ENQUÊTES CRIMINELLES : « Le mystère du triple meurtre de l’Esteron », un documentaire de Jean-Marie Barrère, le 13/06 à 20h40 sur W9

18 mars 1999, dans la vallée de l’Esteron, un homme découvre des sacs poubelles contenant des restes humains. Trois corps, dont celui d’une femme, auxquels manquent les mains et les têtes.

Visiblement, le ou les meurtriers a voulu empêcher l’identification… Pourtant, quelques jours plus tard, grâce à la médiatisation de l’affaire, le premier corps est identifié. C’est celui de Jean-Pierre Calligaris.

Connu pour des affaires de stupéfiants en région parisienne, le Corse s’était mis au vert depuis peu, vers Antibes. En remontant cette piste, on découvre l’identité des deux autres corps : il s’agit de Francis Ben Mokthar, truand réputé de la Côte-d’Azur, et de sa compagne italienne Teresa Conte.

Ben Mokthar vivait caché, sous une fausse identité, mais tout le monde savait qu’il se promenait régulièrement avec une glacière contenant jusqu’à 750 000 euros !
S’agit-il d’un règlement de compte mafieux ? Ou simplement d’un crime dont le mobile serait l’argent ?

Rapidement, un premier suspect émerge, il s’agit de Michel Pinneteau, un honnête fromager sexagénaire de Juan Les Pins… Il serait le dernier à avoir vu les victimes vivantes mais quel est son lien avec l’affaire ?

COLLECTION  »ENQUETES CRIMINELLES » LE MYSTERE DU TRIPLE MEURTRE DE L’ESTERON

Documentaire – 52′
Réalisé par Jean-Marie Barrère
Produit par Capa Presse

LE MONDE EN MARCHE « Italie : Le Cavaliere désarçonné » présenté par Hervé Chabalier, 19 juin à 20h35 sur France 5

Suite aux résultats des élections municipales en Italie, l’émission « Le Monde en marche » consacrée à L’Italie et diffusée le 19 juin à 20h35 sur France 5 réactualise son sommaire :

– Hervé Chabalier modifiera le commentaire du documentaire de 52 minutes « Italie : Le Cavaliere désarçonné » en fonction des derniers évènements.
– Le sujet « Ligue du nord : Qui sont ces xénophobes italiens ?» tourné actuellement en Italie fera réagir ses interlocuteurs à l’actualité.

Pour ce cinquième numéro, direction l’Italie avec le documentaire de 52 minutes intitulé « Italie : Le Cavaliere désarçonné »

Lundi 30 mai 2011, Silvio Berlusconi a essuyé une sévère défaite sur ses propres terres à Milan. Le Cavaliere, fortement affaibli, résistera-t-il au cyclone politique qui semble balayer l’Italie ? La défaite du président du conseil, que certains journalistes qualifient d’humiliation profonde, est en tout cas le signe d’une véritable transformation d’une partie de la société italienne, qui fait aujourd’hui le triste bilan du “berlusconisme” et prépare déjà l’après Silvio !

Une jeune génération de diplômés qui ne trouve pas de travail, des journalistes qui peinent à obtenir un espace de liberté, des italiennes qui se battent pour redonner un peu de dignité à l’image la femme, une magistrature qualifiée de « métastase de la société » par le premier ministre…ici et là, de plus en plus d’italiens expriment leur raz le bol et crient « basta silvio » !

Hervé Chabalier est allé à la rencontre de ces italiens, qui s’indignent et veulent changer le pays. Voyage au cœur de cette « autre Italie ». Plus généreuse, plus dynamique, plus solidaire. Une Italie qui se débrouille là où l’état semble abandonner tous les siens. Une Italie, moins xénophobe que la ligue du Nord alliée au gouvernement et plus « morale » que les soirées « Bunga Bunga ».

Parmi les personnalités interviewées, le cinéaste Nanni Moretti, l’économiste Tito Boeri, la syndicaliste Susanna Camusso, l’ancien procureur anti-mafia Rafaelle Cantone, le jeune Maire de Florence Matteo Renzi, qui pourrait selon certains, incarner le nouvel espoir de la gauche italienne….

Au sommaire également du « Monde en Marche » :

Reportage : « Ligue du nord : Qui sont ces xénophobes italiens ? »
Le parti populiste et anti-immigré de la Ligue du Nord avec lequel Silvio Berlusconi a conclu un pacte de fer en 2008 en le laissant entrer au gouvernement tient aujourd’hui le destin du Président du Conseil plus que jamais affaibli par les dernières élections municipales, entre ses mains. Barbara Conforti, journaliste de l’agence Capa, est allée sur les terres des « léguistes », pour découvrir les aspirations de ces italiens xénophobes qui vont parfois jusqu’à organiser des «rondes» nocturnes contre l’insécurité dans leur village, et qui réclament l’indépendance pour les riches provinces du nord de l’Italie.

Rencontre avec le photographe italien Simone Donati.
Simone Donati a suivi pendant plus d’une année le Cavaliere lors de ses meetings. Non pas pour photographier le président du conseil, mais pour immortaliser les visages de ses supporters, telles les groupies face à leur rock star, afin de mieux comprendre ce lien particulier qui unit Silvio Berlusconi et ses compatriotes.

« Mondovision » : Edito tout en images signé Guyonne de Montjou pour comprendre comment la planète a tourné ces deux derniers mois

LE MONDE EN MARCHE « Italie : Le Cavaliere désarçonné »
Dimanche 19 juin 2011 à 20h35

Présenté par HERVE CHABALIER
Une production : CAPA avec la participation de France Télévisions Format : 90’

« Les désillusions du divorce rapide », un reportage d’Andrea Rawlins, le 16/06 à 20h35 dans Envoyé Spécial sur France 2

Divorcer sans douleur, vite et pas cher, c’est ce que promettait la loi de 2004 réformant le divorce par consentement mutuel.

Trois mois de procédure au lieu de neuf, des démarches administratives simplifiées et un seul passage devant le juge au lieu de deux auparavant… Un divorce plébiscité aujourd’hui par 53% des couples qui divorcent.

Six ans après sa mise en pratique, le divorce rapide est devenu un marché. On peut même divorcer en quelques clics sur internet. Un divorce rapide en phase avec son époque, mais qui peut cacher aussi quelques pièges. Enquête sur les désillusions du divorce express.

Plus d’infos sur le site d’Envoyé Spécial sur France 2

« C’est l’histoire d’un mec… » c’est dans l’émission C’EST NOTRE HISTOIRE – COLUCHE, le 12/06 à 20h35 sur France 5

Installés au Café de la Gare à Paris, Marie Drucker et Fabrice d’Almeida reviennent, dans ce troisième opus de C’est notre histoire, sur les années Coluche. Au programme&: un débat avec les invités présents sur le plateau, des images d’archives et de nombreuses contributions d’internautes pour se remémorer l’homme et l’artiste.

Vingt-cinq ans après son décès brutal sur une route de campagne, Michel Colucci, alias Coluche, demeure l’une des personnalités préférées des Français. Pourquoi est-il toujours aussi populaire ? En quoi et comment a-t-il marqué son époque ? C’est à ces questions et à bien d’autres que tentent de répondre les invités de Marie Drucker et Fabrice d’Almeida. Tournée pour l’occasion au Café de la Gare, scène mythique s’il en est, que Coluche a créé et où il a fait ses premiers pas de comédien en compagnie de Romain Bouteille, Miou-Miou ou Patrick Dewaere, l’émission entend offrir une autre histoire… d’un mec, et montrer ses différentes facettes.

Du comique provocateur des années 1970 au citoyen révolté candidat à l’élection présidentielle de 1981, en passant par le fondateur généreux des Restaurants du Cœur, ce magazine propose de découvrir l’homme et l’empreinte qu’il a laissée sur la société française. Des extraits de sketchs, d’interviews de l’humoriste ainsi que du documentaire de Richard Puech Coluche, l’ami public numéro 1 alimentent le débat. Et comme précédemment dans ce magazine d’histoire contributif, les internautes sont conviés à partager leurs souvenirs. Par des anecdotes, avec des archives personnelles ou même en chanson.

Coluche vu par…
• Josiane Balasko, comédienne et réalisatrice : « Michel était un artiste, un baladin. Il était là pour foutre la merde, c’est encore plus important que les Restos du Cœur. Il n’y a plus de gens qui foutent la merde, tout le monde est consensuel maintenant. »
• Didier Lavergne, maquilleur et ami de Coluche : « Il parle comme nous, comme tout le monde. C’est ce qui fait sa popularité. »
• Wolinski, dessinateur de BD : « Dans ses sketchs, il y a toujours le souci de l’humain, mais il ne le faisait pas exprès, il était comme ça. »
• Pierre Bouteiller, journaliste radio : « Il comblait un vide, le vide d’une parole totalement libérée du type qui n’en a rien à foutre au sens propre du terme et qui, sous couvert de dire des horreurs, faisait passer un vrai message politique de liberté. »
• Jean-Jacques Goldman, auteur-compositeur-interprète : « Quand on lui parle de la faim ou de la solitude, pour lui ce ne sont pas que des chiffres, ce sont des réalités. Lui, il a appris tout ça sur les trottoirs de Montrouge. »

Les invités de l’émission
Stéphane Guillon, Christophe Alévêque et Claudia Tagbo (humoristes) ; Pierre Lescure et Pierre Bénichou (journalistes) ; Claire Nadeau, comédienne ; Gérard Colé, ancien conseiller de François Mitterrand ; Olivier Berthe, actuel président des Restos du Cœur.

C’EST NOTRE HISTOIRE
Magazine
Durée 100’
Présentation Marie Drucker, avec Fabrice d’Almeida
Réalisation David Montagne
Production Capa

Au sommaire de l’effet papillon du 4 juin 2011

Avec au menu, la dernière recette de la mafia italienne pour escroquer les assurances : la salade napolitaine ! Prenez des citoyens ordinaires en difficultés financières… Arrosez-les de quelques centaines, voire de milliers d’euros selon l’infraction… Saupoudrez leurs témoignages de gros mensonges… Et servez le tout à des juges qui n’y voient que du feu… Un business facile, pas cher et qui peut rapporter gros, voire couler une compagnie d’assurance… Mais celui qui boit la tasse in fine c’est l’assuré, obligé de payer des primes de plus en plus élevées. LE BUSINESS DU MENSONGE, c’est un sujet d’Olivier PONTHUS avec Catherine CORNET.

En Egypte, l’Islam radical a désormais pignon sur rue. C’est même l’un des contre coups du printemps arabe. Muselés sous Moubarak, les extrémistes salafistes, adeptes d’un Coran pur et dur, sont sortis du bois. Et font même preuve ces jours-ci d’un activisme inédit. Leur cible : les législatives de septembre. Mais aussi les coptes, et tous ceux qui ne pensent pas que l’Islam rime avec Charia. QUAND LES SALAFISTES SORTENT DE L’ISOLOIR, c’est un sujet de Cyprien d’HAESE.

Alcool, drogue, violence et suicide record : les Aborigènes cumulent les maux. Le gouvernement a donc décidé de prendre leur destin en main, après une série d’abus sexuels sur mineurs dans les communautés des Territoires du Nord. Une mise sous tutelle draconienne et unique au monde… que certains jugent discriminatoires… mais qui, par dessus tout, est loin de faire ses preuves. LOURD TRIBUT, c’est un sujet de Renaud VILLAIN avec Olivier CRESTA et Caroline LAFARGUE.

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Au sommaire de l’effet papillon du 28 mai 2011

Tiger WOODS, Michael DOUGLAS, David DUCHOVNY ou encore Bill CLINTON ont au moins un point commun : ils sont « clean ». Comprenez, ils ont soigné leur dépendance… au sexe. Des accrocs à la fesse, il y en a toujours eu, mais aujourd’hui, la nouveauté, c’est que ça se soigne. Du moins, aux Etats-Unis, où les cures de désintox’ pour drogués de la libido pullulent. Un sevrage pas à la portée de tous, 60.000 dollars en moyenne, et pas forcément très orthodoxe. La désintox flirte souvent avec l’intox, mais qu’importe, c’est so chic, l’abstinence ! RETIENS-MOI OU JE FAIS UN MALHEUR, c’est un sujet de Caroline du Saint.

En Russie, tout est bon à boire, du liquide de frein à l’antigel, en passant par l’Eau de Cologne, le dissolvant ou la gnôle frelatée. Ne parlons pas de la vodka, la boisson préférée des russes, dont les ventes ont grimpé avec la crise. Aux pays des Soviets, l’alcool est devenu l’ennemi publique n°1, celui qui déstabilise l’économie et qui décime la population… En 2011, on meurt autant en Russie qu’au Soudan ou au Bengladesh. Et les hommes ne vivent pas plus vieux. 63 ans, en moyenne. Pour dégriser le pays, le Kremlin a intensifié sa lutte contre l’alcoolisme. Sans succès, pour l’instant. VODKA POUR MISE EN BIERE, c’est un sujet de Nicolas TONEV

Les Tibétains n’ont plus un, mais deux chefs. Le Dalaï-Lama, 76 ans, a décidé de céder le pouvoir politique pour ne conserver que son rôle spirituel. Son successeur ? Un juriste de 43 ans, professeur à Harvard, qui pour l’anecdote n’a jamais mis les pieds au Tibet, mais qui se présente comme le « Barack OBAMA local». Son nom : Lobsang SANGAY. C’est lui qui va désormais diriger le gouvernement tibétain, en exil. Qui est-il ? D’où vient-il ? Et où va-t-il ? UN JURISTE SUR LE TOIT DU MONDE,  c’est un sujet de BRUNO GEX, avec Thinley PHURBU.

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« Jeunes, seules, sans travail et déjà mères », un film d’Andrea Rawlins, le 29/05 à 22h55 sur France 3

En France, il y aurait aujourd’hui plus d’1 million de mères isolées. De plus en plus précarisées, souvent très jeunes, celles que nous avons rencontrées s’appellent Noémie, Séverine et Aurélie.

Elles ont entre 19 et 24 ans. Toutes étaient mineures ou à peine sorties de l’adolescence quand elles sont devenues mères pour la première fois. Sans travail, sans famille et sans conjoint, c’est seules et dans la plus grande précarité qu’elles élèvent leurs enfants.

Nous les avons suivies pendant neuf mois dans leurs galères et dans leur difficile apprentissage de la maternité. Parfois démissionnaires ou brutales envers leurs enfants, certaines acceptent de se faire aider pour devenir des mères responsables et autonomes. D’autres, trop seules et trop fragiles fuient les services sociaux de peur de se faire retirer leur enfant.

Mi-femmes, mi-enfants, ces jeunes mamans n’ont pourtant qu’un souhait : passer du monde de la survie à celui de la vie et devenir des mères comme les autres.

JEUNES, SEULES, SANS TRAVAIL ET DÉJÀ MÈRES
Un film d’Andrea Rawlins-Gaston
Durée 110’ / Produit par Capa

« Déni de grossesse : ces bébés clandestins », un documentaire réalisé par Andrea Rawlins-Gaston, le 05/06 à 22h55 sur France 3

Le déni de grossesse est le fait pour une femme d’être enceinte sans en être consciente.

D’après l’Association Française pour la Reconnaissance du déni de grossesse, en France, il y aurait 2 à 3 dénis de grossesse pour 1000 naissances, soit de 800 à 2400 dénis de grossesse par an.

Mais qui sait exactement ce qui se passe dans le corps et dans la tête de ces femmes aux grossesses clandestines ?

Depuis l’affaire dite des bébés congelés et les nombreux faits-divers qui ont par la suite défrayé la chronique, beaucoup d’amalgames et de confusions existent encore. Nombreux sont ceux qui pensent toujours que le déni de grossesse est une grossesse dissimulée volontairement. D’autres font un parallèle systématique entre déni de grossesse et néonaticide. Or, dans 95% des cas, les dénis de grossesse ne se terminent pas par la mort du nourrisson.

Comment une grossesse peut-elle demeurer invisible jusqu’à son terme ? Comment des femmes peuvent-elles ignorer, parfois jusqu’à leur accouchement, qu’elles sont enceintes ?

– Comment certaines de ces mères peuvent-elles aller jusqu’à commettre un néonaticide ?
– Quelles réponses la justice apporte-t-elle à ces femmes dont le nouveau-né est décédé suite à un déni de grossesse ?
– Comment la médecine prend-elle en charge ces femmes qui découvre tardivement leur grossesse ?
– Comment se crée le lien avec leur bébé surprise ?
– Comment les enfants du déni grandissent-ils ?

En donnant la parole à des femmes qui ont vécu un déni de grossesse, à des enfants nés d’un déni, mais aussi en interrogeant des psychologues, des psychiatres, des médecins, des avocats… ce film tente de répondre à ces questions.

Mais surtout, ce film essaye de rendre un visage humain à ces femmes qui, incomprises, vivent généralement dans la honte et l’isolement, alors qu’elles sont avant tout, les victimes d’un trouble psychique encore méconnu et donc tabou.

Au sommaire de l’effet papillon du 21 mai 2011

On pensait que le régime des colonels avait vacciné le peuple grec de l’extrême droite. Mais depuis, la crise est passée par là. Et en temps de crise, on a toujours besoin d’un bouc émissaire. Longtemps terre d’asile, la Grèce, débordée par la pression migratoire, a développé une très nette xénophobie. La preuve : la percée de l’extrême droite aux dernières élections, l’arrivée d’un néo-nazi au conseil municipal d’Athènes et plus grave encore, l’instauration de milices de quartier « anti-immigré » qui traquent les sans-papiers en toute illégalité… mais avec l’aval tacite des autorités ! RACISME DE RIGUEUR, c’est un sujet de Hugo Van Offel.

Aux Etats-Unis, les militants anti-IVG ne se sont jamais aussi bien portés. De plus en plus d’états remettent en cause le droit à l’avortement, ou tentent d’en restreindre l’accès. La tendance est telle que les conservateurs de l’UTAH sont allés jusqu’à proposer de condamner pour meurtre les femmes victimes de fausses couches ! Les Américains auraient-ils perdus la tête ? Une certitude : un fait-divers particulièrement odieux a littéralement dopé les idées des pro-life…LA CLINIQUE DE L’HORREUR, c’est un sujet d’Olivier Ponthus avec Etienne Truchot. Et ce n’est absolument pas pour tout public, alors éloignez vos enfants.

Escroc, séducteur, détrousseur de touristes, expert en poison et en manipulation, Charles SOBHRAJ, dit « le serpent », est tout ça à la fois. Et plus encore. Condamné à perpétuité au Népal, cet homme a une hantise : l’oubli ! A 67 ans, SOBHRAJ qui se dit victime d’un complot et en appelle aux Nations Unis, aurait tenté de s’évader pour la 10ème fois. SERPENT À SORNETTES, c’est un sujet de Christophe Barreyre.

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« Les toiles de l’Amérique » un film de Stéphane Carrel, diffusé sur Canal+ le 24/05 à 22h40

Après avoir exploré les salles de cinéma en Inde et découvert, loin de « Bollywood », une autre façon de faire des films, le réalisateur Stéphane Carrel a décidé de continuer son voyage, à travers « les Toiles du monde ». Cette fois il est parti vers l’autre continent du cinéma, celui qui n’a de cesse de réinventer le 7ème art : Les Etats-Unis. Le pays qui a inventé le multiplexe aseptisé et fait entrer pop-corns et boisson noire pétillante saturée de sucre dans les salles. Celui où les salles de cinéma sont les plus belles, les plus performantes, les plus grandes, les plus luxueuses, les plus… «avatariennes»…

Alors existe-t’il encore un autre moyen de voir des films là-bas, sans avoir la sensation d’être le cobaye d’un gigantesque centre commercial ?

Ce Road Movie inédit à travers « les Toiles de l’Amérique » nous emmène à New-York dans des salles de cinéma autrefois mythiques et aujourd’hui abandonnées. Au Texas, l’état le plus conservateur du pays, où les seize derniers Drive-in, qui représentent l’âge d’or du pays, résistent au temps. Au Nouveau-Mexique, dans une cave où une bande de jeunes déjantés fabriquent des films sur la fin du monde. En Arizona, où une jeune navajo de 14 ans porte désormais sur ses épaules tous les espoirs d’un courant cinématographique dont seul, jusqu’à présent, Robert Redford se préoccupait, le cinéma des « Natives ».

A Los Angeles, là où la superficialité « made in Hollywood » côtoie de véritables histoires authentiques et humaines. Comme celle d’un petit cinéma qui ne montre que des films muets et des comédies musicales ou celle d’un bus d’où sont projettés des films dans la rue.
Et enfin, le Kansas où se cache le plus gros trésor de Hollywood.

Ce voyage à travers les Etats-Unis dresse le portrait d’une Amérique comme on ne l’a jamais vu, comme on la soupçonne à peine. Un pays où il existe bien des histoires de cinéma à échelle humaine…