« UN ETE EN FRANCE : du Sud-Ouest à l’Ardèche » le 26/08 à 20h35 sur France 3

Chaque été, pendant les mois de juillet et d’août, la France change. Les grandes villes se vident, les grands axes routiers vivent au rythme des migrations et les sites emblématiques du tourisme estival se remplissent. Les côtes, les terroirs et les massifs montagneux de notre pays grouillent soudain de millions d’estivants venus découvrir les richesses de la toute première destination touristique du monde.

Nous verrons comment des petits villages de montagne se préparent à accueillir les visiteurs et comment des stations balnéaires, presque vides l’hiver, se transforment en véritables ruches au moment de la ruée vers la mer. Car « Un été en France », ce sont aussi des professionnels du tourisme qui font le maximum pour profiter au mieux de la saison : guides nature, restaurateurs, directeurs de campings ou propriétaires de maisons d’hôtes… Ce sont des hommes et des femmes qui se mobilisent pour veiller à la sécurité des estivants, gendarmes, sauveteurs en mer ou maître-nageurs… Sous le soleil, au gré des aléas des vacances, la France devient alors un formidable vivier pour des histoires singulières et des portraits croisés.

Ainsi, sur la Côté Basque, nous suivrons les vacances de Michel. A 70 ans, cet ancien pompier a choisi d’emmener ses deux petits enfants dans un Surf Camp de Biarritz. Et lui aussi compte bien dompter les vagues de la région ! Nous suivrons également les premiers pas de Charlotte,19 ans, qui attaque sa première saison de Maître Nageur Sauveteur sur la plage de Seignosse, dans les Landes, mais aussi le rythme infernal de Pierre, saisonnier dans un bar branché tenu par un champion de surf !

En Ardèche, Michel ouvre une chambre d’hôte dans une ancienne ferme de la région qu’il a entièrement retapée. Il espère faire le plein pour sa toute première saison… La famille Cosson, elle, a opté pour des vacances camping et nature. Sébastien, attaque sa vingtième saison à l’accueil d’un des nombreux clubs de canoë, qui reste l’activité principale de la région. Tarik Mezri Charmasson profite quant à lui de cet été, pour réaliser un rêve : rouvrir le restaurant « l’Auberge des granges » créé autrefois par son grand-père et fermé depuis 20 ans. Enfin, Michel, Marc, Annie et Bernard, originaires d’Alsace, ont décidé de se lancer dans une randonnée en VTT dans le Parc Naturel des Monts d’Ardèche… 4 jours très physiques…

Réalisé par : Leni Mérat, Maud Gangler et Olivier Corre

« UN ETE EN FRANCE : La Côte d’Azur et les Alpes » ce soir à 20h35 sur France 3

Chaque été, pendant les mois de juillet et d’août, la France change. Les grandes villes se vident et les sites emblématiques du tourisme estival se remplissent.

Les côtes, les terroirs et les massifs montagneux de notre pays fourmillent soudain de millions d’estivants venus découvrir les richesses de la toute première destination touristique du monde.

Nous verrons comment des petits villages de montagne se préparent à accueillir les visiteurs et comment des stations balnéaires, presque vides l’hiver, se transforment en ruches au moment de la ruée vers la mer.

Car « Un été en France », ce sont aussi des professionnels du tourisme qui font le maximum pour profiter au mieux de la saison : guides nature, restaurateurs, directeurs de campings ou propriétaires de maisons d’hôtes…

Ce sont des hommes et des femmes qui se mobilisent pour veiller à la sécurité des estivants, gendarmes, sauveteurs en mer ou maître-nageurs… Sous le soleil, la France devient alors un formidable vivier pour des histoires singulières.

un film de Sarah LEBAS, Vincent DUPOUY et Hélène GAUTIER

« Trésors de l’Adriatique », un documentaire de Cyril Denvers et Frédéric Convert, le 12/08 à 20h35, sur France 3

Les plus belles richesses du bassin méditerranéen bordent les eaux claires de la Mer Adriatique.

Amoureux du nautisme et des plages, des hôtels les pieds dans l’eau et du patrimoine, ils sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à passer leurs vacances tout au long de ses 8OOO kilomètres de côtes.

En Croatie, au large de Dubrovnik, un français prépare des circuits de découverte dans un exceptionnel paysage minéral, l’archipel des Kornati. Longtemps le plus sauvage et le plus méconnu de la Dalmatie, ce parc national s’ouvre progressivement aux visiteurs. Un éco système fragile jalousement protégé par des gardes amoureux de ces 147 îlots .

Indépendant depuis 2OO6, le Monténégro parie lui aussi sur le tourisme pour se développer. A Sveti Stefan, un palace unique au monde vient d’être totalement restauré. Sur cette ancienne île de pêcheurs, chaque maison abrite des suites et les ruelles y sont le couloir de l’hôtel. Une nouvelle histoire commence pour ce lieu hors du commun où se croisaient stars et membres des familles royales dans les années 60.

Près des magnifiques Bouches de Kotor, un couple de parisiens d’origine yougoslave a changé de vie et gère un hôtel de charme au fond d’une baie paradisiaque. Au cœur des montagnes abruptes, Natacha et Mirko sillonnent le pays pour dénicher les plus beaux sites à faire découvrir à leurs clients, comme l’immense lac Skadar et sa réserve de pélicans.

Au cœur des champs d’oliviers du sud de l’Italie, au cœur de la région des Pouilles, Lecce dévoile ses joyaux baroques. Fleuron du tourisme culturel, celle que l’on surnomme « la petite Florence » dévoile à ses milliers de visiteurs des monuments recouverts de pierre blonde. Directeur du musée des arts et de la culture, Antonio Cassiano se bat pour protéger et faire découvrir les merveilles de sa ville. Truculent et amoureux des fameuses glaces à l’italienne, il n’a pas son pareil pour pousser les portes des palais des plus vieilles familles de cette cité aux mille secrets.

« Trésors de l’Adriatique », un voyage entre Italie, Croatie et Monténégro, diffusion le 12/08 à 20h35, sur France 3

« UN ETE EN FRANCE : La Côte d’Azur et les Alpes » le 19/08 à 20h35 sur France 3

Chaque été, pendant les mois de juillet et d’août, la France change. Les grandes villes se vident et les sites emblématiques du tourisme estival se remplissent.

Les côtes, les terroirs et les massifs montagneux de notre pays fourmillent soudain de millions d’estivants venus découvrir les richesses de la toute première destination touristique du monde.

Nous verrons comment des petits villages de montagne se préparent à accueillir les visiteurs et comment des stations balnéaires, presque vides l’hiver, se transforment en ruches au moment de la ruée vers la mer.

Car « Un été en France », ce sont aussi des professionnels du tourisme qui font le maximum pour profiter au mieux de la saison : guides nature, restaurateurs, directeurs de campings ou propriétaires de maisons d’hôtes…

Ce sont des hommes et des femmes qui se mobilisent pour veiller à la sécurité des estivants, gendarmes, sauveteurs en mer ou maître-nageurs… Sous le soleil, la France devient alors un formidable vivier pour des histoires singulières.

Ainsi, nous suivrons les vacances de Juliette 93 ans, qui vient dans son camping de Pampelonne depuis un demi-siècle, avec chaque fois le même engouement… Aymeric, lui, choisit des vacances citoyennes, en offrant son temps à la réhabilitation d’un site classé… Stefano, professionnel de la nuit fait tout ce qu’il peut pour que son cabaret sur la plage devienne un haut lieu des nuits tropéziennes, pendant que Jean-Marc Rossi, chef à domicile, tente de séduire une clientèle de milliardaires pour s’assurer une bonne saison..

Dans les Alpes, trois étudiants en médecine Mathieu, Laure et Louis, ont décidé de se lancer un incroyable défi personnel : faire l’ascension du Mont-Blanc. Nono, lui, préfère le cyclotourisme et il s’essaye à une étape mythique du Tour de France… De son côté, Claire, réalise un rêve, en décrochant un job de saisonnière au refuge de la dent Parrachée… Enfin, pour veiller à la sécurité des milliers de randonneurs et alpinistes qui sillonnent les sentiers et les parois des Alpes, le peloton de Gendarmerie de Haute Montagne est sur le qui vive, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24…

Côte d’azur : un film de Sarah LEBAS et Vincent DUPOUY
Alpes : Un film d’Hélène GAUTIER

« Carnet de voyage au Rwanda : sur les traces des gorilles des montagnes », un reportage de Barbara Conforti pour Envoyé Spécial, le 14/07 à 20h35 sur France 2

Seize ans après un génocide qui a provoqué la mort de plus d’un million de personnes, le Rwanda, le pays aux mille collines, s’ouvre au tourisme. Attirés par ses célèbres gorilles au dos argenté, qui sont désormais protégés dans le parc des Volcans, 20 000 visiteurs sont venus ici l’an dernier. Beaucoup d’Américains et d’Anglais, mais aussi de plus en plus de Français.

Ces gorilles ont longtemps été menacés d’extinction, mais le combat de plusieurs ONG, dont celui de la célèbre primatologue Dian Fossey, a fini par porter ses fruits. La population des gorilles a augmenté de 28% ces dix dernières années. Les scientifiques comptent maintenant près de 400 gorilles dans le massif des Virungas qui s’étend du Rwanda à la République Démocratique du Congo et à l’Ouganda, dans une forêt tropicale très dense, située à une altitude de 2000 à 4000 mètres.

Ces primates attirent les touristes et permettent donc de faire rentrer dans les caisses de l’état des devises étrangères. Par ricochet, ils contribuent ainsi à assurer la paix et la prospérité des communautés rurales.

La pionnière de la défense des gorilles des montagnes, la primatologue américaine Dian Fossey, a été assassinée en 1985 – son combat gênait alors les braconniers et bien peu de Rwandais à l’époque se préoccupaient du sort des gorilles. Mais aujourd’hui, l’animal est devenu un emblême national, une fierté que l’on défend et revendique.

La Fondation de Dian Fossey existe toujours, et elle est plus active que jamais dans l’étude du comportement des gorilles, des primates qui sont aussi les plus proches cousins de l’Homme.

CARNET DE VOYAGE AU RWANDA : SUR LES TRACES DES GORILLES DES MONTAGNES Un reportage de 26′ de Barbara Conforti

« Carnets de voyage : les vacances à Tchernobyl », un reportage de Marion Gay le 14/07 à 20h35 dans Envoyé spécial sur France 2

Depuis le 1er janvier 2011, le gouvernement ukrainien a décidé d’ouvrir au tourisme la zone d’exclusion de trente kilomètres qui ceinture depuis 25 ans le réacteur n°4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Pour 160 euros par personne, le tour comprend le transport en bus de Kiev à Tchernobyl, le passage du checkpoint de la zone d’exclusion, la visite guidée du site, avec approche à 300 mètres du réacteur lui-même, et le retour par la ville de Pripiat, cité vidée de ses 50 000 habitants en deux jours après l’explosion de 1986.

Des milliers de touristes sont déjà inscrits pour la visite. D’un côté, les autorités ukrainiennes garantissent qu’il n’y a aucun danger pour la santé : l’exposition aux radiations ne serait pas plus élevée, sur l’ensemble de la visite, que celle reçue lors d’une radio des poumons.

Mais de l’autre côté, le document signé à l’entrée de la zone prévient les touristes : ils seront les seuls responsables de éventuels problèmes médicaux qui pourraient survenir après la visite.

La visite n’est pas anodine : dosimètre en main, chacun peut mesurer en temps réel la dose d’irradiation que son corps reçoit. On découvre aussi que plus de 3000 personnes vivent et travaillent encore dans la zone d’exclusion, alternant tous les 15 jours avec des périodes hors-zone, pour permettre à leurs organismes de tenir le choc.

Lorsque l’on sait que la chape de béton qui recouvre le réacteur depuis 25 ans est fissurée, ce qui impose la construction d’un nouveau sarcophage d’ici 2015, on est en droit de se poser la question : cette visite touristique est-elle vraiment sans danger ?

Et, au-delà du danger, quel sens y a-t-il à livrer au tourisme de masse le lieu de la plus grande catastrophe nucléaire du XXème siècle, qui aurait fait officiellement plus d’un million de victimes ? Et qui sont les touristes qui embarquent pour ce voyage un peu particulier ?

« Les nouveaux explorateurs », un reportage de Laurent Dy et Grégoire Roudier, le 7/07 à 20h35 dans Envoyé spécial sur France 2

Visiter un hôpital abandonné, pour son architecture art déco, explorer un ancien couvent fermé depuis dix ans, ou passer la nuit du réveillon sur le toit d’une cathédrale… ce sont quelques exemples de ce qu’on appelle l’exploration urbaine – les connaisseurs disent d’Urbex. Une pratique qui est en train de considérablement se développer.

Il s’agit de visiter des espaces situés en dehors des zones d’activité et de passage. Le principe : entrer, explorer, et ressortir sans se faire voir. Et sans dégradations.

Ce qui était un mode de vie underground il y a peu, est en train de sortir de la clandestinité et de devenir un mode de tourisme différent, qui ouvre de nouveaux horizons.

Nous avons filmé deux pionnniers de l’exploration urbaine, Seth et Sentinel, des références même, dans le milieu. La trentaine, ils ont a leur actif des dizaines de sites visités. Leur motivation ? Trouver des traces de l’ancienne vie des bâtiments, repérer les signes de l’activité passée, comme dans ce vieil hôpital désaffecté où ils sont parvenus jusqu’aux salles d’opération, où une partie du mobilier était encore là.

Dans Envoyé Spécial : « Les Nouveaux Explorateurs » Reporter : Laurent Dy JRI : Grégoire Roudier

LE MONDE EN MARCHE « Italie : Le Cavaliere désarçonné » présenté par Hervé Chabalier, c’est dimanche 19 juin à 20h35 sur France 5

Pour ce cinquième numéro, direction l’Italie avec le documentaire de 52 minutes intitulé « Italie : Le Cavaliere désarçonné »

Lundi 30 mai 2011, Silvio Berlusconi a essuyé une sévère défaite sur ses propres terres à Milan. Le Cavaliere, fortement affaibli, résistera-t-il au cyclone politique qui semble balayer l’Italie ?

La défaite du président du conseil, que certains journalistes qualifient d’humiliation profonde, est en tout cas le signe d’une véritable transformation d’une partie de la société italienne, qui fait aujourd’hui le triste bilan du “berlusconisme” et prépare déjà l’après Silvio !

Au sommaire de l’effet papillon du 18 juin 2011

Ils veulent un monde sans état mais pas sans gouvernement, sans impôts, sans retraites, sans sécurité sociale, sans écoles ou presque, un monde où l’on pourrait se balader seins nus, fumer du hash et conduire sans ceinture… un monde fondé sur la liberté individuelle, libre de toute contrainte, comme au temps du Far West. Ce monde, il existe, c’est celui des libertariens, qui réunit aux Etats-Unis sous la même bannière, des fumeurs de joints et des membres des Tea Party. Leur credo : vivre libre et mourir, une variante du 68tard « interdit d’interdire ». A MORT L’ETAT, c’est un sujet de Bruno GEX.

Dans un pays où le blasphème est encore passible de prison, se prononcer « pour » le divorce tient presque du miracle. Pourtant, 53% des électeurs maltais n’ont pas hésité à braver les anathèmes de leurs curés et à dire « oui »… Un pas de géant, dans cette petite île, au sud de la Sicile. Catho’, tendance réac’. OUI, JE LE VEUX, c’est un sujet de Cécilia HUE.

Nom : BODANOV. Prénom : Youri. Profession : ancien colonel russe dégradé et condamné pour l’assassinat d’une jeune Tchétchène pendant la guerre. Situation : exécuté il y a une semaine de 4 balles dans la tête, 2 ans après une libération anticipée. Ce pourrait être, très succinctement, la nécro’ de ce haut gradé, symbole pour les uns de la barbarie russe en Tchétchénie, emblème pour les autres de l’officier héroïque qui s’est battu pour nettoyer le Caucase de ses terroristes. MEURTRIER & MARTYR, c’est un sujet de Nicolas TONEV.

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Au sommaire de l’effet papillon du 11 juin 2011

En Italie, inutile d’être férue de politique pour en faire. Il suffit d’être une bombe anatomique, et de croiser la route de Silvio BERLUSCONI, Papounet pour les intimes. Le président du conseil italien a beaucoup œuvré pour la misogynie en Italie. Depuis 25 ans, ses chaînes de télévision réduisent les femmes à un élément de décor, un objet sexuel, décérébré et en sous-vêtement, juste bon à empêcher les téléspectateurs de zapper. Ces potiches, aussi appelées Vélines, font rêver les moins de 20 ans, prêtes à tout pour devenir l’une d’entre-elles. CV, BONNET D, c’est un sujet de Hugo VAN OFFEL .

Pour des milliers d’Ethiopiens, le rêve israélien est désormais à portée de kippa. L’état hébreu a décidé de les accueillir… à condition qu’ils se convertissent. Christianisés de force au 19ème, les falashas muras se plongent désormais dans la Torah, avec l’avidité de ceux qui ont faim. Et sont prêts à prier plus, pour gagner plus. Mais, pas sûr que la terre promise soit, pour eux, un pays de cocagne. TORAH… TON PASSEPORT, c’est un sujet de Thomas ZRIBI.

Le microcrédit est-il toujours un modèle viable pour lutter contre la pauvreté ? Pas sûr, disent certains après l’éviction très médiatisée du fondateur de la Grameen Bank. Le prix Nobel de la paix s’est vu traité de « sangsue » par le premier ministre bengladais, qui l’a accusé de s’enrichir sur le dos des pauvres. Tollé immédiat. Mohammed YUNUS se défend, et affirme être victime d’une campagne de dénigrement, pilotée au sommet de l’état. MICROCREDIT ET MEGASCANDALE, c’est un sujet d’Emmanuelle RUAULT, Vikram SINGH et Pia Sen CHAWDHARY.

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