"Des Racines et des Ailes : La Riviera entre Cannes et Portofino" un film de Philippe Poiret et Frédérique Vassort, le 08/10 à 20H45 sur France 3.

Ils sont architectes, botanistes, jardiniers, historiens de l’art ou agriculteurs. Durant quatre mois, nous les avons suivi. Tous font vivre le patrimoine exceptionnel d’une côte mythique : la Riviera.

La Riviera ce sont 250 km de côtes entre la France et l’Italie, des Alpes Maritimes à la Ligurie, sans oublier un arrière-pays montagnard exceptionnel. Ce territoire depuis Cannes jusqu’au golfe de Gênes créé un arc entre les Alpes du Sud et la Méditerranée.
La Riviera fut le haut lieu des puissants et des grands d’Europe. De Cannes à Portofino en passant par Nice, Monaco et Gênes, on y voyait se côtoyer toutes les têtes couronnées du Vieux Continent.

Plus d’un siècle plus tard, la Riviera figure parmi les destinations les plus célèbres et les plus recherchées du monde. Des millions de visiteurs se déversent tous les étés sur ses plages. Aujourd’hui encore la Riviera regorge de trésors architecturaux et naturels : témoignages d’une « certaine douceur de vivre ».

Pierre Aimon, photographe aérien a développé un système de photos en 3 dimensions. Avec lui nous découvrons le territoire de la Riviera, aussi bien le littoral que le haut-pays.
Agnès Monges, historienne de l’art, se passionne pour le patrimoine bâti de sa région. Elle réalise un inventaire des plus belles villas du littoral. A Antibes, nous découvrons les villas Bloc et Hartung-Bergman.
Pascal Mayol, jeune scientifique, a créé l’association Souffleurs d’écume. Il milite pour la protection des grands mammifères marins en Méditerranée. Durant quelques jours, en mer avec lui, nous avons pu observer cachalots et baleines.

Dans l’arrière-pays niçois, à Sospel, Frédéric et Carla Soffiotti produisent une huile d’olive exceptionnelle. Elle attire les plus grands chefs de la région.
En Italie à quelques kilomètres de la frontière, Bordighera est connue pour son front de mer mais aussi pour la villa de Charles Garnier. L’architecte de l’Opéra de Paris est tombé amoureux de ce petit port de pêche, tout comme Gisella et Andrea Merello, qui veillent sur cette perle du XIXème. Avec eux, nous parcourrons une partie de la côte ligure, un périple à partir de San Remo et jusqu’à Dolceacqua. Claude Monet a d’ailleurs immortalisé le pont de ce village exceptionnel.
A Gênes, nous suivons Antonella Cama, une habitante amoureuse de sa ville. Elle nous emmène à travers les ruelles escarpées, dans les palais et les églises du premier port d’Italie.
Pierluigi Lugano est vigneron dans l’un des sites les plus mythiques d’Europe. C’est à Portofino, dans un écrin aux beautés naturelles uniques qu’il produit un vin très apprécié des Italiens.

"Passeport Pour le Crime : Tijuana" avec Thierry Marx, un film de Lionel Langlade, le 27/09 sur 13ème Rue

Il n’y a pas de touristes à Tijuana. Située à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, c’est une des villes les plus dangereuses au monde.

Pour 13ème rue, le chef étoilé Thierry Marx explore les faits divers de Tijuana. Il n’est pas un cuisinier comme les autres. Ancien militaire, Il a eu plusieurs vies… bref il a bourlingué.

Ici, l’ultra-violence est la règle, avec deux business qui dominent la ville: la drogue et l’immigration. À Tijuana, la frontière fait vivre les gens… mais elle les fait mourir aussi. Narcos, flics, sans-papiers, prostituées, journalistes ou infirmiers: ces destins dépendent tous du même eldorado, cette riche Californie voisine qu’on peut apercevoir à l’œil nu.

Pour son immersion, Thierry Marx accompagnera des journalistes de faits divers, branchés sur les fréquences de la police. Il ira sur des scènes de crime avec les officiers de la brigade criminelle, ceux que rien ne peut plus étonner. Et il suivra des patrouilles de nuit, avec course-poursuite et arrestation coup de poing. Il entrera en prison. Sécurité maximum, pour mater les gangs. Il visitera des bordels géants, gérés d’une main de fer. Et il verra l’envers du rêve américain, sur le visage des fantômes de l’immigration. Sans-abris, toxicomanes, ils sont restés du mauvais côté de la frontière. Bienvenue à Tijuana, la dernière ville du Far West, avec en poche un passeport pour le crime.

Passeport pour le crime à Tijuana. Un film de 90 mn réalisé par Lionel Langlade. Une production Capa Presse

Au sommaire de L’Effet Papillon du 20/09 à 13h45 sur CANAL+

« ETATS-UNIS, LE SUPER FLIC ÉTAIT UN RIPOUX » – un sujet de Benoit CHAUMONT avec Cyril THOMAS

Des cigares et des méthodes rugueuses, Louis SCARCELLA, la star du NYPD qui se la jouait macho, n’aurait pas dépareillé dans un film de Scorcese. Pendant 26 ans, ce superflic de la brigade des homicides de Brooklyn-Nord a affiché le plus beau palmarès d’affaires résolues… Jusqu’à ce que la justice enquête sur ses enquêtes, et là, stupeur !

« ANGLETERRE, LE TOURNOI DES MUTILÉS DE GUERRE » – un sujet de Jaouhar NADI

400 soldats, 13 pays, 9 disciplines : bienvenue aux «Invictus Games». Londres a accueilli la semaine dernière des vétérans du monde entier, tous blessés au combat, pour ces Olympiades d’un nouveau genre… Une compétition vraiment royale, voulue et parrainée par le prince Harry, en hommage au courage de ces hommes et de ces femmes, souvent oubliés une fois revenus à la vie civile. Un hymne à la fraternité donc, mais pas encore au grand déballage. A l’armée, il y a toujours des questions qui fâchent… Nous avons suivi la délégation française jusqu’à la ligne de départ.

« SARDAIGNE, L’ÎLE POUBELLE DES ARMÉES OCCIDENTALES » – un sujet de Hugo VAN OFFEL

Nous voilà repartis pour le côté obscur de la Sardaigne. Derrière le dépliant touristique, se cache une réalité méconnue, sauf des Sardes hélas. Depuis 60 ans, l’île est colonisée par l’OTAN, les armées du monde entier et les fabricants d’armes pour servir de base à leurs essais militaires. C’est là qu’ils expérimentent leurs nouveaux missiles et font exploser les anciens. Tout cela à ciel ouvert et au mépris absolu des habitants et de l’environnement.

La saison 4 du « Chemical World Tour » est lancée !

La saison 4 du « Chemical World Tour » est lancée !

Cette année, la thématique sera : « chimie et énergie ».

En binômes – un étudiant en chimie et un étudiant en journalisme – et entourés d’une équipe de journalistes de Capa, les étudiants vont réaliser un reportage au cœur des entreprises qui innovent pour répondre aux défis de la transition énergétique.

Pour participer, envoyez votre CV et lettre de motivation avant le 6 octobre 2014 à capaentreprises@capatv.com

Une première sélection sera effectuée sur dossier. Les étudiants retenus seront ensuite convoqués à Paris pour une ultime étape de sélection sous la forme d’un casting qui aura lieu les 20 et 21 octobre 2014.

Pour en savoir plus : http://www.chemicalworldtour.fr/

Pour suivre l’opération sur les réseaux sociaux :
https://www.facebook.com/ChemicalWorldTour
www.twitter.com/ChemicalTour

Au sommaire de L’Effet Papillon du 13/09 à 13h45 sur CANAL+

« ISRAËL, LE MARIAGE QUI REND FOUS LES EXTRÉMISTES » – Un sujet de Caroline Delage avec Yonathan Weitzman

Ils s’en souviendront longtemps de leur mariage. Moral 23 ans et Mohamad 26 ans ont eu la mauvaise idée de se marier en plein été meurtrier à Gaza… Leur union, très médiatisée, a immédiatement concentré toutes les tensions et surtout chauffé à blanc une poignée d’extrémistes, déterminés à faire capoter la célébration. Slogans racistes, invités menacés, mariés conspués, qui sont ces militants qui ont gâché la fête ? Papillon a enquêté.

« JAPON, CHASSEURS DE BALEINES » – Un sujet de Marie Linton et Guillaume Bression

Au Japon, on ne rit pas comme une baleine. Malgré les interdictions, les nippons vont continuer à traquer cette espèce protégée, notamment dans le Pacifique. Le Japon explique qu’il chasse à des fins scientifiques, ce qui ne trompe personne. Les nationalistes en ont même fait l’emblème de leur lutte contre l’impérialisme culturel… Pourtant, crue, cuite, frite ou séchée, cette viande ne séduit plus grand monde et les quelques restaurants spécialisés ont bien du mal à l’écouler. Du coup, les pro baleiniers ne ménagent pas leurs efforts, notamment auprès des plus jeunes, pour encourager leurs concitoyens à en manger. Un lobbying intense, pas toujours du meilleur goût.

« UKRAINE, LES COMBATTANTS FRANÇAIS PRO-POUTINE » – Un sujet de Xavier Luizet

Direction l’Ukraine où Vladimir POUTINE joue la carte du cessez-le-feu dans l’est du pays. Mais pour l’instant la solution politique est encore loin d’être acquise… et la trêve, relativement peu respecté. Sur le terrain, nombre de soldats étrangers sont venus prêter main forte aux séparatistes. Parmi eux, des Français, souvent d’anciens militaires prêts à mourir pour Donetsk. Qui sont ces engagés volontaires ? Et que sont-ils venus faire dans cette galère ? Papillon les a rencontrés.

« 700 grammes de vie », un film de Sarah Lebas, le 16/09 à 22h40 dans Infrarouge sur France 2

Raphaël, Thomas et Osman tiennent dans le creux d’une main, ils ne pèsent que 700 grammes. Des bébés minuscules qui se frayent un passage vers un avenir incertain…

Pour les relier à la vie, il y a des tuyaux, des sondes, des câbles… et puis des fils invisibles, ceux de la parole et du regard de toute l’équipe soignante du service de néonatalogie de l’hôpital Delafontaine.

« 700 grammes de vie » un huis clos à la vie à la mort, entre des parents, des soignants et de minuscules humains.

Un film inédit réalisé par Sarah Lebas | Ecrit par Sarah Lebas et Alain Charlot | Produit par Patrice Lorton | Une production Capa Presse | Avec la participation de France Télévisions | Avec le soutien du Centre National du Cinéma et de l’image animée | Unité de programmes documentaires : Fabrice Puchault, Barbara Hurel et Danièle Bénichou

"Mittal : La face cachée de l'empire", un documentaire de Jérôme Fritel, le 16/09 à 20h50 sur Arte

Le groupe Mittal est le n°1 mondial de l’acier. Plus qu’une entreprise, c’est un empire présent dans 60 pays qui emploie 250.000 personnes.

Issu d’une famille modeste de Calcutta, Lashkmi Mittal est devenu, en l’espace de quinze ans, l’un des hommes les plus riches au monde. Plus qu’une réussite, Mittal incarne un symbole. Celui des mérites du nouveau capitalisme, libéral et mondialisé, et de la revanche du monde émergent sur les nations industrialisées.

Accueilli comme un sauveur en 2006, à la faveur de son OPA sur le groupe Arcelor, Mittal est aujourd’hui perçu comme le fossoyeur de la sidérurgie européenne.

Touchée de plein fouet par la crise économique, sa multinationale criblée de dettes, a perdu 80% de sa valeur, accumule les pertes et ferme ses usines les unes après les autres en Europe. Un déclin brutal qui révèle l’autre visage d’un modèle économique obsédé par la rentabilité à court terme, qui privilégie l’exploitation des richesses au profit des seuls actionnaires, au détriment de l’intérêt collectif.

L’échec du modèle Mittal illustre également la perte d’influence d’un continent, l’Europe, qui apparaît comme le maillon faible de la mondialisation. Impuissante à enrayer sa désindustrialisation, elle apparaît incapable, contrairement aux Etats-Unis et à la Chine, de protéger ses champions industriels qui ont assuré sa prospérité et de proposer un nouveau modèle économique porteur d’avenir pour les futures générations.

Ce documentaire est une investigation rigoureuse au sein de l’Empire Mittal. Pour la première fois certains de ses proches collaborateurs, actuels et passés, ont accepté de témoigner et de raconter l’extraordinaire destin d’un homme qui a voulu être le Roi de l’Acier. Pour le meilleur et pour le pire.

À travers l’analyse de la grandeur et du déclin d’un des groupes les plus puissants de la planète, cette enquête dévoile les secrets d’un système, largement inspiré par les méthodes et la mentalité de la finance, qui relève plus du « Monopoly » que du capitalisme industriel.

« Ma nouvelle main bionique », le 15/09 à 23h25 sur France 4

Fabrice Barès, 39 ans, amputé de la main droite depuis l’âge de 4 ans, va bientôt porter une prothèse « bionique ». Une main de haute technologie qui va lui permettre de saisir des objets, de serrer des mains, et de vivre presque normalement à commencer par pouvoir lacer ses chaussures.

Cette nouvelle main bionique est dirigée par des contractions de muscles sur l’avant bras, que des capteurs transforment ensuite en signaux pour commander de minuscules moteurs qui font bouger les doigts et le poignet.

Ma nouvelle main bioniqueUn rêve de gosse pour ce photographe d’Avignon qui manie aussi bien son appareil photo avec une seule main que l’humour.

Pour financer cette extension humaine de haute technologie Fabrice a recours au crowdfunding, le financement participatif possible grâce à internet. Sa famille, des amis, des anonymes, vont l’aider à récolter les 30.000 euros nécessaires pour acheter cette prothèse de haute technologie. En attendant il va s’entraîner à devenir l’un des premiers hommes « bioniques » de notre pays. Et ce n’est pas si simple, car les muscles de son bras n’ont pas fonctionné depuis 36 ans…

En s’intéressant à ces prothèses high-techs, Fabrice Barès a découvert que le « bras bionique » était le fer de lance d’une révolution en cours, où les spécialistes de la robotique et de l’informatique se mettent au service de la médecine pour « réparer » les amputés. Et des amputés, avec les guerres en Afghanistan et en Irak, il y en a eu beaucoup ces dix dernières années.

Si une dizaine de sociétés dans le monde développe ces nouvelles prothèses, des jeunes amputés ont décidé de se faire eux-mêmes une main bionique en « open source » pour pas cher. Nicolas Huchet, la trentaine, amputé après un accident à l’âge de 18 ans, a ainsi développé un projet avec le Fab Lab de Rennes et des « makers » du monde entier pour se construire une nouvelle main droite.

Avec Nicolas, Fabrice va aller aux Etats-Unis pour découvrir ce qui se fait de mieux en prothèse bionique. Et à San Francisco Nicolas va peut-être rencontrer des partenaires pour développer son projet de main bionique low cost.

Un film de Marc Garmirian et Fabrice Barès | Réalisation Marc Garmirian | Sur une idée originale de Jean-Paul Billault | Une production CAPA PRESSE

"Zob in the job", un film d'Olivier Ghis, le 06/09 à 23h10 sur Canal+

Comment le X envisage-t-il le monde du travail ? Open space fripon ? Atelier coquin ? Paiement en nature ou promotion canapé ? De « Tu bosses ou tu baises » à « Popaul Emploi », de « Secrétaires à tout faire » aux « Miches de la boulangère », 52′ pour examiner comment le porno s’est emparé du monde de l’entreprise, comment il subvertit malicieusement (ou pas) ses valeurs et ses hiérarchies.

A priori, le travail est l’ennemi juré du X. Et l’entreprise, avec ses impératifs productifs, financiers, politiques, le lieu le moins propice qui soit aux galipettes.

Le X a d’ailleurs longtemps préféré les salons bourgeois, les villégiatures cossues, les yachts de jet setters, les plages de sable fin. Bref, des lieux où l’on ne travaillait pas. Mais à l’orée des années 80, dans la France de Mitterrand – est-ce un hasard ? – et des VHS, le porno investit bientôt le travail.

C’est en en effet avec l’explosion de la vidéo amateur, accessible au plus grand nombre, que le X s’empare du quotidien. Laetitia, reine de « l’amat' », déshabille les Français et met en scène les petits métiers : livreurs, représentants, pizzaiolos, agents immobilier, garagistes, plombiers (voir « Chantier interdit au public », « Le plombier pète les plombs »).

Avec les années 90, la vogue des traders, de Wall Street et la culte de l’entrepreneur (Bernard Tapie, idole des jeunes), le X investit les grandes entreprises : patrons, DRH, secrétaires, assistantes, le porno frappe alors à la porte de l’open space (exemple : « Ça baise au bureau »).

Dix ans plus tard, crise oblige, le porno investit la France du système D et de la précarité : c’est l’heure de « Popaul Emploi » ou de « Des filles libres »… dans lequel des filles  au chômage se regroupent pour monter une start up de visio érotique !

Avec le concours de professionnels du X (Gérard Kikoïne, Tony Carrera…), mais aussi de sociologues (Mathieu Trachman…), syndicalistes ou avocats (Emmanuel Pierrat), journalistes qualifiés (Christophe Bier, Dimitri Largo) et autres experts de tous poils, nous verrons aussi que certains métiers reviennent de façon récurrente dans le X (hôtesses, secrétaires, baby-sitter…), quelles que soient les modes et les époques.

« Le business des safaris », un sujet de Donatien Lemaître, dans Envoyé Spécial le 21/08 à 20h45 sur France 2

En Afrique du Sud, le business des safaris génère 600 millions de recettes par an. Les touristes photographes ne sont pas seulement accueillis dans des parcs nationaux. Il existe aussi des milliers de réserves privées. Les propriétaires de ces ranchs immenses possèdent les terres mais aussi les animaux. Une équipe d’Envoyé Spécial a pénétré dans les coulisses de ses réserves privée. Elle a suivi des captures par hélicoptère et des ventes aux enchères d’animaux sauvages.

Les safaris photos ne représentent que 10 % du chiffre d’affaires des réserves privées. Pour survivre, les propriétaires autorisent aussi les chasses sur leurs domaines. Une activité beaucoup plus lucrative mais qui entraîne des dérives : certains touristes sont prêts à dépenser des milliers d’euros pour abattre les ‘Big 5’ (lion, rhinocéros, buffle, léopard, et éléphant) dans des conditions douteuses.

Aujourd’hui, les terres des réserves privées sont détenues majoritairement par des Sud-africains blancs, descendant des premiers colons. Certains vont devoir restituer les terres aux populations noires qui en avaient été dépossédées lors de l’apartheid.

« Le business des safaris », un sujet de Donatien Lemaître, à voir dans Envoyé Spécial le 21/08/2014 à 20h45 sur France 2