La 17ème cérémonie des Lauriers de la Radio et de la Télévision récompense Jérôme Mignard et Thomas Risch pour le documentaire "Hors-jeu : carton rouge contre l’exclusion"

Lundi 20 février, avait lieu la 17ème cérémonie des Lauriers de la Radio et de la Télévision qui récompense les programmes audiovisuels les plus remarquables pour leur contribution à la culture française.

Le Club Audiovisuel de Paris a remis plusieurs prix dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris.

Dans la catégorie des documentaires, c’est le documentaire « Hors jeu, carton rouge contre l’exclusion » réalisé par Jérôme Mignard et Thomas Risch, pour l’agence CAPA, qui remporte le Laurier Sport.

Le documentaire : « Hors jeu, carton rouge contre l’exclusion »

Du 21 au 28 août 2011, Paris a accueilli la neuvième édition de la Homeless World Cup, la Coupe du monde de football des sans abris. Huit jours durant, 70 équipes représentant 64 nations se sont affrontées sur trois terrains de street soccer installés au pied de la tour Eiffel.

Au plus près de l’équipe féminine d’Argentine et des équipes masculines française, japonaise, kenyane et palestinienne, ce documentaire dresse le portrait des joueurs et de leurs éducateurs sociaux, depuis les premiers repérages dans la rue jusqu’à la compétition.

Il raconte en parallèle l’histoire du fondateur de l’épreuve, l’Ecossais Mel Young, qui a imaginé cette Coupe comme une façon de lutter contre la pauvreté.

Les réalisateurs, Jérôme Mignard et Thomas Risch, se sont déjà penchés sur le sujet en 2007 avec « Du bleu dans les yeux », un documentaire sur l’équipe de France des personnes sans abri, à l’occasion de la cinquième édition de la HWC.

LE MONDE DANS TOUS SES ETATS : « MA MAISON EST UNE PRISON », un doc de V. Lebrun, lundi 27/02 à 20h40 sur JIMMY!

Forts, cruels, déstabilisants, intenses, drôles, riches et insolites, ces films apportent un éclairage unique sur le monde, avec ses paradoxes et ses concessions, ses interrogations, ses revendications, ses avancées et ses inquiétudes. Forte de son expérience de journaliste, Isabelle Giordano présente cette série éditorialisée selon huit thématiques : un monde de folies, de croyances, d’argent, de femmes, d’enfants, de prisons, de dérives, de nouvelles tribus.

LE MONDE est DANS TOUS SES ETATS, et c’est le nôtre pour le meilleur et pour le pire, accordons lui notre attention, pour mieux le comprendre et le protéger.

Pour cette quatrième émission, Isabelle Giordano présente « MA MAISON EST UNE PRISON »,  le lundi 27 février à 20h40

Incarcération, détention, prison : certains y font un court séjour, d’autres y passent toute leur vie, il y a ceux qui espèrent en sortir un jour, et ceux qui y attendent la mort… Nous, nous vous proposons d’y séjourner un peu moins d’une heure et demie, juste le temps de vous faire une idée des disparités de la situation carcérale dans le monde…

Ainsi, vous pourrez assister à un rodéo dantesque dans un pénitencier en Louisiane, ou à des chorégraphies d’exception réalisées par les pires criminels Philippins.

Vous découvrirez l’univers des femmes matonnes parallèlement au quotidien d’autres femmes qui patientent dans l’angoisse du couloir de la mort. Vous ferez la connaissance de bagnards reconvertis en pompiers ou de prisonniers australiens qui gagnent leur salut en s’occupant d’animaux sauvages.

Et puis, et puis, en guise d’introduction, nous vous convierons dans les geôles du Honduras, ou croupissent des gosses des quartiers pauvres appartenant aux gangs les plus dangereux de la planète, les Maras…

Sortez vos extraits de casier judiciaire, vierges évidemment, nous vous conduisons tout droit en cabane. Alors un seul conseil : tenez vous à carreau derrière les barreaux !

Emission n°4 : « MA MAISON EST UNE PRISON »
Un documentaire de Vincent Lebrun
Le Lundi 27 février à 20H40 sur JIMMY
Format : 8×85’. Production : CAPA- 2011

LE MONDE EN MARCHE « Argentine : l’imagination au pouvoir », une émission présentée par Hervé Chabalier, le 26/02 à 20h35 sur France 5

Pour la rentrée du « Monde en marche », direction l’Argentine avec le documentaire « Argentine : l’imagination au pouvoir »

L’imagination au pouvoir ?

Oui, l’imagination, qui a permis à l’Argentine de sortir du marasme, s’inventer un destin. A l’heure où l’Europe souffre, les équipes du Monde en marche se sont rendues de l’autre côté de l’Atlantique pour recevoir une leçon. Et si, une fois nos sociétés en crise, ce pays d’Amérique latine nous donnait l’exemple ?

Il y a dix ans, en décembre 2001, l’Argentine est au bord du précipice. Défaut de paiement sur sa dette, émeutes, famine, morts… Le pays est sur le point d’imploser. Mais en pleine tourmente, le Président fait fi de toutes les conventions, et envoie paître le FMI et son programme d’aide, synonyme d’austérité.

Dix ans plus tard, le miracle a fonctionné : 8% de croissance annuels, une société de quasi plein-emploi, une consommation en plein boom et une balance commerciale excédentaire. A quoi ressemble l’Argentine d’aujourd’hui ?

Hervé Chabalier a pu rencontrer le cerveau de cette renaissance : Roberto Lavagna, ex-ministre de l’économie, qui relevé le pays au plus fort de la crise.

La recette du kirchnérisme, le système “K”, a fonctionné : Nestor, élu en 2003, puis sa femme Cristina qui lui succède en 2007, ont les moyens de leur politique résolument sociale.

Avec « L’imagination au pouvoir », Le monde en marche montre les recettes du miracle, mais aussi ses revers : boom du soja transgénique avec le « roi du soja » Gustavo Grobocopatel, cartoneros qui se sont organisés en coopératives pour trier les poubelles, spots télévisés qui invitent les plus riches à renoncer à leurs subventions…

Pour ce 8e numéro, au rythme du tango, Le monde en marche dresse le portrait d’une société qui se réinvente en modèle.

Au sommaire également du « Monde en Marche » :

– Portrait d’un golden boy argentin : Mariano Latorre

Entre demande en mariage à dos de cheval en plein Buenos Aires et match de polo le weekend, Marc Garmirian a suivi Mariano Latorre, un typique golden boy comme l’Argentine renouvelée en a vu naître.

– Rencontre avec un photographe : Giancarlo Ceraudo

Hervé Chabalier a rencontré Giancarlo Ceraudo, photographe italien installé en Argentine, qui a immortalisé l’une des phases les plus sombres de l’histoire argentine à travers les procès de la dictature, les visages des Mères de la place de Mai et les vols de la mort.

– « Le Zapping » :

La télé argentine est à l’image de sa société : riche et haute en couleurs. Le zapping du Monde en marche est signé par Elena Volochine.

« Le Monde en Marche » ou l’actualité internationale vue autrement…

Hervé Chabalier, Grand reporter et fondateur de l’agence CAPA, présente « Le Monde en Marche », magazine de décryptage de l’actualité étrangère sur France 5.

C’est sur le terrain que le journaliste et ses équipes se rendent pour mieux saisir et expliquer les multiples réalités géopolitiques et humaines de l’actualité internationale.
L’occasion de comprendre ce monde en marche et d’aborder autrement la politique étrangère à la télévision.

Structuré autour d’un grand document de 52’ et d’enquêtes d’actualité, « Le Monde en Marche » offre aux téléspectateurs un nouvel éclairage sur les différents évènements de l’actualité internationale : conflits complexes, géopolitique délicate, enjeux cachés…

LE MONDE EN MARCHE « Argentine : l’imagination au pouvoir »
Dimanche 26 février 2011 à 20h35
Présenté par HERVE CHABALIER

Journalistes : Elena Volochine, Nadine Achoui-Lesage, Marc Garmirian
Rédaction en chef : Christophe Gascard
Réalisation : Fabrice Babin

Une production : CAPA avec la participation de France Télévisions
Format : 90’

Prenez votre ticket ! 1€70 spécial Brésil à São Paulo, présenté par Victor Robert, le 24/02 à 20h50 sur Planète +

Au sommaire de 1€70, spécial Brésil : un petit tour à São Paulo, avec Victor Robert, pour découvrir toutes les richesses et les secrets de ses communautés dans le pays le plus métissé du monde !

Immigration ancienne : Il était une fois au Brésil

L’Immigration italienne au Brésil est représentée par 33 millions de Brésiliens descendants d’immigrants italiens. Ils sont dispersés dans tous les États des régions Sud et Sud-Est du Brésil, se trouvant être quasiment la moitié de la population de l’État de São Paulo. Cette population est considérée comme la plus importante d’oriundi (descendants d’Italiens) hors d’Italie.

Les premiers Italiens arrivèrent au Brésil en 1870. Le gouvernement brésilien stimulait l’immigration européenne, particulièrement après 1850, quand le trafic des esclaves africains fut aboli au Brésil ; les immigrants se substituaient à la main-d’œuvre esclave.

Les Italiens s’installèrent d’abord dans la région Sud du Brésil, où les colonies d’immigrants étaient  établies par le Gouvernement brésilien au début du XIXe siècle.

A São Paulo, un habitant sur 5 revendique au moins un ascendant italien.

Nous serons avec Angelo, 92 ans, le propriétaire du plus vieux restaurant italien de tout le Brésil. Angelo est venu par paquebot dans les années 40 et son histoire a même inspiré une telenovela.

Nous serons également avec une famille de commerçants italiens, les plus gros importateurs au Brésil de produits issus de la botte. 4 générations aux manettes de l’entreprise. Dans cette famille, on se revendique brésilien mais on respire l’Italie.

Japon : « L’appel du 18 juin», un sujet de Mickael Beurdouche

Le Brésil est le pays qui accueille le plus de Japonais en dehors du Japon. Il y a entre 1,3 et 1,5 million d’habitants d’origine japonaise au Brésil. Les personnes d’origine japonaise nées au Brésil sont appelées Japonais-Brésiliens (Nipo-brasileiros en portugais), ou nissei.

Le 18 juin 1908, les premiers immigrants japonais débarquaient du navire Kasato Maru dans le port de Santos, São Paulo. Ils étaient au nombre de 791 (principalement des fermiers venus d’Okinawa). Ils partaient pour le Brésil pour travailler dans les plantations et pensaient revenir au Japon après avoir gagné un peu d’argent, mais ce ne fut pas le cas.
Aujourd’hui, le quartier de Libertad, construit par les japonnais accueillent l’essentiel des diasporas asiatiques.

Les deuxième, troisième et même quatrième générations prônent un retour aux sources. Les plus jeunes d’entre eux sont tournés vers la culture mango-pop, véhiculée par les jeunes tokyoïtes.

C’est le cas de l’une de nos personnages, déguisée en manga-girl et qui nous emmènent dans les karaoke les plus célèbres de Sao Paulo.
Les plus anciens n’ont jamais non plus totalement abandonné la culture nippone. Cours de karaté, musique….

Bolivie : «Le mirage brésilien», un sujet de Mickael Beurdouche

En quête d’un travail et d’une vie meilleure, des milliers de Boliviens quittent leur pays pour Sao Paulo, la mégapole du Brésil, où ces travailleurs clandestins réalisent leur rêve – avoir un emploi – mais avec un salaire de misère et dans des conditions inhumaines.

Espagne : « Les nouveaux conquistadors», un sujet de Pierrick Morel
Ils sont des milliers à quitter l’Espagne, son marasme économique et son chômage endémique. Beaucoup partent en Allemagne, seul pays européen à ne pas plonger. Les autres optent pour l’Amérique du Sud et le Brésil en particulier. Si les tendances démographiques actuelles perdurent, l’Espagne pourrait perdre plus d’un demi-million d’habitants au cours des dix prochaines années.

Ianire est créatrice de mode. L’absence de perspectives au Pays Basque espagnol l’a poussée à venir vivre, dessiner et fabriquer ses collections ici au Brésil pour les vendre….. au Pays Basque espagnol.

Quant à Jesus, peintre en bâtiment, il a récemment quitté l’Espagne, pays dans lequel il n’avait plus aucun avenir professionnelle. Il était même en pleine dépression. Dès son arrivée au Brésil, sa vie a changé….

Interview
Frédéric Junck, chef d’entreprise français, présent au Brésil depuis 1985. Arrivé juste après la dernière dictature militaire, il a assisté à la montée en puissance d’un pays dont il est tombé littéralement amoureux.

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 19 février

PAPY FAIT DE LA RÉSISTANCE de Olivier PONTHUS
Abdoulaye Wade, 86 ans dont 12 au pouvoir, va-t-il parvenir à se faire réélire, le 27 février prochain, à la tête du Sénégal…? Il y compte bien, en tout cas. Le chauve illustre, en bonne place dans le top 10 des plus vieux dirigeants du monde, se cramponne au pouvoir… et tant pis si l’opposition crie au coup d’état constitutionnel. Des manifestations, déjà plusieurs morts… cette présidentielle, la 10ème depuis l’indépendance, est bien loin du rêve républicain de Léopold Sédar Senghor.

GOOD MORNING VIETNAM de  Michael SZTANKE, Gaël CARON et Dung VO TRUNG
L’Effet Papillon, la suite. Plus attractif et plus compétitif que la Chine, c’est possible. Le Vietnam est en passe de devenir le nouveau dragon asiatique, un dragon qui n’arrête pas de cracher du cash et de la croissance, depuis que les communistes se sont convertis à l’économie de marché. Signe qui ne trompe pas : les investissements étrangers explosent, tout comme le PIB vietnamien. Mais concrètement, à qui profite ce miracle économique ? Papillon a rencontré quelques-uns de ces nouveaux capitalistes.

DE L’AUTRE COTÉ DU MUR de Stéphane AMAR et Hadrien GOSSET-BERNHEIM
Pour les travailleurs palestiniens, tous les moyens sont bons pour franchir le Mur qui sépare la Cisjordanie de l’état juif.  Chaque année, grâce à des failles et à des complicités, des dizaines de milliers de palestiniens viennent travailler clandestinement en Israël. Ils gagnent le double, voir le triple, dans les usines, hôtels et restaurants de leurs voisins. Des ouvriers anxieux, prêts à tout pour améliorer leur ordinaire, y compris à travailler sur les chantiers des colonies juives.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

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NE DITES PAS À MA MÈRE que je suis aux USA : Diego Buñuel vous emmène dans le « Wild wild West », dans Les Nouveaux Explorateurs le 26/02 à 15h05 sur Canal +!

Après avoir baroudé au cœur des zones de guerre semées d’embûches et s’être immergé dans les mégapoles mondiales, Diego Buñuel s’aventure dans cette nouvelle saison de “Ne dites pas à ma mère” dans les” terra incognita”.

Il est certainement devenu difficile de trouver un lieu vierge de toute topographie à l’âge de Google Maps et du GPS, et pourtant Diego va s’attacher à vous montrer que ça n’est pas que l’emplacement d’un pays sur une carte qui définit sa place dans le monde. Ainsi il existe de nombreuses histoires qu’il nous reste encore à découvrir. Au cours de cette nouvelle saison de “Ne dites pas à ma mère”, Diego va s’immerger dans 5 pays que vous pensez surement connaitre mais qui pourtant restent, sur plein de points, inconnus.

NE DITES PAS À MA MÈRE que je suis aux USA…
Les États Unis sont la dernière super puissance mondiale telle qu’elle était définie du temps de la guerre froide et sont peuplés de plus de 300 millions d’habitants.

Diego s’est attaché dans cet épisode à visiter une région peu connue du grand public, située à l’ouest du Mississippi, pour aller à la rencontre de l’essence de ce qui a fait la gloire des États-Unis d’Amérique… Alors que l’Amérique est en guerre depuis 10 ans et son économie est touchée de plein fouet par la récession, des voix politiques et morales divergentes émergent à travers le pays.

Son premier arrêt sera pour Brownsville, la ville située le plus au sud de l’État du Texas, à la frontière du Mexique. Cette ville est l’épicentre d’une bataille qui fait rage autour d’un mur de 6 mètres de haut érigé par le Département de la Sécurité Nationale pour faire face à l’immigration illégale et le trafic de drogue. Ce mur–clôture a mis de fait à l’écart de nombreux américains et 20 000 hectares de terre américaine dans une zone que l’on peut qualifier de no man’s land.

Diego fait la connaissance du patron d’un club de golf dont le terrain est traversé en son milieu par le mur rendant son entreprise quasi moribonde. Il partira par la suite à la rencontre d’un fermier et de son fils dont les terres sont maintenant essentiellement situées dans cette zone tampon. Ils sont les grands perdants des ramifications politiques et pratiques des solutions prises pour tenter d’endiguer un des soucis majeurs américains.

Diego part pour Las Vegas rencontrer le journaliste Matt O’ Brien qui intervient au près d’une communauté de sans papiers vivant dans les canaux d’évacuation situés au dessous de la fameuse promenade bling-bling de Las Vegas.
Au cours de la visite de ces tunnels désolés, Diego rencontre deux d’entre ceux qui ont tout perdu dans les vices dans lesquels Vegas les a entrainé. Ces campements sont extrêmement dangereux lorsque les eaux de pluie font rage et déferlent dans ces tunnels quoiqu’il en soit habités par un milliers de sans abris.

Seattle est très certainement plus connue pour être la ville mère de Starbucks et Microsoft, sa vue “carte postale” et ses précipitations ininterrompues, elle restera pour Diego la ville où il aura patrouillé avec un super héros. Après Minuit, Diego fait la rencontre de Phoenix Jones et les Superhéros de la ville de la pluie, une bande qui pourrait sortir tout droit d’une collection Marvel. Ils les accompagnera tout au long de la nuit dans leur tournée anti-vandalisme et comportement non civique mais aussi pour contrer la revente de drogue à la sauvette.

A proximité de la ville de Truth and Consequences au Nouveau Mexique, une surprise sans précédent trône au milieu du désert. Ça n’est pas un plateau de cinéma hollywoodien, c’est le premier aéroport commercial au monde. Pour 140 000 euros quiconque disposant d’une santé correcte, peut s’acheter un billet pour aller dans l’Espace. Diego visite le chantier et apprend les modalités du trajet spatial pour les futurs voyageurs. Si les promesses d’un voyage dans l’espace sont suffisantes pour certains passionnés, c’est un espoir d’embauche, de boom économique et de futur pour cet État.

Aucune visite de l’Ouest Américain n’aurait pu être considérée comme achevée sans un rodéo et des cowboys dans les alentours de Denver. Un rodéo pas comme les autres car il s’agit d’un rodéo homosexuel avec tout le folklore habituel et quelques jeux décalés au milieu.

Diego rencontre les fondateurs de cet évènement et parle avec eux des changements et de l’évolution positive dans l’attitude de la population vis à vis des homosexuels et des cowboys gays.

Pour finir, Diego, prend la vague au côté d’une association caritative AmpSurf. Des handicapés et notamment 70% de vétérans de la guerre en Irak, viennent se ressourcer et reprendre confiance en eux sur les plages californiennes.

Diego surfe avec Dana Cummings, le fondateur de ce camp qui a perdu une jambe suite à un accident de voiture. Il enseigne la persévérance pour reprendre confiance en soi.

Alors rejoignez Diego dans ce dernier opus de la saison 4 de « Ne dites pas à ma mère que je suis reparti… au Far West” à la rencontre de ces Américains qui font que leur pays est unique en son genre.

LE MONDE DANS TOUS SES ETATS : « Le grand monde des petits » un doc de P-O Labbé, lundi 20/02 à 20H40 sur JIMMY!

Forts, cruels, déstabilisants, intenses, drôles, riches et insolites, ces films apportent un éclairage unique sur le monde, avec ses paradoxes et ses concessions, ses interrogations, ses revendications, ses avancées et ses inquiétudes. Forte de son expérience de journaliste, Isabelle Giordano présente cette série éditorialisée selon huit thématiques : un monde de folies, de croyances, d’argent, de femmes, d’enfants, de prisons, de dérives, de nouvelles tribus.

LE MONDE est DANS TOUS SES ETATS,  et c’est le nôtre pour le meilleur et pour le pire, accordons lui notre attention, pour mieux le comprendre et le protéger.

Pour cette troisième émission, Isabelle Giordano nous emmène dans « LE GRAND MONDE DES PETITS » ce lundi 20 février à 20h40

Mioches, bambins, lardons, gosses, gamins, ados ou moutards, appelez-les comme vous voulez… Ils sont souvent des anges mais aussi parfois des démons. On les aime. Mais ils nous font peur. On les admire mais ils nous exaspèrent. Vous l’avez compris, ce numéro de notre magazine, « le monde dans tous ses états » pose son regard à hauteur d’enfant.

A travers une douzaine de portraits de mômes du monde entier qui n’ont pas « choisi les trottoirs de Manille de Paris ou d’Alger pour apprendre à marcher » , vous pourrez dresser un état des lieux des disparités qui existent entre le traitement et l’avenir possible des gosses du monde entier.

Naître et grandir au Brésil, en Inde, aux Etats-Unis ou en Ouganda, c’est un peu comme une roulette russe. Un jeu de hasard, parfois drôle quand l’arme n’est pas chargée. Parfois mortel.

Adulé ici, endoctriné, asservis ou persécuté ailleurs, l’enfant est souvent le jouet de l’adulte, une projection fantasmée du grand sur le petit. Bébés boxeurs en Thaïlande, enfants soldats en Ouganda, ados prêts pour la guerre en Russie, délinquants sous traitement de choc aux USA, mômes sans abri en Inde, le monde que nous vous proposons de décourvrir ne fait ni dans la tendresse, ni dans l’innocence…

Il y en a qui ne veulent jamais quitter l’enfance, d’autres qui souhaitent absolument l’oublier ! Qui a tort ? Qui a raison ? Eléments de réponse en 85 minutes…

Emission n°3 : « LE GRAND MONDE DES PETITS »
Un documentaire de Pierre-Olivier Labbé
Le Lundi 20 février à 20H40 sur JIMMY
Format : 8×85’. Production : CAPA- 2011

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 12 février

A L’OMBRE DES TALIBANS de Christophe BARRÈRE
En attendant « Kaboul Kitchen » demain sur Canal, Papillon vous présente Kaboul Gangsta …  avec dans les rôles principaux, les artistes de  la scène underground afghane, qui tentent de secouer une société souvent paralysée par peur de s’exprimer… Et vous allez le constatez, certains y arrivent mieux que d’autres, mais parfois au péril de leur vie.

DÉFENSE D’ENTRER de Cyprien d’Haese
Des centaines de milliers d’euros investis pour sécuriser 2000 kilomètres de frontière, des 4X4 équipés de caméras à thermo-vision, des centaines de douaniers suspendus pour corruption ou contrebande… La Roumanie a beau avoir respecté le cahier des charges de Bruxelles et rempli tous les critères fixés pour rejoindre l’espace Schengen, les réticences demeurent. Et, comme les bulgares, les roumains n’ont toujours pas le droit de circuler librement en Europe. Alors, où ça coince…?

SUIE ET BROUILLARD de Baptiste FALLEVOZ
+ 60% de cancers des poumons en 10 ans, c’est le triste record dont peut se prévaloir Pékin. Et ce n’est pas la consommation de cigarettes, stable depuis une décennie, qui est en cause. Alors… A qui la faute ?

Le pouvoir refuse de l’admettre, mais l’air est méchamment vicié dans la capitale chinoise. Pour ne pas dire toxique. Les autorités le savent, les pékinois respirent chaque jour du poison, mais la croissance économique vaut bien un risque sanitaire et un gros désastre écologique.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook > c’est par ici !

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« MES PARENTS SONT HOMOS », un doc d’Andréa Rawlins-Gaston, le 28/02 à 22H35 sur Canal+

Aujourd’hui en France, selon les associations, 100 à 300 000 enfants auraient au moins un parent homosexuel.

Ceux que nous avons rencontrés ont entre 3 et 45 ans. Ils sont nés d’une précédente union hétérosexuelle ou ils ont été adoptés. Parfois, leurs parents les ont conçus grâce à un don de sperme anonyme ou par mère porteuse. Ils vivent en ville, en banlieue ou à la campagne et leurs parents sont prof, steward ou militaire.

Enfants, ados, adultes, ils ont accepté de répondre sans faux-semblant aux questions qui font débat aujourd’hui : Les enfants d’homos souffrent-ils dans leur évolution de l’absence volontaire d’une mère ou d’un père ? Quand ils ont été conçus par un couple hétérosexuel, comment vivent-ils le coming out tardif d’un de leurs parents? Comment font-ils face au regard que porte sur eux la société, l’école, les copains ? Comment racontent-ils leur famille ? Comment se construit leur identité sexuelle et leur sexualité ? Quels hommes et quelles femmes deviennent-ils à l’âge adulte?

A l’aube des élections présidentielles de 2012 dont l’enjeu principal pour ces familles homoparentales est d’être enfin reconnues et traitées légalement comme les autres, plongée dans l’intimité de ces enfants élevés par des parents gays et lesbiens.

« Mes parents sont homos »
Un documentaire écrit et réalisé par Andréa Rawlins-Gaston – 62′
Diffusion le 28/02 à 22h35 dans le cadre de la NUIT GAY de Canal+

Collection Enquêtes Criminelles : « Affaire Maillant: les meilleurs ennemis », un doc de Dimitri Grimblat diffusé mercredi 8 février à 20h35 sur W9

Nous sommes en août 1991, au bois de la Souche, près d’Epinal dans les Vosges.

Alors qu’il promène son chien, un gendarme découvre le corps d’une jeune femme derrière un arbre. Après analyses les gendarmes découvrent qu’il s’agit de Valérie Bechtel, une jeune femme de 19 ans habitant chez ses parents à Thaon les Vosges. Les analyses révèlent également que la jeune victime est morte par strangulation.

Rapidement, Yann Bello, l’ex-petit copain de la victime va se confier. Il accuse du meurtre son meilleur ami, et lui aussi ex-petit copain de Valérie Bechtel, Raphaël Maillant. Il explique qu’ils se sont rendus le soir du meurtre chez Valérie pour tenter de voler le magnétoscope de ses parents mais que tout aurait dérapé…

En 1997, sur les seuls aveux de Bello les deux hommes se retrouvent aux assises d’Epinal. Ce sera donc parole contre parole. Au terme des débats, Raphaël Maillant, reconnu coupable du meurtre de Valérie Bechtel, est condamné à 17 ans de prison. Yann Bello, quant à lui, est condamné à deux ans pour vol de magnétoscope, et recel de cadavre.
Pourtant vingt ans après la mort de Valérie, l’affaire va peut-être rebondir…

Collection Enquêtes Criminelles Affaire Maillant : Les meilleurs ennemis
un documentaire de Dimitri Grimblat
Produit par CAPA Presse