentales qui en plus font leurs valises, des villageois afghans ont ouvert la chasse aux talibans.

MA FAVELA VA PAS CRACKER  de Hugo Van Offel

Il y a quelques jours, 800 policiers et 13 blindés ont fait leurs entrées dans deux des favelas les plus violentes de Rio, et oui il faut que ça brille pour la coupe du monde de foot 2014 et les JO 2016. Mais les trafiquants de drogue qui contrôlent ces territoires n’ont pas attendu la cavalerie pour faire le ménage:  trop de drogue tue la drogue, notamment le crack qui rend les gens dingues et dont le Brésil détient désormais le triste record mondial de consommation.

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook, c’est par ici !

L’effet Papillon sur Twitter!

« Pêcheuses de millionnaires », un reportage de P. Wang et Gaël Caron pour Envoyé Spécial le 18/10 à 20h45 sur France 2

On compte depuis quelques mois plus d’un million de millionnaires en Chine, soit quatre fois plus qu’en 2005. Et cet enrichissement rapide de la société chinoise semble dérégler certaines valeurs : selon un récent sondage, plus de 70% des femmes pensent qu’il n’existe qu’un seul critère pour se marier : l’argent.

Pire : si le salaire d’un homme est inférieur à 450 euros par mois, un bon salaire en Chine, elles ne jugent pas nécessaire de lui adresser la parole…

Pour trouver leur millionnaire, ces femmes écument les speed dating spécialisés, prennent des cours de maintien, vont même jusqu’à divorcer de leur mari pour se consacrer pleinement à leur vocation. Parfois, ce sont même les parents qui se lancent dans la quête du gendre fortuné.

Ce matérialisme entièrement assumé s’est révélé de manière fracassante il y a deux ans, à la télévision. A l’occasion d’un épisode du « Tournez manège» chinois, une jeune fille de 22 ans, Ma Nuo, avait répondu à un candidat qui lui déclarait sa passion: « Je préfère pleurer sur le siège arrière d’une BMW que d’être heureuse à l’arrière d’un vélo… »

Cette réponse, devenue culte en Chine, a suscité un débat sur le «déclin des valeurs morales».

Au sommaire de L’Effet Papillon du 13/10 à 13h40 sur CANAL +

Au menu de L’Effet Papillon du 13 octobre à 13h40 sur CANAL +

HOMELAND de Benoit Chaumont avec Nathalie Gros
La ville de San Diego est considérée comme l’une des plus paisibles des Etats-Unis. C’est aussi la destination préférée des vétérans d’Irak ou d’Afghanistan. Ces vétérans, Obama et Romney se les disputent en ce moment car ils sont des dizaines de milliers de voix à rentrer au pays. Parmi eux, des victimes de syndromes post-traumatiques qui peuvent les faire confondre leur propre famille avec un groupe de talibans. Alors certains soignent la violence par la violence dans des clubs de Fight club…

HOU HA YEVGUENIA de Nicolas Tonev avec Xavier Luizet
Ce petit de bout de femme ne porte pas de masques, ne joue pas de la musique Punk et n’est pas soutenue par Madonna mais elle fait plus peur à Vladimir Poutine que les Pussy Riot. Elle s’appelle Yevguenia Tchirikova: Papillon vous en avait déjà parlé mais désormais retenez bien ce nom ; elle se présente aux élections municipales de Rhimki, une ville de la ceinture moscovite avec, et c’est une première, toute l’opposition unie derrière elle et bien sûr toute la machine Poutine réunie contre elle.

SALAFISTES, NEIN DANKE! de Géraldine Schwartz
« La France a peur », aurait dit notre confrère breton Roger Gicquel. Ces jours-ci la France a peur des salafistes, ces fantômes intégristes que l’on aperçoit à l’arrière des voitures de police lors des opérations anti-terroristes. Et bien là vous allez voir leurs visages, qui ils sont, ce qu’ils disent, ce qu’ils veulent et ça se passe pas loin d’ici en Allemagne où une loi très tolérante sur l’expression religieuse leur permet de sortir de l’ombre et de tenir des meeting dans les villes et les campagnes au grand dam d’une majorité de la population.

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook, c’est par ici !

L’effet Papillon sur Twitter!

Interview de Caroline du Saint, réalisatrice de « Hugo Chavez, le grand mensonge » pour Spécial Investigation sur CANAL +

Il fait meilleur vivre à Baghdad qu’au Venezuela. A Caracas, une personne meurt par balles toutes les deux heures. On compte de 15 à 20 000 morts violentes chaque année, soit 4 fois plus qu’en Irak, et autant que le Mexique… le tout dans un pays pourtant épargné par les gangs et le narcotrafic.

Des chiffres qui ont quadruplé, depuis l’arrivée au pouvoir en 1999 d’un certain Hugo Chavez, candidat à sa propre succession lors de la prochaine élection présidentielle, le 7 octobre 2012.
Comment en une dizaine d’années, un pays a-t’il pu basculer dans une telle violence ? Comment les inégalités, la misère, ont-elles pu croître à ce point, dans un pays riche, assis sur une des principales mannes pétrolières du continent ? Quelle est la responsabilité d’Hugo Chavez dans cette dégradation ?

Dans cette interview exclusive, Caroline du Saint raconte le tournage et évoque la situation du Venezuela

« Hugo Chavez, le grand mensonge », une enquête pour Spécial Investigation sur CANAL +

Au sommaire de L’Effet Papillon du 6/10 à 13h40 sur CANAL +

Au sommaire de L’Effet Papillon du samedi 6 octobre à 13h40 sur CANAL + :

MORT A CRÉDIT de Miyuki Droz et Philippe Levasseur…
Viens PAS chez moi j’habite sur un parking… C’est pas une comédie c’est une tragédie américaine et le phénomène amorcé en 2007 n’a pas baissé d’intensité. Deux millions de maisons seront saisies cette année et la moitié des Américains redoutent toujours de ne plus pouvoir rembourser leurs emprunts. Lueur d’espoir : « Save the dream tour », des réunions à travers le pays avec des volontaires qui assistent les victimes de la crise face au nouvel ennemi : les banques

CAPRILES, L’AUTRE CANCER DE CHAVEZ de Marine Pradel
Il est beau, riche, célèbre et il a décidé d’affronter un monstre politique. Cela se déroule en ce moment même au Venezuela et le résultat très attendu sera connu dimanche lors de l’élection présidentielle. Henrique Capriles face à l’omni-président Hugo Chavez au pouvoir depuis 1998 et toujours populaire dans son pays. Mais celui que l’on surnomme le « cheval fougueux » n’est plus ce qu’il était après deux opérations en un an contre le cancer. D’ailleurs on ne l’a pas beaucoup vu pendant cette campagne.

THAÏLANDE, L’AUTRE EMPIRE DU MILIEU DE TERRAIN d’Aurélia RUSEK et Marie VALLEREY
En ce week-end de classico, nous allons vous faire découvrir un championnat de foot que vous ne suivez pas encore mais ça pourrait venir. Et pour celles et ceux qui n’aiment pas le foot, vous allez observer une autre réalité sociale sur la planète. En Thaïlande, c’est la ruée vers le ballon rond avec un ratio qui ferait rêver tout président de club sans scrupule mais il y en a peu : gros sponsors, produits dérivés et ventes de maillots à gogo avec sur le terrain des joueurs stars à 4000 euros par mois.

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook, c’est par ici !

L’effet Papillon sur Twitter!

« Les petits travailleurs de Naples », un reportage de Gabrielle Dréan et Antoine Husser, dans Envoyé Spécial le 4/10 à 20h45 sur France2

En Italie, comme dans la plupart des pays européens l’école, est obligatoire jusqu’à 16 ans. Mais à Naples rien n’est comme dans le reste de l’Europe.

Le chômage touche plus du quart des habitants de la ville, et les jeunes, presque la moitié de la population, n’ont aucune chance de décrocher un travail à la fin du lycée. Alors, l’école : plus personne n’y croit. Les petits, avec l’accord de leurs parents, sèchent l’école, pour aller travailler. A 10 ans, 12 ans, ils sont commis d’épicerie, apprentis garagiste, et ne vont plus à l’école que quelques jours par an. Sauf quand les bénévoles des associations les ramènent en classe par le fond de la culotte…

Les petits travailleurs de Naples
Un reportage de Gabrielle Drean et Antoine Husser
Diffusion dans Envoyé Spécial le 4/10 à 20h45