« Tunisie : des vacances sous surveillance », un reportage de Rola Tarsissi, le 14/05 à 20h50 dans « Envoyé Spécial » sur France 2

Les terroristes qui ont mené l’attaque contre le musée du Bardo le 18 mars dernier, ont aussi visé l’un des poumons économiques de la Tunisie : le tourisme.

Deux mois après l’attentat qui a fait 22 morts dont 21 touristes, le secteur est en crise. Les croisiéristes, qui ont supprimé leurs traditionnelles escales à Tunis, ne sont pas revenus.

Le port de la Goulette qui voyait chaque semaine arriver plusieurs milliers de touristes est désormais désert. Les souks, les hôtels, les cafés de la capitale sont vides.

De réelles mesures ont-elles été prises par les autorités tunisiennes et par les hôteliers pour assurer la sécurité des touristes ? Quelles sont les initiatives citoyennes menées par des Tunisiens eux-même ? Qui sont ces touristes qui ont décidé de maintenir leur séjour en solidarité avec la Tunisie ? Quelles seraient les conséquences d’un effondrement du secteur pour ce pays ?

Enquête en Tunisie sur un tourisme sous surveillance.

« Immersion immédiate : Carole Rousseau aux urgences de Nancy » réalisé par Charles Baget, diffusé le 12/05 à 22h30 sur 13ème Rue

Après l’Ecole de l’air, Carole Rousseau va passer 96 heures dans le service des urgences de Nancy, un des plus grands CHU de France.

L’animatrice va suivre le quotidien de l’équipe d’urgentistes qui l’accueille et découvre un métier épuisant, âpre et souvent ingrat.

Au centre de régulation, où un calme étrange règne, Carole Rousseau assiste à une leçon de massage cardiaque à distance. Quand la vie est en jeu, chaque seconde compte.

Au cours de cette expérience unique, elle rencontre des personnes âgées démunies, un enfant renversé par un chauffard, un agriculteur foudroyé par un infarctus en plein champ, au volant de son tracteur… L’animatrice apprend même à se protéger du virus Ebola.

Notre reporter va passer quatre jours et quatre nuits ponctués par les sirènes, les perfusions, les larmes… avec des moments de répit où les nerfs se relâchent et où le rire reprend ses droits.

Une expérience bouleversante pour Carole Rousseau qui nous plonge au cœur d’un univers rempli d’adrénaline où sang-froid est le maître-mot.

Retrouvez Benjamin Castaldi en immersion avec les pompiers de l’extrême dès mardi 19 mai à 22h30.

« Aéroports : le grand gaspillage ? », réalisé par Delphine Kluzek, le 07/05 à 20h55 dans « Envoyé spécial » sur France 2

La France compte près de 160 aéroports. Depuis les années 1960, les écologistes dénoncent le gaspillage des ressources et une vision de l’aménagement du territoire obsolète. Mais aujourd’hui, les critiques viennent du secteur aérien lui-même.

« Il y a 84 aéroports en France métropolitaine qui ont des passagers commerciaux, dont 66 se répartissent environ 4,3 % du trafic français. Et 40 aéroports représentent moins de 0,3 % du trafic, soit environ 300 000 passagers », précise Jean-Pierre Sauvage, président du Board of Airlines Representatives (BAR) France.

En comparaison, l’Allemagne totalise 16 aéroports, soit dix fois moins. Et sur les 160 aéroports de l’Hexagone, 17 seulement sont rentables. La Normandie, pour moins de 2 millions d’habitants, compte cinq aéroports, dont trois dans un rayon de 50 kilomètres. D’autres structures sont situées à moins d’une heure de route l’une de l’autre, comme Annecy et Chambéry, Nîmes et Montpellier, ou Nancy et Metz. Un véritable gâchis qui coûte cher.

Envoyé spécial a enquêté sur ces zones de transit qui se multiplient en France. Pourquoi sont-elles si nombreuses, trop pour être rentables ? Beaucoup de villes et de départements espéraient, en implantant un aéroport, créer de nouveaux emplois et favoriser le tourisme dans leur région. Mais la réalité est tout autre. Existe-t-il des études sur les retombées économiques de ces aéroports, et qui les a effectuées ? Trop nombreux, trop proches les uns des autres, ces équipements qui ont nécessité d’énormes capitaux ne survivent que grâce aux subventions publiques. Celles-ci s’élèvent à plus de 100 millions d’euros par an. En attendant, les collectivités, elles, continuent à s’accrocher à leurs sacro-saints aéroports, dans l’espoir d’un miracle.

« Le trafic d’antiquités Syriennes », un reportage de Chris Huby & Hédi Aouidj, le 02/05 à 22h10 sur France 24

La Syrie carrefour des civilisations relève du lieu commun. En réalité, les syriens n’apprennent pas l’histoire au musée, ils vivent avec au quotidien. Mais aujourd’hui, ils font la guerre avec leur patrimoine.

Depuis que le conflit fait rage en Syrie, la totalité des sites archéologiques connus ont été abimés ou partiellement détruits. En parallèle, les individus qui cherchent à survivre en Syrie creusent dans la terre et découvrent des trésors antiques. Une partie de ces antiquités ont d’ores et déjà étés vendues en Occident via les réseaux Turques.

Ce commerce représente la seconde source du financement de la guerre. Tous les mouvements sont concernés : le Régime de Bachar al-Assad et Daesh ont ainsi investi le trafic des antiquités depuis quelques mois et se sont organisés de manière redoutable. Face à ce qui est devenu un véritable marché international, les préoccupations des historiens ou des archéologues pèsent très peu.

« Immersion Immédiate », avec Carole Rousseau et Benjamin Castaldi, diffusé à partir du 05/05 en exclusivité sur 13ème Rue

Carole Rousseau et Benjamin Castaldi, pour la première fois ensemble sur le terrain dans une nouvelle série de documentaires : « Immersion Immédiate »

Carole Rousseau et Benjamin Castaldi partent en immersion dans l’univers d’anonymes au quotidien pourtant extraordinaire. Pilotes de chasse, médecins urgentistes, éducateurs, pompiers de l’extrême, flics à la brigade des mineurs ou chasseurs alpins… autant de métiers que l’on ne pratique que par vocation.

Benjamin Castaldi et Carole Rousseau quittent le confort des plateaux télé pour aller à la rencontre de gens qui ont choisi des métiers à hauts risques.

En mission ou en entrainement, pendant une semaine, jour et nuit, nos deux animateurs deviennent reporters et suivent ces gens aux métiers hors du commun, au cœur de l’action. Ils auront également l’occasion de partager des moments plus apaisés, voire intimes, où les paroles se libèrent et tenteront de comprendre ce qu’ils ressentent ainsi que leurs motivations, joies et renoncements.

Immersion Immédiate, une collection de documentaires exclusive qui rend hommage à tous ces gens ordinaires qui exercent des métiers hors du commun, parfois au péril de leur vie.

7 documentaires, 7 univers, 7 métiers hors du commun
Dès le mardi 5 mai à 22h30 en exclusivité sur 13ème Rue

« Immersion immediate : Carole Rousseau et Benjamin Castaldi à l’école de l’air » réalisé par Emanuele Marzari et diffusé le 05/05 à 22h25 sur 13ème Rue

Pour le premier épisode de cette nouvelle série documentaire, Carole Rousseau et Benjamin Castaldi se rendent l’Ecole de l’air de Salon de Provence.

C’est dans cette école d’excellence que sont formés tous les personnels de l’Armée de l’air : le personnel volant destiné à piloter avions de chasse ou hélicoptères mais aussi le personnel au sol composé de mécaniciens ou encore d’ingénieurs aéronautiques…

Pendant quatre jours, les deux animateurs vont s’essayer à toutes les disciplines auxquelles sont formés les élèves. Alors que Carole Rousseau découvre les joies et les peurs du vol libre en planeur, Benjamin Castaldi, lui, apprend les premières notions de survie et effectue ensuite son premier vol à bord d’un avion de chasse, un Mirage 2000.

Notre duo se reforme à terre pour prendre une nouvelle leçon de survie : lorsqu’un pilote s’éjecte de son appareil et qu’il se retrouve dans l’eau, il doit savoir s’extraire de son parachute. C’est donc dans la piscine de l’école que nos deux reporters font leurs armes.

Au cours de cette immersion à l’Ecole de l’air, Carole Rousseau et Benjamin Castaldi rencontrent élèves et professeurs, hommes et femmes, futurs pilotes de Rafale ou de drones… Mais une rencontre va particulièrement marquer leur séjour : un couple de pilotes de chasse comme il n’en existe que 4 ou 5 en France.

Ils se sont connus lors d’une mission en Afghanistan et ont, depuis, fondé une famille. Ils se confient sur la difficulté d’être parents lorsqu’on exerce un tel métier et que l’on part en mission pour une durée indéterminée.

Une expérience unique qui permet de comprendre les motivations de celles et ceux qui ont décidé de donner leur vie à l’armée de l’air.

« Passion Patrimoine : sur la Loire, entre Touraine et Anjou » réalisé par Lucile Hochdoerffer et Frédéric Vassort pour Des Racines et Des Ailes, diffusé le 06/05 à 20h45 sur France 3

Des bords de Loire aux caves troglodytiques en passant par les châteaux et les vignobles millénaires, ce film est un voyage au cœur de la Touraine et de l’Anjou, au fil du fleuve.

Haut lieu de l’histoire de France et destination touristique prisée chaque année par des milliers de visiteurs, ce territoire qui réunit les départements de l’Indre-et-Loire et du Maine-et-Loire est traversé par la Loire, le fleuve royal.

Pour ce nouveau film de la collection Passion Patrimoine, nous partons à la découverte de cette terre et de ses habitants. Nous irons à la rencontre de ligériens passionnés qui œuvrent au quotidien pour faire vivre leur patrimoine. Ils sont architecte, photographe, cuisinier, membres d’associations, pêcheurs, naturalistes ou bénévoles. Tous défendent avec ferveur ce territoire et ses richesses.

Notre périple débute sur la Loire, près d’Amboise. Jean-François Souchard, est photographe, guide et canoéiste. Depuis 10 ans il photographie le fleuve, sa faune, sa flore et ses habitants, en toute saison et à toute heure du jour. Nous partons avec lui pour une mission en solitaire et découvrons avec lui les beautés mais aussi des dangers du dernier fleuve sauvage d’Europe.

Plus au nord, près de Saumur, nous découvrons cette fois la région depuis les airs, avec Sandrine et David Muzellec. Authentiques amoureux de leur région d’adoption, ce couple de paramotoristes survole à la moindre occasion les trésors naturels et architecturaux de l’Anjou. Aujourd’hui, ils ont rendez-vous avec Patrick Edgard-Rosa. Pour son association « Les Intraterrestres », il recense les habitats troglodytiques du Val de Loire. Un patrimoine unique et insolite, puisque la région abrite le plus grand réseau troglodytique d’Europe. De retour à terre, Patrick nous fait découvrir d’autres joyaux du troglodytisme, comme les caves cathédrales des Perrières, à Doué-la-Fontaine.

Retour sur la Loire, où nous embarquons avec Jean-François Souchard et un groupe d’amateurs pour une exploration de trois jours en canoë et en totale autonomie sur le fleuve. Tout au long d’un parcours d’une quarantaine de kilomètres, ils vont découvrir les caprices du fleuve mais aussi ses richesses naturelles et quelques-uns des plus beaux châteaux de la Loire, comme Chaumont et Amboise.

Prochaine étape de notre périple, le Parc naturel régional, où des agents et des bénévoles font tout pour préserver deux espèces en danger : le busard cendré, un petit rapace qui niche au cœur des cultures où il est menacé par les machines agricoles et la sterne, oiseau emblématique du Val de Loire, qui niche à même le sable sur les grèves où il est à la merci des intempéries, des prédateurs et des promeneurs.

La suite de notre périple nous conduit à Angers, la capitale historique de l’Anjou. Au milieu d’un immense terroir viticole, un hectare de vigne fait office d’exception. Au cœur de la cité, au pied d’une abbaye du XIe siècle, un vignoble millénaire renaît grâce à l’action de Sébastien Couvreur et des bénévoles de l’association Vigne en Ville.

Retour en Touraine, entre Saumur et Chinon, où nous embarquons avec Nicolas Hérault, l’un des derniers pêcheurs de Loire qui perpétue une tradition et un métier vieux de plusieurs siècles.
Ce véritable gardien du fleuve collabore également avec une association et des chefs locaux pour faire redécouvrir le goût du poisson de rivière.

Enfin, nous nous rendrons aux confins de l’Anjou et de la Touraine, à la limite du Poitou, où s’élève une rareté architecturale : Richelieu. Un exemple unique de ville nouvelle, érigé au XVIIe siècle sur la seule volonté du cardinal pour témoigner de sa puissance. L’architecte des bâtiments de France y a fait appel aux bénévoles de l’association Terres et Couleurs pour une opération unique : repeindre à l’ocre et en une journée toutes les portes de la ville.

Ces hommes et ces femmes, tous passionnés, ont choisi de se battre pour préserver et faire vivre cette région et son patrimoine exceptionnel.

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« Cap-Vert, les îles aux trésors », le 24/04 à 20h50 dans « Faut pas rêver » sur France 3

Philippe Gougler vous emmène au Cap-Vert, au large de l’Afrique. Un archipel volcanique perdu au milieu de l’Atlantique, aux routes vertigineuses, et aux paysages impressionnants.

De l’île de Fogo, où le volcan est entré en éruption depuis le mois de novembre, aux profondeurs sous-marines à la recherche de charbon, en passant par le génie des Cap-Verdiens en matière de recyclage, nous découvrons un pays surprenant et contrasté.

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Sur l’île de São Vicente, nous plongeons dans l’ambiance survoltée d’un carnaval haut en couleurs. Des préparatifs jusqu’au défilé final, Faut pas rêver a suivi l’événement de bout en bout. Et pour prendre un grand bol d’air, direction l’île la plus verdoyante et la plus spectaculaire de l’archipel : Santo Antão. Depuis des centaines d’années, un ingénieux système d’irrigation permet aux habitants de cultiver leurs terres, balayées par le vent.

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Des sujets de : Clémentine Arnaud et Arnaud Mansir ; Maud Gangler et Lionel Langlade

« Sa majesté le décor » réalisé par Caroline Conte pour « Vous Êtes Ici », diffusé le 18/04 à 8h20 sur France 24

Au XVIIIème siècle, âge d’or de la boiserie française, la richesse des puissants s’affichait sur les murs des demeures.

La maison familiale reprise par Guillaume Féau s’inscrit dans cette tradition des Arts Décoratifs classiques français. Sur 1200 mètres carrés sous une immense verrière en plein coeur de Paris, des milliers de fragments de décors chargés d’histoire sont entreposés. La maison Féau constitue un répertoire ornemental précieux au service de l’imagination des grands décorateurs.

«Vous êtes ici» vous emmènera aussi dans les ateliers où les sculpteurs et les peintres en décors donnent une seconde vie aux grands décors historiques, ou bien les reconstituent. Un savoir-faire français unique, qui s’exporte jusque dans les appartements de New York, de Shanghai ou de Moscou.

Au sommaire de l’Effet Papillon du 18/04 à 13h45 sur CANAL+

« Afrique du Sud, les requins attaquent » – Un sujet de Jaouhar Nadi
Et l’on part tout de suite en Afrique du Sud, paradis des surfeurs et des requins comme à la Réunion, où une attaque de squale a encore tué un surfeur d’à peine 13 ans, dimanche dernier. Pour faire face à l’afflux de prédateurs toujours plus massif, les Sud-Africains ont pris le squale par l’aileron et mis en place des dispositifs pour sécuriser les plages. Seulement, en Afrique du Sud, on n’en est pas encore à la baignade pour tous.

« Etats-Unis, la nouvelle star de l’ultra droite » – Un sujet de Bethsabée Zarka avec Nathalie Gros
La course aux investitures a démarré ! A un an et demi de la présidentielle américaine, les candidats pleuvent comme à Gravelotte et se déclarent les uns derrière les autres. Chez les démocrates, l’ex-première dame Hillary Clinton est sortie du bois, cette semaine. Côté républicains, beaucoup de prétendants, dont 2 « fils de », tradition dynastique oblige. Le premier, Jeb BUSH, républicain pur jus comme papa, a un air de déjà vu mais bat solidement campagne. Le second, de tendance libertarienne, est l’outsider Rand PAUL, Randy pour les intimes, 1m70 au garrot et l’air éternellement juvénile. Le magazine TIME lui consacrait sa Une en octobre dernier et ce titre « l’homme politique le plus intéressant » des Etats-Unis. « Equivoque » aurait été plus juste.

« Egypte, drame du foot ou répression policière ? » – Un sujet de Thierry Pasquet
Que s’est-il passé le 8 février dernier aux abords du stade du Caire ? Qui a commencé des ultras ou de la police ? Et comment en est-on arrivé à 19 morts ? Pour les autorités, il n’y a pas de doute, les ultras sont responsables de ce bain de sang. 16 d’entre eux devront d’ailleurs en répondre aujourd’hui même. Mais pour beaucoup de témoins, ce drame serait plus politique que sportif, entendez que les autorités instrumentaliseraient la justice sous couvert de répression et de massacre planifié.