ENQUETES CRIMINELLES : « Meurtre de la banquière : Affaire Elodie Kulik », un film de Alexis De La Fontaine, le 22/05 à 20h50 sur W9

Vers minuit, le 11 janvier 2002, les pompiers de Péronne dans la Somme reçoivent un terrible appel au secours. Au bout du fil une jeune femme hurle qu’elle vient d’être enlevée. Plusieurs voix d’hommes derrière elles sont audibles, mais ses agresseurs lui arrachent son téléphone avant quelle ne puisse en dire plus…

Deux jours plus tard son corps est découvert calciné dans une décharge. C’est Elodie Kulik 23 ans, une jeune et jolie banquière de la région. Elle a été violée et étranglée. A côté de son corps les gendarmes découvrent un préservatif et un mégot.

Grâce à ces preuves l’ADN de l’un des agresseurs est identifié. Malheureusement il est inconnu des services de police… Impossible de mettre un nom dessus.

C’est le début d’une incroyable enquête qui va durer plus de dix ans. Les gendarmes ont peu de pistes. Sa famille et ses amis sont sous le choc, la jeune femme était appréciée de tous, on ne lui connaissait aucun ennemi.

Quelques heures avant le drame Élodie Kulik avait passé la soirée avec un ami au restaurant, elle avait bu un thé chez lui avant de rentrer chez elle en voiture. Son ami est mis hors de cause.

A-t-elle été suivie ? S’agit-il d’un crime de rôdeur ? A-t-elle été la proie d’un ou plusieurs prédateurs sexuels ?

L’une des pistes envisagées est celle du tueur en série Jean Paul Leconte, condamné pour deux meurtres de jeunes femmes dans la même région. Mais après vérification, l’homme est rayé de la liste des suspects. L’un des indices dont disposent les enquêteurs est le dernier appel passé par la jeune femme. L’analyse audio de cet appel permet d’affirmer que deux des hommes entendus sur l’enregistrement ont un fort accent picard. De toute évidence dans la région des gens connaissent le scénario du drame mais se taisent.

L’enquête semble dans une impasse quand en 2011 un incroyable rebondissement se produit. Pour la première fois, la justice utilise une nouvelle technique : la recherche d’ADN par parentèle. Le nom de Grégory Wiart sort. C’est bien son ADN qui a été retrouvé dans le préservatif sur la scène du crime !

Malheureusement pour l’enquête il est décédé quelques mois après le meurtre. Reste à démasquer ses complices. L’enquête sur l’entourage du jeune homme va finir par payer.

Quelques mois plus tard, Willy Bardon, un ami de Wiart est arrêté et mis en examen.

Sa voix a été reconnue par plusieurs de ses proches comme étant celle que l’on entend derrière les cris de terreurs d’Elodie Kulik dans son ultime appel à l’aide…

« HONDELATTE PART EN LIVE : Dans un centre éducatif fermé », un documentaire d’Anna Salzberg le 17/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion au centre éducatif fermé de Narbonne.

Les centres éducatifs fermés ont été créés par la loi Perben le 9 septembre 2002, pour accueillir les mineurs délinquants multirécidivistes âgés de 13 à 18 ans.

Ils devaient constituer une alternative à l’incarcération automatique de mineurs en prison.

C’est à Narbonne, l’un des 45 Centre Éducatifs Fermés (CEF) en France, que Christophe Hondelatte passe plusieurs jours dans cet univers quasi-carcéral.

Jour et nuit, 24 éducateurs encadrent 12 garçons. A 17 ans en moyenne, ils ont déjà commis de multiples vols, mais aussi braquages, agressions sexuelles, ou trafic de stupéfiants.

Grâce au directeur de l’établissement et aux éducateurs, Christophe Hondelatte vit le quotidien de ces gamins sans repère.

Éducation scolaire, sports, activités physiques mais aussi suivi des procédures judiciaires en cours, Christophe Hondelatte fait tomber le masque du journaliste pour tenter de les aider et de les encourager

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les médecins légistes », un documentaire de Jean-Marie Barrère le 10/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion à l’Institut médico-légal de Poitiers

C’est à Poitiers que Christophe Hondelatte part à la rencontre le Dr Michel Sapanet. Cet homme d’une cinquantaine d’années pourrait incarner l’un de ces personnages de séries TV dont le public raffole. Expert judiciaire, maître de conférences des universités, il est médecin légiste depuis vingt ans au CHU de Poitiers.

Aux côtés du praticien, Christophe Hondelatte enchaîne les autopsies. Aujourd’hui, il s’agit d’un sans-domicile-fixe présumé dont on a retrouvé le corps immergé dans un canal. Est-ce un suicide, un accident, un meurtre ? C’est au médecin légiste de le déterminer. Idem pour cet homme découvert chez lui, une balle dans la tête. L’arme a été retrouvée sur place. La gendarmerie attend avec impatience les conclusions du spécialiste.

Mais Christophe Hondelatte nous fera également découvrir les coulisses de cet institut-médico-légal avec des lieux aussi surprenants qu’inattendus. L’occasion pour le journaliste d’aller à la rencontre des agents de chambres mortuaires. Un univers singulier.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les sauveteurs en mer », un documentaire de Sylvain Pierron le 03/05 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte avec les sauveteurs en mer de Quiberon.

La SNSM, Société Nationale de Sauvetage en Mer, c’est une armée de 7.000 bénévoles qui oeuvrent le long des 3.500 km de côtes françaises.

C’est à Quiberon, dans le Morbihan que Christophe Hondelatte a choisi de poser son ciré. La station est en alerte, 24h sur 24, 365 jours par an. Le journaliste part à la rencontre de ces passionnés de la mer. Bénévoles à la SNSM, ils sont pompiers, maçons ou pêcheurs et consacrent leur temps libre à risquer leur vie pour sauver celles des autres.

Christophe Hondelatte est guidé par le chef de la station, l’âme des lieux : Gérard Kerscaven, 65 ans dont 50 années passés à secourir.

Travail au simulateur, formation permanente ou exercice de survie, le journaliste n’hésite pas à se jeter à l’eau en toutes circonstances.

Il nous fait également découvrir lors de moments plus intimes, la conviction et la générosité de ces hommes et de ces femmes, prêts à mourir pour sauver une vie.

En 2012 en France, les sauveteurs en mer ont réalisé 4.920 interventions pour secourir 8.000 personnes en difficulté.

« HONDELATTE PART EN LIVE : En prison », un documentaire de Jean-Marie Barrère le 26/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Pour ce numéro, Christophe Hondelatte est en immersion dans la dernière née des prisons françaises : la maison d’arrêt de Carquefou à Nantes.

570 détenus ou prévenus dont 40 femmes. 250 surveillants. Deux détenus maximum par cellule.

Pendant 4 jours et 4 nuits, Christophe Hondelatte tente de s’approcher au plus près des surveillants pour tenter de comprendre ce métier, souvent décrié.

La philosophie de la prison a changé lui explique-ton dès le début du documentaire. C’est ce que va constater le journaliste. Comment lutte t-on contre la surpopulation carcérale ? Comment parvient-on à humaniser les rapports entre les détenus et les surveillants ? Comment prépare t-on les condamnés à la réinsertion ?

Christophe Hondelatte va de surprise en surprise. Au quartier des femmes mais aussi au sein des UVF, les Unités de Vie Familiale. Des appartements trois pièces avec cuisine, salon, lits et terrasse qui permettent à certains condamnés de profiter de leur famille pour une durée de 6 à 72 heures au sein même de la prison.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Dans un sous-marin nucléaire », un documentaire de Ludovic Marcellin le 19/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion dans un sous-marin nucléaire d’attaque.
Le temps d’une traversée de la méditerranée, entre Toulon et Chypre, Christophe Hondelatte embarque sur le sous-marin nucléaire d’attaque : le Casabianca.

Les sous-marins nucléaires d’attaque, propulsés grâce au nucléaire sont porteurs d’armes conventionnelles. Leurs missions : la lutte anti-sous-marine, la lutte anti-navires, le renseignement et les opérations de débarquement des forces spéciales.

Christophe Hondelatte est aux côtés du Commandant Nicolas Lambropoulos et de ses 75 hommes d’équipage. Des hommes qui passent 6 mois par an, sous l’eau, coupés du monde et de leurs proches. Pendant 6 jours et six nuits, Christophe Hondelatte tente de s’approcher au plus près de ces hommes dont le métier est un véritable sacerdoce.

Quel est leur rythme ? Comment s’organise t-on à bord ? Comment vit-on coupé de tout ?

Grâce à des moments d’intimité avec les sous-mariniers, le journaliste parvient à comprendre quelles sont leurs motivations, leurs doutes, leurs peurs et leurs satisfactions.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec les pompiers de Paris », un documentaire de Julien Darde le 12/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion au sein de la caserne Port Royal dans le 13ème arrondissement de Paris.

Incendies, secours à victimes, accouchements à domicile, accidents de voie publique, les missions des sapeurs-pompiers de Paris sont très hétéroclites. Au sein de ce documentaire, le journaliste part en intervention et partage le quotidien de ceux qui vivent sur place. Au sein même de la caserne.

Il nous embarque aux côtés de Sarah, l’une des toutes premières femmes à avoir acquis le statut de pompier professionnel, Titouan, 17 ans, actuellement en formation, le Caporal Daburon, pompier expérimenté et le capitaine Piemontesi, grand spécialiste du feu.

Christophe Hondelatte alterne l’action sur le terrain, les exercices quotidiens de la brigade et des moments plus privés, plus intimes autour d’interviews confidences.

Avec un seul objectif : comprendre l’engagement exceptionnel de ces militaires au service de tous.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec la police de Saint-Etienne », un documentaire de Sébastien Lafargue le 05/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion au sein de l’hôtel de police de Saint-Etienne.

Dans cette vieille cité industrielle en pleine mutation, la délinquance est palpable. Violences, braquages, trafics de drogue.. La police est sur tous les fronts… 24h/24, 7j/7, le bâtiment ne dort jamais. On compte en moyenne 400 appels par jours. Patrouilles, arrestations, interrogatoires, perquisitions, mais aussi entraînements et moments de relâche… le journaliste partage le quotidien des officiers en uniforme.

On vit avec lui en direct l’interpellation de deux braqueurs de bijouterie, la mise en place d’un impressionnant dispositif de sécurité autour du traditionnel derby de football entre Saint-Etienne et Lyon ou encore l’interpellation d’un chef de réseau de dealers d’héroïne.

Que se passe-t-il dans les coulisses d’un hôtel de police ? Comment les officiers travaillent-ils ensemble au quotidien ? Quelles sont leurs satisfactions et leurs doutes ?

Durant les 52’ de ce documentaire, Christophe Hondelatte s’approche au plus près des hommes et des femmes du commissariat. Pour comprendre leur engagement et tout ce que suppose d’être policier en France en 2013.

« Hondelatte part en live », une série documentaire avec Christophe Hondelatte signée CAPA – à partir du 05/04 sur 13ème Rue

Il y a des métiers qui font rêver. D’autres qui font frissonner. Il y en a qui rebutent. Ils n’en sont pas moins extraordinaires.

Gardien de prison, éducateur d’adolescents délinquants, sous-marinier, médecin légiste, sauveteur en mer ou en montagne, flic à Saint-Étienne ou pompier à Paris… Des métiers que l’on ne peut pratiquer que par vocation. Parce qu’ils isolent du monde, parce qu’ils plongent dans la face cachée de notre société ou parce qu’on y frôle la mort.

Derrière ces professions hors du commun, il y a des gens ordinaires. Des anonymes dont on n’entend pratiquement jamais parler. Certains sont capables de risquer leur vie pour protéger la nôtre.

C’est à la rencontre de ces gens normaux, à priori sans histoire, que Christophe Hondelatte a décidé de partir.

Il va les suivre au cœur de leur action bien sûr, en mission ou en entrainement. Mais il va aussi les retrouver chez eux, quand ils tombent le masque ou l’uniforme, et qu’ils redeviennent eux même.

Grâce à son talent d’intervieweur, et parce que Christophe Hondelatte a le don de l’empathie, nous allons savoir ce que ces femmes et ces hommes ressentent et pensent. Quelles sont leurs motivations secrètes, quels sont leurs renoncements, leurs doutes et leurs satisfactions.

« Hondelatte part en live » veut rendre hommage à tous ces gens ordinaires qui exercent des métiers extraordinaires.

ENQUETES CRIMINELLES : « L’Etrange témoin du crime », un film de Dimitri Grimblat, le 20/03 à 20h50 sur W9

22 décembre 1997, sept heures du matin. Un instructeur d’auto-école découvre un corps ensanglanté en contrebas d’une route départementale à côté de Lunel (Hérault). Le ou les tueurs se sont véritablement acharnés sur lui. Il a reçu 108 coups de couteaux !

La victime est un jeune homme, Azzouz, 22 ans, connu pour être un petit revendeur de drogue. À première vue, il s’agit d’un règlement de compte lié au trafic de stupéfiants. Rapidement, les enquêteurs se focalisent sur deux suspects, les grossistes d’Azzouz : Abderrahim El Jabri et Abdelkader Azzimani. Les deux hommes nient mais reconnaissent avoir livré à la victime 5kg de résine de cannabis peu avant le meurtre.

Dans la foulée, un témoin oculaire les confond et, même s’il se trompe sur l’heure du crime, pour les gendarmes, l’affaire est entendue. El Jabri et Azzimani sont mis en examen. Ils n’ont pas d’alibi et leur passé, leur mauvaise réputation, en ont fait des coupables parfaits. Seulement personne n’imagine que cette affaire, à priori résolue, va connaître un incroyable rebondissement…