« A poil… Mais stylé », un film d’Olivier Ghis, le 07/09 à 23h05 sur Canal+

La première vocation du cinéma X, on le sait, c’est de mettre les hommes – et surtout les femmes – à poil. Non pas dans des occupations anodines comme faire la vaisselle ou téléphoner – même si cela peut arriver – mais pour des activités généralement plus horizontales.

Or, dans le porno comme dans la vie, avant d’être nu avec une dame, on est d’abord habillé. Et qui dit vêtements dit accessoires, décoration, bref tout un style de vie. Et c’est justement à cette évolution des styles dans le X que s’intéresse « A poil… Mais stylé ».

Autrement dit, comment le X se fait le miroir, depuis sa naissance, des modes, des tendances, en un mot de l’air du temps.

Des dessous chics de jadis, façon Dorcel, au bling bling des années 2000, des poitrines naturelles des seventies au corps siliconés d’aujourd’hui, des premières épilations aux tatouages en passant par les strings ou l’usage intensif du botox, le X a souvent reflété – et aussi devancé – l’idée que notre société se fait de la beauté, du plaisir.

Autant dire un voyage aussi instructif qu’amusant dans l’histoire de nos mœurs… Et de la manière dont on s’habille pour mieux se déshabiller ensuite.

« A poil… Mais stylé » Un film d’Olivier Ghis Le 07/09 à 23h05 sur Canal+

Appel à candidatures pour le Chemical World Tour avec Capa Entreprises

Le Chemical World Tour revient pour une 3ème saison dédiée à la chimie appliquée aux écrans du futur !

Conçue par l’Agence CAPA et mise en œuvre par l’Union des Industries Chimiques (UIC) et la Fondation Internationale de la Maison de la Chimie, le Chemical World Tour est une opération innovante de communication qui vise à promouvoir la filière et les métiers de la chimie auprès des 15-24 ans.

L’opération consiste à sélectionner et envoyer en reportage à l’international cinq binômes d’étudiants en chimie et en journalisme pour filmer une innovation de la chimie dans un domaine qui touche directement le grand public. Après le développement durable en 2011 et le sport en 2012, c’est au tour de l’électronique appliquée aux tablettes et smartphones du futur de faire l’objet de reportages.

Avis aux étudiants en chimie et journalisme qui veulent tenter leur chance, ils ont jusqu’au 3 septembre 2013 pour envoyer CV et lettre de motivation à : capaentreprises@capatv.com

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez aux Etats-Unis », le 27/08 à 13h05 sur Canal+

« les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez aux Etats-Unis » – Rediffusion du 11/11/2012

Des chercheurs d’or en Alaska avec leurs radeaux de fortune aux habitants de Detroit, la ville où le rêve américain est devenu un cauchemar, en passant par le désert texan, Sebastian Perez est parti rencontrer les rois du Système D. Ceux qui s’adaptent à toutes les situations dans l’esprit des pionniers fondateurs.

Cinq ans après le début de la crise financière, une grande partie de la société américaine s’est déjà adaptée. La plupart de ceux qui ont tout perdu ont trouvé des solutions de survie dans la solidarité et la débrouille. D’autres, par militantisme et conviction, sont en train d’imaginer une nouvelle société. Un American Dream plus juste et plus solidaire.

LE SYSTÈME D aux Etats-Unis avec Sebastian Perez, c’est un voyage à la rencontre de ceux qui s’inventent un avenir grâce à la débrouille. Tous ces atypiques qui refusent de baisser les bras, avec le sourire.

« D comme Débrouille aux Etats-Unis », un film de Sebastian Perez à redécouvrir le 27/08 à 13h05 sur CANAL +

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz en Nouvelle-Zélande », le 26/08 à 13h05 sur Canal +

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz en Nouvelle-Zélande » – Rediffusion du 03/03/2013

Au pays du rugby, modes de vie et habitat révèlent l’art de vivre au vert.

Depuis 2007, la série « Les Nouveaux Explorateurs » présente les différentes façons de vivre aux quatre coins du monde. Pour ce numéro, l’architecte Erik Mootz est allé au sud-ouest de l’océan Pacifique, en Nouvelle-Zélande. Il traverse en camping-car ce pays grand comme la moitié de la France, où vivent 4 millions d’individus dans un cadre géographique exceptionnel.

Après une escale à Hobbiton, village des Hobbits construit par Peter Jackson pour le tournage du « Seigneur des Anneaux » et de « The Hobbit », l’architecte visite plusieurs maisons de rêve au design épuré, de style Frank Lloyd Wright. Certaines sont situées en ville comme celle d’Auckland ; d’autres en pleine nature telle la Turn Point Lodge.

Nous rencontrons aussi Matt, employé de l’industrie du cinéma néo-zélandais. Ce nomade vit depuis vingt-deux ans dans un van tagué de paysages. Brian, Néerlandais, a lui tout quitté pour installer sa famille dans le cadre paradisiaque des Malborough Sounds.

Nous passons pas Kandallah, ce village inspiré de l’architecture vernaculaire des îles grecques et de l’univers de « Star Trek », édifié par l’architecte Ian Athfield. A Great Barrier Island, Erik Mootz découvre le « bach », cabanon « construit sur un terrain qui ne vous appartient pas, à partir de matériaux récupérés », dans lequel vivent des gens à la manière de Robinson Crusoé. Du plus rustique au plus design alimenté par un système de batterie solaire, le « bach » incarne ce mode de vie d’autosuffisance que les Néo-Zélandais appellent « les trois B » : bach, bière, barbecue.

Pour finir, Erik Mootz se rend à Christchurch, capitale de l’île du Sud, dont le centre-ville a été détruit à 80% par un séisme en février 2011. Il nous présente les nouveaux bâtiments comme le centre commercial construit en containers recyclables, ou la cathédrale éphémère triangulaire à charpente en tubes de carton, réalisée en quatre mois par l’architecte Shigeru Ban !

SO FRANCE « Les business en or de la Tour Eiffel » & « La folie des chambres d’hôtes », vendredi 13/09 à 20h50 sur D8

Châteaux de la Renaissance, villages médiévaux, monuments de l’Antiquité… : la France dispose d’une richesse exceptionnelle et inestimable qui nous est enviée dans le monde entier. À travers une série de grands reportages, découvrez les secrets de notre patrimoine qui relatent l’histoire de ces lieux d’exception mais aussi le parcours de ceux qui se battent au quotidien pour faire vivre les plus beaux joyaux de notre pays.

Vendredi 13 septembre, SO FRANCE propose une soirée inédite avec deux documentaires signés CAPA :

Les business en or de la Tour Eiffel :

La Tour Eiffel est le monument privé payant le plus visité au monde ! En 2011, le site a accueilli plus de 7 millions de visiteurs pour un chiffre d’affaires impressionnant de 72 millions d’euros. Si Paris est toujours la deuxième ville touristique du monde, c’est en partie grâce à sa tour, une véritable superstar de métal.

Et pourtant il y a 20 ans, le nombre de visiteurs était deux fois moindre…

Alors quel est le secret de cet incroyable succès commercial ? Comment les exploitants de la Tour ont réussi à faire augmenter, année après année, ses formidables retombées économiques ? Et quels sont les business les plus lucratifs autour de la célèbre Dame de Fer ?

La folie des chambres d’hôtes :

Transformer sa maison en petit hôtel, c’est une activité qui connaît un succès croissant en France… certains ont même trouvé ainsi un moyen de changer de vie en se lançant dans une nouvelle activité. On compte près de 80 000 chambres d’hôtes dans le pays, et chaque année, près de 3 millions de touristes s’y offrent un séjour.

Mais le quotidien d’un propriétaire de chambres d’hôtes n’est pas toujours simple car les contraintes sont nombreuses et les charges importantes… Alors quels sont les secrets du succès des chambres d’hôtes ? Région d’implantation, décoration des chambres, services, qualité de l’accueil, menu des repas… quels sont les critères les plus importants ?

Partons à la rencontre de ces Français qui se sont lancés dans l’aventure.

« OFF SECRETS ET COULISSES : Hôpital, police : les secrets des urgences », deux documentaires de Aude Rouaux et Sylvie Faiveley le 13/08 à 20h45 sur France 4

« OFF Secrets et coulisses : Hôpital, police : les secrets des urgences » – Rediffusion sur 19/02/2013

« COULISSES DES URGENCES PÉDIATRIQUES », un documentaire réalisé par Aude Rouaux

On y est arrivé angoissé, stressé, paniqué, souvent à bout de souffle, certains à court de vie. On s’en est souvenu, on s’en souvient toujours de cette arrivée aux urgences. Et quand on en reparle aujourd’hui, on a des frissons, une grimace de dégoût. Pourtant eux en ont fait leur profession, leur histoire quotidienne. Ce personnel médical que tout le monde admire et que personne n’envie soigne au jour le jour petits et gros bobos du simple rhume aux maladies graves.

Mais une fois passé, une fois guéri, que sait-on vraiment des urgences pédiatriques? Qui sont les médecins, les infirmières, les aides-soignants qui ont choisi de travailler dans cette unité? Comment arrivent-ils à gérer psychologiquement la souffrance des enfants? Comment font-ils face au manque de lits, au manque de personnel médical? Qui sont leurs petits patients, pour quelles maladies viennent-ils? Comment les parents réagissent-ils à la douleur de leurs bambins ?

« Off: Secrets et Coulisses » va poser sa caméra pendant 8 jours dans les couloirs des urgences pédiatriques de l’hôpital Trousseau au cœur de Paris. Pour vous permettre de comprendre comment fonctionne ce service bien particulier, nous allons suivre un médecin, une infirmière, une aide-soignante, un interne ainsi qu’une bénévole de l’Association Main dans la Main sans oublier bien sûr les enfants et leurs parents. Une immersion aux urgences pédiatriques, un lieu d’émotion et de grande humanité.

LE LIEU : L’HÔPITAL TROUSSEAU

Nous avons choisi un des plus grands hôpitaux pédiatriques de France pour réaliser ce documentaire. Trousseau est depuis toujours consacré aux enfants. Il a été inauguré en 1854 par Napoléon III rue du Faubourg Saint Antoine et est au départ un hospice pour enfants abandonnés. En 1901, il déménage à sa place actuelle, rue du Dr Arnaud-Netter dans le 12ème arrondissement de Paris. Il devient un hôpital de proximité pour enfants malades, essentiellement fréquenté par la population ouvrière du quartier. Dans les années 50, l’hôpital Trousseau s’agrandit. Il se dote d’un service d’hématologie, de pneumologie, de cardiologie, de gastro-entérologie…

Aujourd’hui, l’hôpital Trousseau accueille 45 000 patients par an. 1 patient sur 5 vient de province ou de l’étranger. Le service des urgences pédiatriques est géré par 80 personnes dont 15 médecins et 38 infirmier(e)s. Il reçoit en moyenne 120 patients l’été et 250 l’hiver en période d’épidémies.

« COULISSES D’UN GRAND COMMISSARIAT », un documentaire réalisé par Sylvie Faiveley

Inauguré le 29 janvier 2008, l’Hôtel de police de Lille est le plus grand et le plus moderne de France. Il est situé dans la partie sud de la ville, une zone de misère sociale, minée par la pauvreté et le chômage, classée depuis peu ZSP (Zone de Sécurité Prioritaire).

Cet ensemble de 4 blocs en béton high-tech de 52 000 mètres carrés a coûté 48,5 millions d’euros, c’était le projet immobilier le plus ambitieux réalisé en province par le Ministère de l’Intérieur.

Le but : regrouper tous les services de police de la DDSP (Direction Départementale de la Sécurité Publique) qui étaient jusqu’alors disséminés un peu partout en ville : la PAF (Police aux Frontières), les Renseignements Intérieurs (ex RG), la Sûreté urbaine de Lille (services d’investigations), le GIR (Groupe d’Intervention Régional), et le commissariat central de la circonscription de Lille. En tout, l’hôtel de police lillois abrite près de 1 700 policiers.

Qui sont ces hommes et femmes qui travaillent dans ce lieu sous tension ? Pourquoi ont-ils choisi ces professions ? Leurs rôles sont multiples ; certains font office d’assistante sociale face à certains appels au 17, motivés surtout par la solitude et l’isolement, quand d’autres vont jusqu’à risquer leur vie dans les brigades d’intervention.

Comment alors se préparer au mieux à répondre aux demandes de la population ?

Le commissariat central, qui assure la sécurité et l’accueil du public 24h/24 et 7j/7 d’un bassin de population d’un million cent cinquante mille habitants, a accepté d’ouvrir ses portes aux équipes de « Off : Secrets et coulisses » et nous avons pu pénétrer dans les entrailles de quelques-uns de ses services les plus emblématiques.

« Les Nouveaux Explorateurs : David Walters en Inde », le 09/08 à 13h05 sur Canal+

« Les Nouveaux Explorateurs – David Walters en Inde » – Rediffusion du 07/04/2013

Pour sa deuxième exploration musicale, David nous emmène en Inde, un pays où la musique est sacrée et considérée comme étant à l’origine du monde.

C’est en effet par le son que le dieu Brahmâ a créé l’univers, selon la mythologie indienne. Un fantasme pour tout musicien… Qu’elle soit destinée aux temples ou au divertissement, enseignée dans le Nord ou pratiquée dans le Sud, la musique en Inde est à l’image de la société : opaque, complexe et soumise à de nombreux codes – que la jeune génération prend un malin plaisir à bousculer.

En Inde, depuis la nuit des temps, il y a d’un côté ceux qui font de la musique pour les temples et les dieux, et de l’autre ceux qui font de la musique divertissante. C’est au côté de ces derniers que David débute son exploration.

À quelques stations de métro du cœur de Delhi s’étend l’un des plus grands bidonvilles de la capitale : Kathputli Colony. David Walters y est accueilli par une caste de marionnettistes originaires du Rajasthan.

L’art des marionnettes indiennes est né au VIIIe siècle dans le but de divertir les princes. Aujourd’hui il permet à ces artistes de gagner correctement leur vie : autour de 100 euros par prestation.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda », le 30/07 à 13h05 sur CANAL +

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda » – Rediffusion du 23/09/2012

Si Sebastian Perez est parti explorer le Rwanda, c’est pour nous montrer le nouveau visage du pays aux mille collines.

Près de deux décennies après le génocide, une nouvelle génération de Rwandais combat la résignation et a décidé de se prendre en main pour faire face aux problèmes du quotidien. Pourtant, 60 % de la population y vit avec moins de 1 dollar par jour et a bien du mal à accéder aux besoins les plus élémentaires. Mais il y a dans ce petit pays ceux qui grâce au système D réussissent à survivre et à aider leurs proches.

Ce sont ces gens que Sebastian est allé rencontrer. Ceux qui en récupérant des métaux peuvent fournir de l’électricité à tout un village. Ceux qui fabriquent du charbon de bois avec des déchets organiques et même ceux qui se servent d’un savon lessive pour attraper des poissons- chats.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda », à redécouvrir le 30/07 à 13h05 sur Canal+.

« OFF SECRETS ET COULISSES : Maternité et pensionnat côté coulisses », deux documentaires de Anna Salzberg et Marion Leclercq le 30/07 à 20h45 sur France 4

« OFF Secrets et coulisses : Maternité et pensionnat côté coulisses » – Rediffusion du 12/02/2013

« COULISSES D’UNE MATERNITÉ D’EXCEPTION » , un documentaire réalisé par Anna Salzberg

On y donne la vie et on y frôle parfois la mort … La maternité est le lieu de tous les mystères.

Un espace temps d’une folle intensité, où tout le personnel se mobilise pour accompagner des femmes lors d’un des moments les plus importants de leurs vies.
C’est un lieu de passage, dans lequel on reste 4, parfois 5 jours, mais qui vous marque à jamais.

Les femmes y donnent la vie et y font la connaissance pour la première fois de leur enfant. C’est aussi un lieu d’apprentissage, où l’on apprend à devenir mère ou père. Une étape, la première rencontre de trois personnes liées pour toujours.

Du côté personnel, aider à donner la vie, à accoucher, ce n’est pas un métier comme les autres.

Comment appréhende-t-on et accompagne-t-on ce moment si angoissant et important dans la vie d’une femme et d’un homme? Comment perçoit-on la naissance quand on accouche 7 femmes chaque jour ?
De quel savoir essentiel le personnel dispose t-il ?

Pudeur, intimité, douleurs, mise à nu, la maternité est un lieu où les sentiments sont exacerbés et en même temps presque animal, où l’émotion et la pulsion de vie dominent.

« Off: Secrets et Coulisses » va vivre en immersion avec le personnel de la Maternité de Bondy, en région parisienne, pendant une semaine, nous allons suivre deux personnages principaux, deux sages-femmes exceptionnelles, entourées des obstétriciens, des puéricultrices, pédiatres, aides-soignantes et des étudiants venus apprendre ici leurs métiers.

Durant une semaine, nous allons accompagner ces professionnels là où le public n’a pas accès, dans leurs prises de garde, nous allons vivre avec eux les questionnements et doutes professionnels, les montées d’adrénaline, les temps de pause, vivre au rythme des pulsations d’un service hors du commun.

« SECRETS D’UN PENSIONNAT D’EXCEPTION » , un documentaire réalisé par Marion Leclercq

Les écoles les plus chères du monde se trouvent dans la Suisse, au bord du lac Léman. Des internats d’élite où les frais de scolarité atteignent des sommets : jusqu’à 100 000 euros l’année. Fils et filles de politiques, de grands industriels, de têtes couronnées ou de stars venus du monde entier s’y croisent, dès l’école primaire.

Ces « boarding schools » s’inspirent des internats anglo-saxons. Depuis quelques années, une nouvelle élite venue des pays émergents y envoie ses enfants. Ils sont russes, indiens, saoudiens ou chinois. Pour ces nouvelles fortunes, choisir un internat en Suisse, c’est assurer à sa descendance un anglais irréprochable, un réseau et un ticket d’entrée dans une université prestigieuse. Mais cette jeunesse dorée est aussi déracinée: elle vit loin de sa famille des mois durant. L’un de ces établissements a accepté de nous ouvrir ses portes.

Cet internat, l’Aiglon college, s’accroche à flanc de montagne, à 1300 mètres d’altitude, dans la station de ski de Villars sur Ollon en Suisse francophone. Villars compte 1000 habitants en basse saison, 10 000 l’hiver, pendant la saison de ski. Des personnalités telles que Vladimir Poutine ou Keith Richards y ont un chalet.

L’Aiglon college, c’est 340 pensionnaires âgés de 9 à 18 ans et de 52 nationalités. Tous, portent l’uniforme. Les cours se font en anglais, en petits groupes, voire en leçons particulières. Outre les cours de musique, de théâtre et de sport divers et variés, la marque de fabrique de l’école sont les expéditions obligatoires en haute montagne.

150 personnes, chauffeurs, professeurs, responsables d’internats et d’expéditions veillent jour et nuit sur ces pensionnaires privilégiés. Mais leurs efforts suffisent-il pour en faire des enfants bien dans leurs basquets ou plutôt dans leurs mocassins?

Quelles sont les particularités de cet établissement ? Comment expliquer de tels frais de scolarité ? Qu’est ce qui motive les parents ?Quels savoirs, quelles valeurs leur transmet-on? Qui sont ceux qui les encadrent ?

Qui sont ces pensionnaires cosmopolites ? Comment vivent-ils ce programme scolaire et sportif extrême ? S’ils sont à l’abri de tous problèmes financiers, à quels dangers sont-ils exposés ?

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Antarctique », à voir le 29/07 à 13h05 sur CANAL +

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Antarctique » – Rediffusion du 21/10/2012

Après avoir baroudé dans 25 pays, au cœur des zones de guerre semées d’embûches et s’être immergé dans les mégapoles mondiales, Diego s’aventure dans cette nouvelle saison des Nouveaux Explorateurs aux confins de la planète, dans les zones interdites. Ce sont des lieux peu connus et c’est à peine si des étrangers s’y sont risqués. Les conditions y sont extrêmes et l’environnement inhospitalier voire mortel. La vie de ceux qui s’y rendent est un combat de tous les instants.

Rejoignez Diego dans ces expériences du bout du monde au côté de caractères d’exception, tandis qu’il se surpasse et s’adapte à la rigueur qui l’entoure pour découvrir les contraintes et les victoires quotidiennes.

Arriver sur les plages de Cape Town avant de se lancer dans l’aventure du Grand Froid n’est pas ce que Diego avait imaginé comme point de départ d’une expédition en Antarctique.

Et pourtant c’est en Afrique du Sud que Diego embarquera pour 6h d’un vol international d’un autre genre, à bord d’un Ilyushin76 qui l’emmènera sur une piste d’atterrissage glacée de 300m de long sur la base aérienne de Novo, aux abords de la base russe de Novolazaresvskaya. Emmitouflé dans ses vêtements polaires et en attendant d’aller rejoindre la base Princess Elizabeth, Diego ira se restaurer et tentera de rentrer en contact avec les scientifiques russes qui sont installés sur cette base.

Un nouveau vol de 90 minutes l’emmènera enfin à bon port sur la base Princess Elizabeth, à l’est de l’Antarctique, à 1390m d’altitude, sur la terre de la Reine-Maud, à 180kms de la côte, à Utsteinen.

En 1959, douze Etats signe un traité sur l’Antarctique: l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Chili, les États-Unis, la France, le Japon, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et l’URSS (actuelle Russie). En 2010, le traité compte quarante-cinq États signataires. Ce traité donne au continent un statut particulier : les activités militaires y sont interdites ainsi que l’exploitation des ressources minérales sauf celles qui sont menées à des fins scientifiques.

Après deux jours de briefing intense sur les procédures strictes liées à l’environnement (hostile et fragile), une visite médicale de contrôle et un entrainement liées aux techniques de survies et de sécurité dans la région, Diego prendra alors toute la mesure de l’enfermement auquel il va devoir se confronter pendant 21 jours.

Construite lors de l’année polaire internationale 2007/2008, la base Princess Elizabeth remplace la base Roi-Baudoin abandonnée en 1968 par manque de budget. Diego nous la fait visiter. Equipée d’un site d’observation météorologique et de deux plateformes d’analyses chimiques de l’atmosphère et de géophysique, la base Princess Elizabeth a pour spécificité de recycler entièrement ses déchets et de n’utiliser que les énergies renouvelables, solaire et éolienne. Les matériaux et les technologies choisis respectent les principes de l’éco-construction afin de réduire l’impact environnement et se targuer d’être la seule station « Zéro émission ».

Diego va donc apprendre à vivre en totale immersion entouré de scientifiques et de pingouins sur une superficie de 14 millions de km2, soit les Etats-Unis et l’Europe réunis, à 98% recouverte de glace, au cœur du continent le plus froid, le plus sec et le plus venteux, bref dans le plus grand désert du monde.

Rejoignez Diego dans sa quête contemplative à la recherche de la grande ourse, à l’origine du terme Antarctique (opposé à la petite ours, référence à la constellation indiquant le nord), sur les traces de Dumont D’Urville quelques 172 années après que le premier explorateur (français) ait planté un drapeau sur cette incroyable réserve naturelle.