« OFF SECRETS ET COULISSES : Les coulisses du pouvoir » , deux documentaires réalisés par Juliette D’Incamps le 02/07 à 20h45 sur France 4

« Les coulisses de l’Assemblée Nationale », un documentaire réalisé par Juliette D’Incamps (Rediffusion du 22/01/13)

Ils sont 577 députés à représenter la Nation, mais 3000 personnes au total, à travailler à l’Assemblée Nationale. L’Assemblée, c’est une cité dans la cité, qui a son rythme et ses rites. Au cœur de Paris, elle abrite les députés venus de la France entière. Trois jours par semaine, elle est le Lieu de la politique, de ses joutes, mais c’est toute la semaine que cette microsociété s’active, se prépare, organise la vie et le travail des élus.

« Off : Secrets et coulisses » se glisse dans cet univers pour en comprendre les us et coutumes.

L’Assemblée Nationale, poumon de la démocratie est une ancienne demeure aristocratique et l’hôtel de Lassay qui jouxte le Palais Bourbon, un cadeau fait par la duchesse de Bourbon à son amant de l’époque, le Marquis de Lassay. Des centaines de fonctionnaires, de l’huissier à l’agent en passant par les rédacteurs des débats, chevilles ouvrières du parcours législatif, veillent au bon fonctionnement de cette institution qui vote la loi et contrôle le gouvernement.

Le Président de l’Assemblée Nationale, quatrième personnage de l’État, tient un rôle majeur dans la vie politique du pays. Représentant du peuple, il reçoit également les chefs d’Etats étrangers à l’hôtel de Lassay. Il est au coeur de ce qu’on appelle la diplomatie parlementaire.

À travers ce documentaire, ce sont les coulisses et les aspects peu connus de la vie quotidienne au sein d’un des symboles de l’État français, qui sont révélés. Pour servir de guide aux téléspectateurs, les caméras suivront les hommes et les femmes de l’ombre s’affairer au coeur des deux palais de la République que sont les Palais Bourbon et l’Hôtel de Lassay.

Il s’agit aussi de saisir le travail des élus au quotidien en suivant deux députés, un de l’opposition et un de la majorité, un primo arrivant et un élu plus expérimenté. Ainsi, nous serons à même de comprendre le travail parlementaire, comment la loi naît et s’inscrit dans la vie de la République.

« Laissez-passer pour Matignon », un documentaire réalisé par Juliette D’Incamps (rediffusion du 22/01/13)

Matignon… le cadeau d’un banquier à sa maîtresse, au XVIIIème siècle, mais aussi l’un des plus beaux hôtels particuliers de la capitale. Un des seuls qui n’ait pas été défiguré par la Révolution Française, celui qui jouit du plus grand parc privé de Paris.

Mais Matignon fait aussi et surtout référence à un job, celui de Premier Ministre, fonction redoutable s’il en est. Michel Rocard a parlé de l’« Enfer de Matignon ». Paradoxe du lieu et de la fonction, si Matignon renferme le coeur du pouvoir, il accueille un Premier Ministre cible de tous les coups, le bouclier du Président de la République, fonction sacrificielle dont l’espérance de vie est en moyenne de deux ans et demi.

Entre continuité de l’Etat et fragilité du pouvoir, Matignon est une machine qui tourne à plein régime, 24 heures sur 24. Les Premiers Ministres passent, la gouvernance, elle, doit être assurée en permanence pour assurer la stabilité du pays. Les chefs de gouvernement ont d’ailleurs toujours loué les qualités organisationnelles de Matignon et sa maîtrise du temps.

Pour la première fois dans un documentaire, « Off : Secrets et Coulisses » vous invite à pénétrer ce monde secret, au centre d’une organisation qui tourne sept jours sur sept. Du service de l’intendance en charge du bon déroulement de la vie quotidienne, à la Garde Républicaine qui assure la sécurité du Premier Ministre, en passant par les cuisines, tant pour les dîners officiels que pour les repas du personnel, jusqu’au bureau du Premier Ministre, nous ouvrirons toutes les portes.

Pour servir de guide aux téléspectateurs, les caméras suivront les hommes de l’ombre s’affairer au coeur d’un des palais les plus méconnus et les moins filmés de la République.

Matignon en quelques chiffres

L’Hôtel de Matignon date du XVIIIème siècle, sa superficie est de 3 hectares, dont 2,5 hectares de jardins.

C’est la résidence des chefs de gouvernement depuis 1935 et les fameux Accords de Matignon, sur les congés payés et le droit syndical entre autres, datent du 8 juin.

400 personnes travaillent à Matignon et ses annexes, dans une centaine de pièces. Les cuisines préparent plus de 300 repas par jour.

Le Premier Ministre reçoit en moyenne 1 chef d’Etat par semaine les services organisent 1500 réunions par an. Une vingtaine de Gardes Républicains sont présents 24 heures sur 24 pour assurer la sécurité du Premier Ministre à Matignon.

« Des Racines et des ailes : du Lot au Cantal », un film de Léni Merat et Dominique Lenglart, le 26/06 à 20h45 sur France3

Rediffusion du film « Des Racines et des ailes : Du lot au Cantal » dans la collection Passion Patrimoine

Le Lot, surnommé « Terre des Merveilles » avec plus de quatre cents édifices protégés au titre des monuments historiques, est un département riche en châteaux et en villages magnifiques…

Dans le secteur sauvegardé du vieux Cahors, les « enquêteurs du patrimoine » de l’architecte et archéologue Gilles Séraphin visitent chaque maison pour mettre au jour des trésors médiévaux. Derrière les papiers peints et les faux plafonds mais aussi derrière les enduits qui recouvrent les façades, ils révèlent des merveilles pour mieux les préserver.

Plus au nord, à Autoire, un jeune architecte lotois a pour mission de protéger un monument inaccessible, le château des Anglais. Il n’hésite pas à descendre en rappel au-dessus de cette fortification datant de la guerre de cent ans pour mieux la comprendre.

Au-dessus de la vallée de la Dordogne, l’impressionnant château médiéval de Castelnau-Bretenoux et sa flamboyante couleur rouge raconte neuf siècles d’histoire. Un joyau classé monument historique dès 1862 et sauvé à l’aube du vingtième siècle par un lotois haut en couleurs, le chanteur d’opéra Jean Mouliérat. Il y donnait des grandes fêtes avec le Tout- Paris de l’époque, comme les écrivains Colette et Pierre Loti, le sculpteur Auguste Rodin ou la dernière reine de Madagascar.

Mais le Lot, c’est aussi un vaste plateau calcaire, le Causse du Quercy. Si l’eau y est absente en surface, elle a creusé partout sous la roche d’innombrables cavités et a fait de cette région le berceau de la spéléologie. Avec le géologue Thierry Pélissier nous pénétrons dans le plus profond gouffre d’Europe à Padirac. Avec une jeune guide nous partons sur les traces d’Edouard-Alfred Martel qui l’explora le premier il y a plus de cent ans. Commençant son trajet là où s’arrêtent les visites guidées, elle fait pour la première fois le voyage pour atteindre « la Grande Barrière ». Une véritable montagne souterraine où Martel a apposé sa signature en 1899.

Le Causse du Quercy abrite un autre patrimoine, un ciel très pur remarquablement épargné par la pollution lumineuse produite par les villes. La profondeur de ses nuits en fait l’une des dernières zones sombres en Europe. Pour profiter du Triangle Noir, un fou d’astronomie, Philippe Canceil, est venu s’installer dans la région il y a vingt ans pour vivre pleinement sa passion. Et pour le protéger, il sillonne le causse pour convaincre les villages d’éteindre la nuit leurs éclairages publics.

A peine franchies les limites avec le département voisin, le Cantal, le paysage change radicalement. La chaîne des monts du Cantal, les plus anciens volcans d’Europe, marque de son empreinte les vallées profondes et les villages aux couleurs de roche basaltique.

Un patrimoine géologique que survole pour la première fois en parapente le vulcanologue François Leleu.

Sur les contreforts de ce gigantesque ensemble volcanique, Guy et Marie-Joe Chambon continuent de s’isoler chaque été dans leur buron d’altitude pour fabriquer du Salers de tradition. Coûte que coûte ils préservent un savoir-faire et protègent les magnifiques vaches salers qui ont failli disparaître.

Au mois de mai, les plateaux de l’Aubrac Cantalien se couvrent de blanc. La couleur du narcisse, une fleur sauvage qui ne fleurit que deux semaines par an. Entre récolte traditionnelle et transformation, des étudiants de l’école de parfumerie de Grasse, originaires du monde entier, viennent se former au cœur du Cantal. Demain, ils élaboreront les plus grands parfums avec des extraits de narcisse.

Dans le nord du département, une poignée d’amoureux des trains font revivre l’une des plus belles voies ferrées de France laissée à l’abandon il y a vingt ans. Qu’ils soient cheminots à la retraite, professeur de musique ou gendarme, tous se retrouvent pendant leur temps libre pour faire circuler leur autorail et restaurer les rails. A la belle saison, ils ouvrent bénévolement la ligne au public pour faire partager ce patrimoine oublié au plus grand nombre.

Du Lot au Cantal, entre les trésors médiévaux du Quercy et les panoramas majestueux des volcans, deux univers et une même pour le patrimoine.

« C comme Caillera », un documentaire de Sebastian Perez Pezzani et Sébastien Bardos le 26/06 à 22h30 sur Canal+

Apparu dans les cités entre la fin des années 80 et le début des années 90, largement inspiré par la culture de rue américaine, le « Caillera style » est une culture globale.

Popularisée par des films comme « La Haine », des humoristes comme Jamel Debbouze ou des séries comme « Kaïra Shopping », la « culture caillera » a largement débordé son creuset sociologique. Ainsi, des jeunes, et même des moins jeunes, n’ayant parfois rien à voir avec la « cité » s’habillent, parlent et consomment « caillera ».

De même, la mode, les médias et l’industrie du divertissement ont eux-aussi largement récupéré cette culture populaire. Une culture souvent caricaturée, voire moquée, dont tout le monde ou presque a une petite idée mais qu’au final très peu de monde, à part les principaux intéressés, ne connaît.

En une vingtaine d’années, le ghetto s’est invité dans nos salons, et la « caillera » est passée du repoussoir, de la figure crainte ou méprisée, à l’étendard branché : « Intouchables » pulvérise les records d’entrées et les trois héros des « Kaïra » sont invités chez Ruquier.

Le documentaire de 52 minutes « C comme caillera », plongée drôle, informative et surprenante dans le « monde des cailleras », prendra la forme d’un abécédaire se focalisant tour à tour sur les principaux éléments qui constituent cet univers (du style vestimentaire à l’argot, en passant par l’art de la vanne, Scarface, le kebab ou la Thaïlande…).

« OFF Secrets et coulisses : Télévision, radio : les coulisses », deux documentaires de Vincent Fichmann et Reza Pounewatchy le 25/06 à 20h45 sur France 4

OFF : SECRETS ET COULISSES » DE LA RÉDACTION DE FRANCE 2

Chaque soir près de 5 millions de téléspectateurs suivent le journal télévisé de 20 heures de France 2, soit environ 20% de l’audience. En trente minutes David Pujadas, Julian Bugier ou Laurent Delahousse présentent les actualités nationales et internationales, de la crise mondiale au fait divers « sociétal », en lançant des reportages, en interrogeant en duplex des correspondants ou en interviewant en direct sur le plateau la personnalité politique du jour.

Ce que n’imagine certainement pas la majorité des téléspectateurs, c’est tout le travail effectué en amont par une armée de journalistes et de techniciens pour réussir chaque soir ce tour de force.

Et comme à chaque instant, actualité oblige, le sommaire du journal peut changer, un sujet peut en remplacer un autre, un angle de reportage peut évoluer en fonction des évènements, un invité peut être « décommandé » pour laisser place à un autre, les équipes du JT sont prêtes en quelques minutes à faire un nouveau journal.

Pour y parvenir l’équipe du JT travaille en permanence à flux tendu et dans une discipline quasi militaire. Chaque seconde compte pour que tout soit prêt au top départ en régie.

« Off : Secrets et Coulisses » a suivi entre le 5 et 9 novembre 2012, les équipes du journal télévisé de France 2, à l’occasion d’une semaine exceptionnelle en ce qui concerne l’actualité internationale. C’est en effet au cours de cette semaine que les Américains vont élire leur nouveau président, et que le Parti communiste chinois va désigner ces nouveaux dirigeants.

À Paris, où la rédaction en chef orchestre le JT de 20 heures et à New-York et Washington, où des envoyés spéciaux, menés par David Pujadas vont couvrir les élections américaines, nous allons faire découvrir au téléspectateur le quotidien et le rythme extraordinaire de « ceux qui font le 20 heures ».

« Off Secrets et coulisses : coulisses de la rédaction de France 2 »
Un documentaire de Vincent Fichmann

« OFF : SECRETS ET COULISSES » DES MATINALES RADIOS

Elle nous accompagne partout. Dans notre voiture, notre salle de bain, notre cuisine, au boulot…

Mais le moment où les transistors sont les plus allumés, c’est le matin. De 6 heures à 9 heures. Quand les auditeurs se réveillent, prennent leur douche, avalent leur bol de café, ou se rendent en voiture à leur travail. D’autres s’affairent à poser leur voix sur un micro. Pour présenter l’actualité du jour, faire des blagues, interviewer des personnalités, lancer les derniers tubes musicaux à la mode, afficher de la bonne humeur.

« La matinale, c’est le prime time de la radio ». Parole de professionnels. Une tranche matinale très écoutée, c’est une radio qui a de la crédibilité, une radio sur qui les annonceurs (publicitaires, groupes financiers) peuvent faire confiance. Comment une radio organise t-elle sa matinale ? Comment les animateurs, chroniqueurs, journalistes, techniciens font-ils pour être frais, dispos et professionnels, à l’heure du direct ? Comment gèrent-ils ce rythme éreintant ?

Comment l’équipe radio musicale met-elle au point ses canulars et autres sketches téléphoniques ? Comment la rédaction d’une radio dite généraliste crée t-elle son journal d’information ? Les uns et les autres suivent-ils ce que fait la concurrence ?

Les équipes de « Off : Secrets et Coulisses » vous dévoileront les dessous de ces matinales. Des préparatifs d’une matinale à son débrief, nous passerons avec eux ces heures où ils mettent toute leur énergie à réveiller, informer mais aussi amuser les Français. Nous suivrons les équipes de Fun Radio, une radio musicale, destinée à un public jeune, et d’Europe 1, une station généraliste historique, composée d’une cinquantaine de journalistes et autant de collaborateurs.

Bruno Guillon est l’animateur, le chef de troupe de Fun radio, quant à Bruce Toussaint, il est le meneur de la matinale d’Europe 1. Deux styles, deux manières de procéder. Mais un objectif commun : être les plus écoutés

« Off Secrets et coulisses : coulisses des matinales radios »
Un documentaire de Reza Pounewatchy

CHARITY BUSINESS, un film de Sophie Bonnet le 24/06 à 22h25 sur Canal +

L’humanitaire ne s’est jamais aussi bien porté.

Aujourd’hui, 56% des français sont donateurs (200 euros en moyenne) et chaque année, les associations vivant de la générosité des Français, engrangent près de 3 milliards d’euros. Le secteur s’est professionnalisé jusqu’à devenir une vraie puissance économique. Et pour obtenir des fonds, les recettes sont toujours les mêmes : la pitié, la culpabilité, et le star système.

La médiatisation des catastrophes est permanente, les catastrophes deviennent parfois de grands shows.

La dernière crise humanitaire encore présente dans toutes les mémoires est le tremblement de terre à Haïti en janvier 2010. L’émotion a été considérable tout comme les sommes récoltées.

Les dons des Français se sont élevés à 70 millions d’euros et l’état français a versé, lui, 325 millions d’euros. Le monde entier s’est mobilisé et au total, c’est pas moins de 5 milliards d’euros qui ont été versés pour aider Haïti.

Trois ans plus tard, quelle utilisation a été fait de ces 5 milliards ? Aujourd’hui, seul un tiers des réfugiés a été relogé, des centaines de milliers de rescapés s’entassent toujours sous des tentes de fortunes dans les rues de Port au Prince et de gigantesques bidonvilles sont apparus autour de la capitale.

Près de 3 ans ont passé depuis le séisme, 6 milliards de dollars ont été dépensés, mais cet argent qui aurait pu servir a développer les infrastructures d’Haïti semble surtout avoir servi à auto-alimenter la machine de l’humanitaire.

Les contrats de reconstruction ont été accaparés par les entreprises européennes et américaines et moins de 1% de l’aide est revenue à l’état haïtien.

L’humanitaire fait vendre et certains petits malins l’ont d’ailleurs bien compris.

Il est devenu très tendance de partir pour quelques semaines pour une mission à l’autre bout du monde faire de l’humanitaire durant ses vacances. Aucune formation n’est demandée mais ces missions sont payantes, comptez environ 2500 euros plus le billet d’avion.

Une destination semble particulièrement à la mode : le Cambodge. Pour 2000 euros, les touristes peuvent travailler durant un mois dans un des nombreux orphelinats du pays.

Les volontaires occidentaux sont de plus en plus nombreux à participer à ces missions humanitaires d’un nouveau genre. Ces dernières années, le nombre d’orphelinats a explosé dans les lieux touristiques. Leur nombre a augmenté de 65% en 5 ans. Plus de 10 000 enfants s’y trouveraient.

Problème : 80 % des enfants qui vivent dans ces établissements ne sont en fait pas orphelins et les parents se voient parfois contraints de signer des contrats stipulant que s’ils cherchent à récupérer leurs enfants ils devront s’acquitter d’une amende de 1500$.

Les bons sentiments sont bien loin et dans certains cas l’humanitaire semble être devenu une véritable machine à cash.

Au sommaire de L’Effet Papillon du 22/06 à 13h40 sur CANAL +

« Contre-indications », un sujet de Benoit Chaumont

Souvent, au premier scandale sur les médicaments, et nous n’en manquons pas en ce moment, les yeux se tournent vers l’Inde. Ce pays est l’un des premiers producteurs de vrais médicaments mais aussi de faux médocs… Et vous vous en doutez il est plus dangereux de tomber sur une contrefaçon d’aspirine que sur un faux sac Vuitton.

« Ecran total » un sujet de Zhe Wang et Gaël Caron

Nous ne vous apprenons rien en vous disant que la Chine fait des affaires en Afrique et contrôle presque entièrement certaines économies… Et bien après avoir puisé dans les sous-sols, les forêts ou les mines, c’est désormais l’espace de cerveau disponible des Africains que les Chinois veulent conquérir.

« Le Masque et la plume » un sujet de Sabrine Van Tassel

Aux Etats-Unis, trois fois plus de femmes indiennes que de femmes blanches se font violer et l’explication est dramatiquement simple : la loi américaine interdit les indiens de juger les blancs. Alors beaucoup s’introduisent dans les réserves pour commettre leurs crimes.

Au sommaire de L’Effet Papillon du 15/06 à 13h40 sur CANAL +

« Les grands d’Espagne », un sujet de Cyrpien d’Haese

Dans la presse internationale on ne parle plus de l’Espagne qu’à travers ses dieux du sport que sont Nadal, Alonso ou Iniesta. Pourtant l’Espagne a des héros plus discrets, certes moins vendeurs, mais qui se battent contre des grosses équipes : Bruxelles, les banques et la police espagnole.

« Un indien dans la ville », un sujet de Benoit Chaumont avec Vincent Fichmann

Eux ils affluent par milliers chaque semaine de tous les coins du pays vers le nouveau temple de l’Inde : Bollywood, la première fabrique de films au monde. On les appelle les comédiens aspirants, ils ont sculpté leur corps, blanchi leur peau, lissé leurs cheveux et errent dans les rues en attente d’un Casting.

« Un pour tous, tous pour un », un sujet de Hugo Van Offel

En Angleterre les couples gays ont quasi les mêmes droits parentaux que les couples hétéros : ils peuvent adopter et le vote du mariage gay ces derniers jours n’a été qu’une formalité. Mais être homo en Angleterre est-il plus simple qu’en France où le mariage pour tous donne lieu à une guerre de tranchées ?

« Les Nouveaux Explorateurs : Sébastian Perez en Equateur », le 16/06 à 15h15 sur Canal+

Sébastian Perez nous invite à voyager en Équateur et à rencontrer ceux qui vivent au quotidien grâce au système D.

Quatorze ans après une grave crise bancaire, les Equatoriens ont appris que pour gagner leur vie, il ne fallait rien attendre des autres.

Carlos fait partie de ces rois de la débrouille capables de tirer parti de toute chose. Il construit des meubles sans couper un seul arbre.

Raoul, ancien ministre, est devenu chocolatier. Christian, tatoueur et chaudronnier, fabrique et exporte ses pistolets à tatouage dans le monde entier.

De la cordillère des Andes à l’océan Pacifique, Sébastien Perez Pezzani part à la rencontre de ces descendants des Incas qui ont su s’adapter et relever la tête.

ENQUETES CRIMINELLES : « Message prémonitoire : l’affaire Flavin », un film de Laure Bessi, le 12/06 à 20h50 sur W9

Le 14 février 2000, Patrice Moulinier découvre une scène d’horreur en rentrant chez lui : sa femme, Manuella, et sa fille de 12 ans, Morgane, gisent dans une mare de sang. Abattues toutes deux d’une balle dans la tête. Leur bébé de 5 semaines, Martin, est, quant à lui, introuvable.

Kidnapping ? Folie meurtrière ? Vengeance ? Toutes les hypothèses sont envisagées. Mais c’est en fouillant la vie privée de Patrice Moulinier que les enquêteurs vont progresser. Ils découvrent que ce paisible père de famille a entretenu, dix ans plus tôt, une étrange relation sexuelle avec une certaine Simone Van Matt. Une relation particulière puisqu’elle se faisait avec la bénédiction du mari, Jean-Marie Von Matt, un riche marchand de biens, propriétaire d’un château en Dordogne et vivant en Floride.

Interrogé par les gendarmes, Patrice Moulinier va se souvenir d’une phrase prémonitoire prononcée par Jean-Marie Von Matt à la mort de son épouse : « Simone est morte, maintenant vous devez libérer son âme ». Qu’a voulu dire Jean-Marie Von Matt ?

Les enquêteurs se lancent alors dans un véritable jeu de piste entre la Suisse, l’Aveyron, la Dordogne et la Floride. Un scénario macabre se dessine peu à peu, celui d’une vengeance teintée de mysticisme ou le marchand de bien a décidé d’éliminer tous les membres de la famille de l’ancien amant de sa femme…

« Dictateur, un boulot de dingue », un documentaire d’Alain Charlot, le 12/06 à 22h15 sur Canal+

Hitler, Staline, Kim Jong Il, Saddam Hussein, Nicolae Ceausescu, Jean-Bedel Bokassa ou encore Mouammar Kadhafi : ces dictateurs ont en commun un degré d’extravagance inattendu.

Certaines personnes, qu’il s’agisse de cuisiniers, de tailleurs, de compagnons de chasse ou de journalistes, ont été les témoins de leur étrange comportement.

Toutes décrivent un quotidien hors norme, une vie traversée par une folie plus ou moins douce.

Manies aberrantes du pouvoir, culte sans limites de la personnalité, rapport maladif à la cinéphilie : voici le manuel de l’absurde en neuf chapitres, pour aborder ce que les despotes ont offert de plus effroyablement drôle, d’Istanbul à Tokyo, des îles Lofoten aux forêts de la Transylvanie.

Extraits du documentaire :