Au sommaire de L’Effet Papillon du 08/06 à 13h40 sur CANAL +

« La Nuit des chasseurs », un sujet de Cyprien d’Haese

C’est l’histoire d’une ado violée toute une nuit par un groupe de lycéens et d’une justice locale tolérante pour les stars de l’équipe de foot locale. Jusqu’à ce que les cyber-activistes d’Anonymous s’en mêlent, enquêtent sur les coupables et révèlent au grand jour la face sombre des campus aux Etats-Unis.

« L’Âge de pierre », un sujet de Nicolas Tonev avec Xavier Luizet

Vous n’avez pas pu oublier ces images que l’on ne voit que dans les blockbusters américains à coups d’effets spéciaux. Cette météorite, trente fois plus puissante que la bombe d’Hiroshima, qui a explosé au dessus d’une cité industrielle de l’Oural, détruit des centaines de maisons et fait des milliers de blessés. Et bien vous allez voir, la pierre est encore chaude que le business de l’espace est déjà là.

« Squatacus », un sujet de Hugo Van Offel

Sans faire compliqué, deux chiffres pour comprendre clairement ce qui se passe à Rome la ville éternelle qui ne l’est plus vraiment : 150% d’augmentation des loyers et 60% d’expulsions en plus ces cinq dernières années. Conséquence : des milliers de familles qui squattent les milliers d’appartements vides et se battent pour y rester.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les sauveteurs de l’extrême », un documentaire de Bertrand Jeanneau le 07/06 à 22h15 sur 13ème Rue

Cette fois, « Hondelatte part en live » s’invite dans le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne, le fameux PGHM de Chamonix.

Ici, 44 sauveteurs d’élite, 8 médecins urgentistes et une dizaine de pilotes et mécaniciens passionnés.

Ils partent, 365 jours par an, au secours des alpinistes, des skieurs et des randonneurs dans le massif du Mont-Blanc.

Avalanches, chutes en crevasse, blessures sur pistes… Christophe Hondelatte vit au rythme de ces sauvetages de l’extrême : un bon millier d’interventions par an, la plupart à bord de Dragon ou de Choucas, les deux hélicoptères de sauvetage de la base.

Chaque année, les gendarmes redescendent des sommets 70 à 80 corps sans vie.

2013 est une année noire à Chamonix : 2 gendarmes, des montagnards expérimentés, on perdu la vie en moins de deux mois cet hiver.

Pendant 52 minutes, Christophe Hondelatte accompagne les sauveteurs au cœur de l’action. Il sait aussi les écouter, entre deux interventions. Et quand, par pudeur, les gendarmes préfèrent se taire, leurs épouses, elles, savent trouver les mots pour parler des risques du métier.

Présents dans toutes les montagnes de France, les PGHM ont perdu 55 hommes depuis leur création, en 1958.

« Hondelatte part en live : Avec les sauveteurs de l’extrême » Un film de Bertrand Jeanneau Le 07/06 à 22h15 sur 13ème Rue

ENQUETES CRIMINELLES : « L’énigme du meurtre de la postière », un film d’Anne-Laure Larget, le 05/06 à 20h50 sur W9

Le 13 juin 2002, Elisabeth R., 48 ans, chef de service à la poste de Rodez, ne rentre pas du travail. Pendant une semaine, tout laisse à penser que cette mère de trois grands enfants a fait une fugue. En instance de divorce, elle a pu avoir besoin de prendre l’air ou de rejoindre un amant. D’ailleurs sa voiture est découverte à Toulouse, à proximité de la gare SNCF.

Les jours passent, l’enquête suit son court et les gendarmes finissent par douter de ce scénario, car la personnalité d’Elisabeth ne colle pas avec un départ volontaire et précipité.

Mère dévouée, elle a disparu le jour même où sa fille cadette passait son bac.

Finalement, les enquêteurs découvrent que depuis près de 20 ans, le mari de la postière menait une double vie. Petit à petit se dessine alors la thèse d’un incroyable et terrible complot familial qui conduira les gendarmes jusqu’au mari d’Elisabeth, à leur fils Hadrien, et au meilleur ami de celui-ci, Matteo.

Ce n’est que trois semaines après sa disparition que les gendarmes découvrent le corps calciné d’Elisabeth, en pleine forêt aveyronnaise.

Alors que s’est-il passé ce matin du 13 juin ? Qui a frappé à mort Elisabeth ? Son mari, à l’aide d’une pelle ? Son propre fils, qui l’aurait étouffée sur ordre du père ? Ou bien le meilleur ami de celui-ci pris d’une folie meurtrière ?

Les enquêteurs doivent démêler le vrai du faux et élucider l’énigme..

Les lauréats du concours « Première Caméra » avec KissKissBankBank

L’Agence Capa, KissKissBankBank et les chaînes thématiques Toute l’histoire, Escales et Encyclo sont heureux d’annoncer les lauréats du concours PREMIÈRE CAMERA :

Delphine Dufriche pour le projet « L’Hôpital, La France et La Révolution ».

Lucas Roxo, Jenna Le Bras et François Hume-Ferkatadji pour le projet « Pour du beur ».

« Armes chimiques en Syrie, la preuve par l’image », le 02/06 à 12h40 dans Le Supplément sur Canal+

« Armes chimiques en Syrie, la preuve par l’image »

Une équipe de Capa a pu su rendre à Alep, au nord de la Syrie, la ville assiégée par les troupes de Bachar el Assad… Elle a rencontré les victimes d’un bombardement chimique qui a eu lieu le 13 avril dans le quartier kurde de la ville… Trois personnes ont été tuées dont deux enfants… Seize autres blessées.

Pour la première fois, ces survivants racontent l’enfer qu’ils ont vécu. « On dormait, lorsqu’il y a eu une grande explosion, on croyait que c’était un obus de mortier… nous avons senti une odeur, mon fils commençait à s’étouffer, je lui ai demandé si ça allait il n’arrivait plus à respirer, je leur ai dit sortons de la maison, mais il est mort dans mes bras. »

Nous avons récupéré une vidéo jamais diffusée tournée juste après l’attaque ou l’on peut voir les victimes prises de tremblements ainsi que des membres des autorités locales qui retournent sur le lieu de l’explosion pour récupérer les débris de l’obus. Les médecins qui ont reçu les victimes témoignent : « Ce sont les symptômes d’une exposition à un gaz neurotoxique ».

Comme pour les journalistes du Monde qui avaient enquêté dans les faubourg de Damas, nous avons rapporté des échantillons sanguins. La population vit désormais dans la terreur. « En cas d’attaque chimique, on m’a dit de prendre une serviette et d’y mettre de l’eau. L’autre nuit, y a eu un orage, j’ai cru entendre des bombardements, et du coup j’ai pris les enfants, je suis allé chercher des serviettes mouillées et les ai mises dans la salle de bain ».

« Armes chimiques : La preuve par l’image », un reportage de Seddek Chettab et Patricia Chaira et Paul Assaker.

Au sommaire de L’Effet Papillon du 01/06 à 13h40 sur CANAL +

« Dans la gueule du loup », un sujet d’Hugo Van Offel

Vous les avez forcément vues ou aperçues ces images plus ou moins floutées de ces hommes aux mains ensanglantées qui venaient d’assassiner un soldat de l’armée britannique dans les rues de Londres. Depuis, l’enquête progresse et comme souvent dans ces cas là, tous les chemins du djihad mènent à Luton, une ville anglaise que papillon connaît comme sa poche et où elle a retrouvé l’entourage des terroristes.

« Hors série », un sujet d’Hélène Grégoire

La série télé, ils l’ont vue comme nous dans leurs canapés et elle les fait rêver surtout au niveau des moyens humains et matériels. Papillon a reçu l’invitation des vrais experts de la police scientifique de Miami et ils ne disposent pas des mêmes outils que leurs collègues du petit écran pour faire « parler » les scènes de crime.

« Orange sanguine », un sujet de Mélanie Gallard

Guerre chimique. Pas celle des Syriens, celle des Américains. Imaginez ce qu’il s’est passé dans la tête des généraux pendant la guerre du Vietnam : puisque l’ennemi se cache dans la forêt nous allons détruire la forêt, les plantes, l’eau, les animaux, pour le rendre visible. Quarante ans après, les effets de l’agent orange se font toujours sentir mais sur l’homme.

« HONDELATTE PART EN LIVE : En classe commandos », un documentaire d’Anne Moyat le 31/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte au Centre National d’Entrainement Commando de l’Armée de Terre.

Ici, à Collioure, chaque année, prés de 2.000 soldats sont formés à la survie en zone de conflit.

Ces jeunes sont issus de l’école d’administration militaire, l’une des quatre écoles de la prestigieuse St Cyr Coetquidan. Ce stage d’aguerrissement est un passage obligatoire dans le cursus de ce groupe composé de 19 jeunes officiers. 14 garçons et 5 jeunes femmes.

Christophe Hondelatte assiste aux exercices de ce stage, considéré comme l’un des plus difficiles au monde. La légende raconte même que les marines américains n’arrivent pas au bout. Exfiltration en pleine guérilla urbaine, marche au pas de course, brancardage ou dessalage dans une eau à 9°C, rien ne leur est épargné.

Le journaliste partage également avec eux des moments plus intimes. Pour tenter de comprendre en quoi ce stage est indispensable pour ceux qui seront appelés à commander des hommes en opération. Un seul refus d’obstacle, un seul départ volontaire et leur affectation future peut être compromise.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les chirurgiens de guerre », un documentaire de Lionel Langlade le 24/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion dans le camp de réfugiés syriens de Zaatari.

Mars 2011, début la guerre civile en Syrie. Très vite, une partie de la population syrienne fuit vers la Jordanie. Pour faire face à un afflux croissant de réfugiés, la Jordanie décide début août de créer un camp au Nord du pays. C’est la naissance de Zaatari. 70.000 personnes y vivent actuellement. Mais ils sont entre 2 et 3.000 à arriver à chaque jour.

Pour éviter une catastrophe humanitaire, la France, en accord avec l’ONU et sous tutelle de la Jordanie déclenche en août 2012 l’opération Tamour et décide l’envoi d’une antenne chirurgicale. 100 militaires au total dont une trentaine de personnel médical. Objectif : soigner les civils et les militaires quelque soit leur camp.

Christophe Hondelatte va passer plusieurs jours aux côtés des deux chirurgiens de guerre et de leurs équipes.

Il partagera leur urgence absolue pour tenter de comprendre la vie de ces hommes et femmes engagés volontaires pour une mission de deux mois.

Tout au long du documentaire, le journaliste livrera son ressenti sur ses rencontres et ses impressions à chaud sur la façon d’aborder ce métier hors du commun, au service des autres, sur une zone de conflit.

ENQUETES CRIMINELLES : « Meurtre de la banquière : Affaire Elodie Kulik », un film de Alexis De La Fontaine, le 22/05 à 20h50 sur W9

Vers minuit, le 11 janvier 2002, les pompiers de Péronne dans la Somme reçoivent un terrible appel au secours. Au bout du fil une jeune femme hurle qu’elle vient d’être enlevée. Plusieurs voix d’hommes derrière elles sont audibles, mais ses agresseurs lui arrachent son téléphone avant quelle ne puisse en dire plus…

Deux jours plus tard son corps est découvert calciné dans une décharge. C’est Elodie Kulik 23 ans, une jeune et jolie banquière de la région. Elle a été violée et étranglée. A côté de son corps les gendarmes découvrent un préservatif et un mégot.

Grâce à ces preuves l’ADN de l’un des agresseurs est identifié. Malheureusement il est inconnu des services de police… Impossible de mettre un nom dessus.

C’est le début d’une incroyable enquête qui va durer plus de dix ans. Les gendarmes ont peu de pistes. Sa famille et ses amis sont sous le choc, la jeune femme était appréciée de tous, on ne lui connaissait aucun ennemi.

Quelques heures avant le drame Élodie Kulik avait passé la soirée avec un ami au restaurant, elle avait bu un thé chez lui avant de rentrer chez elle en voiture. Son ami est mis hors de cause.

A-t-elle été suivie ? S’agit-il d’un crime de rôdeur ? A-t-elle été la proie d’un ou plusieurs prédateurs sexuels ?

L’une des pistes envisagées est celle du tueur en série Jean Paul Leconte, condamné pour deux meurtres de jeunes femmes dans la même région. Mais après vérification, l’homme est rayé de la liste des suspects. L’un des indices dont disposent les enquêteurs est le dernier appel passé par la jeune femme. L’analyse audio de cet appel permet d’affirmer que deux des hommes entendus sur l’enregistrement ont un fort accent picard. De toute évidence dans la région des gens connaissent le scénario du drame mais se taisent.

L’enquête semble dans une impasse quand en 2011 un incroyable rebondissement se produit. Pour la première fois, la justice utilise une nouvelle technique : la recherche d’ADN par parentèle. Le nom de Grégory Wiart sort. C’est bien son ADN qui a été retrouvé dans le préservatif sur la scène du crime !

Malheureusement pour l’enquête il est décédé quelques mois après le meurtre. Reste à démasquer ses complices. L’enquête sur l’entourage du jeune homme va finir par payer.

Quelques mois plus tard, Willy Bardon, un ami de Wiart est arrêté et mis en examen.

Sa voix a été reconnue par plusieurs de ses proches comme étant celle que l’on entend derrière les cris de terreurs d’Elodie Kulik dans son ultime appel à l’aide…

« Global gâchis » : sortie du livre de Tristram Stuart sur le scandale du gaspillage alimentaire, le 6 juin en librairies

Le livre de Tristram Stuart, « Waste, uncovering the global food scandal » vient d’être publié en français sous le titre « Global Gâchis, révélations sur le scandale mondial du gaspillage alimentaire ».

Le documentaire a été diffusé sur Canal+ le 17 octobre dernier sur Canal +

Alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent de malnutrition sur notre planète, un tiers de la production mondiale de nourriture est gâchée. L’ensemble des producteurs, dis- tributeurs et consommateurs des pays occidentaux jette une quantité de nourriture qui pourrait nourrir 7 fois la population qui a faim dans le monde.

Ce gaspillage, qui intervient tout au long de la chaîne alimentaire, soulève à la fois des questions environnementales, éthiques et économiques. Se poser la question du gaspillage alimentaire, c’est se poser la question de notre survie. en 2050, nous serons 9 milliards d’habitants sur terre et autant de bouches à nourrir. La production agricole doit réussir un tour de force : répondre à la forte hausse de la demande tout en pré- servant les ressources naturelles.

Le premier réflexe serait de dire que pour nourrir plus de monde, il faudrait produire plus, alors qu’il suffirait de gaspiller moins. Des solutions étonnamment simples permettraient de résoudre ce qui est devenu l’un des plus problèmes environnementaux et sociaux auxquels il est le plus urgent de faire face.

Est-on enfin prêts à considérer le gaspillage comme anormal? Tristram stuart, auteur du best-seller Waste (la référence internationale en matière de gaspillage alimentaire), nous guide dans cette enquête. en sa compagnie, nous allons en Europe, au Costa Rica, au Pakistan, aux Etats-unis ou encore au Japon découvrir des exemples affligeants de gaspillage, mais aussi de stimulantes innovations et des solutions pour tirer le meilleur parti de ce que nous produisons.
Notre mode de vie a généré une crise alimentaire mondiale. Il faut maintenant la résoudre.

« Global Gâchis », un documentaire d’Olivier Lemaire, écrit par Maha Kharrat et Tristram Stuart, sur une idée de Jean-Marie Michel, diffusé le 17 octobre 2012 à 20h50 sur CANAL +