« Hondelatte part en live… En zone de sécurité prioritaire », le 02/05 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Guillaume Viart et Christophe Hondelatte

Creil, 70 000 habitants. Une ville aux confins de la banlieue parisienne et de la Picardie. Presque une ville à la campagne. Mais comme le terminus de la ligne du RER D, les problèmes semblent également s’être arrêtés ici, où sont concentrés les grands ensembles et les cités de la région.

Depuis deux ans, la ville et les quatre communes avoisinantes ont été déclarées Zone de sécurité Prioritaire par le ministère de l’intérieur. Au commissariat central, le commissaire Jean-Luc Taltavull organise aussi bien le travail des policiers de la Bac que celui de la brigade de protection des familles. Il veille, oriente, écoute et cible les priorités tout en martelant son credo « force doit rester à la loi ».

En se mêlant aux équipes, le journaliste Christophe Hondelatte dresse un état des lieux de cette banlieue du bout du monde.

« Hondelatte part en live… A Mayotte », le 25/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Bertrand Jeanneau et Christophe Hondelatte

Mayotte, un confetti français perdu au milieu de l’Océan Indien. Ce minuscule département français doit faire face à un afflux de clandestins, souvent très pauvres, qui débarquent de la république des Comores, située à soixante-dix kilomètres.

Sur l’île, la moitié de la population est clandestine et les autorités locales et les associations d’aides aux personnes sont débordées.

Ils sont des milliers à vivre dans les « bangas », ces quartiers ou les maisons au toit de tôle, sont parfois sans électricité et souvent sans point d’eau individuel. Écoles et hôpitaux sont dans une situation critique dans l’île.

Christophe Hondelatte veut comprendre les raisons qui poussent ces hommes et ces femmes à venir chercher à Mayotte une vie meilleure.

« Hondelatte part en live… Dans une unité pour malades difficiles », le 18/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Anna Salzberg et Christophe Hondelatte

Hôpitaux psychiatriques aux allures carcérales, les Unités pour Malades Difficiles traitent les patients les plus dangereux. Certains sont psychotiques. D’autres schizophrènes. La plupart d’entre eux ont tué. Dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, ces patients ne peuvent pas être reçus dans des services de psychiatrie classiques. En France, seuls dix centres psychiatriques accueillent les malades les plus touchés et les plus agressifs.

C’est dans l’UMD de l’un des plus vieux hôpitaux psychiatriques de France à Bron à côté de Lyon, que le journaliste Christophe Hondelatte s’est immergé pendant quelques jours. Jour et nuit, sept jours sur sept, une importante équipe médicale encadre quarante patients. Dans cet univers clos et sécurisé, le journaliste a partagé les doutes, les craintes mais aussi les espoirs de ces médecins, infirmiers et aides-soignants.

À leurs côtés, il a pu nouer des liens avec certains d’entre eux. Il a également vécu au rythme des névroses et des crises des patients.

« Hondelatte part en live… avec le SAMU de Lyon », le 11/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Bertrand Jeanneau et Christophe Hondelatte

Les médecins urgentistes du Service d’Aide Médicale d’Urgence de Lyon reçoivent quotidiennement des centaines d’appels au secours. À n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, ils doivent être en mesure d’assurer une écoute médicale. En cas d’urgence, une équipe doit se rendre le plus rapidement possible sur les lieux pour porter secours à la victime. Et tous les moyens sont bons : ambulance ou hélicoptère.

Pendant quelques jours, Christophe Hondelatte a vécu au rythme de ces hommes et de ces femmes dévoués qui exercent un métier hors du commun, plus que jamais au service des autres.

Ce sont eux qui interviennent sur toutes les situations d’urgence : problèmes cardiaques, accidents de la route, difficultés respiratoires…

Lors de moments plus intimes et calmes, ces médecins urgentistes se livrent à Christophe Hondelatte sur leur travail, leurs attentes, leurs craintes et leurs doutes. Avec, pour le journaliste, toujours un même objectif en tête : comprendre l’engagement remarquable de ces personnes au service de tous.

« Passeport pour le crime : Rio de Janeiro » avec Patrick Poivre D’Arvor, le 21/03 à 22h15 sur 13ème Rue

Une production CAPA réalisée par Lionel Langlade

C’est la capitale de la samba, du carnaval et des plages… Mais au dos de la carte postale, Rio de Janeiro s’écrit en lettres de sang. Crime, drogue et corruption : Patrick Poivre D’Arvor nous emmène dans les bas-fonds de Rio, et dans ses quartiers chics. Une immersion qui fait couler l’adrénaline, alors que le compte à rebours du Mondial 2014 a commencé.

La star du 20 heures, qui renoue-là avec ses premières amours de grand reporter, suit le travail de la police, et plonge dans le quotidien des favelas. Il accompagne les journalistes de faits divers, partage le quotidien d’un juge protégé 24h/24, et rencontre l’avocate des narcos, une figure du barreau aussi glamour que sulfureuse.

Figure emblématique de la télévision française, Patrick Poivre D’Arvor a présenté le journal de 20h pendant près de 30 ans et totalisé près de 10 000 journaux télévisés. Outre sa présence prochaine sur 13ème Rue, il est actuellement sur LCP dans « Place aux idées » et sur France 5 dans « Une maison, un artiste ».

« Tout un monde – Le château de Vaux le Vicomte », le 30/12 sur Planète+

Un film d’Amaury Velter

VAUX LE VICOMTE

A une cinquantaine de kilomètres au sud-est de Paris, au milieu d’un parc de 45 Ha, se trouve le château de Vaux Le Vicomte. Un joyau historique du 17ème siècle, classé aux Monuments Historiques, dans lequel se déroula une tragédie qui a marqué l’histoire de France.

Vaux le Vicomte est le plus grand château privé de l’hexagone et un véritable gouffre financier.

Entre les charges du personnel et les travaux de rénovation ou d’entretien, les propriétaires ne s’en sortent pas. Pourtant, pas question pour eux de laisser le château à l’abandon.

Même s’il leur appartient, il fait partie du patrimoine national.

Alors leur mission désormais est d’accroître autant que possible le nombre de visites et trouver d’autres sources de revenus pour pouvoir, à long terme, redonner au château toute sa splendeur d’origine.

L’HISTOIRE DE VAUX LE VICOMTE

En 1650, le domaine de Vaux le Vicomte est un petit château entouré d’un parc et d’une ferme. Nicolas Fouquet est surintendant des finances de Louis XIV. Son ministre des finances. Il lui est fidèle depuis des années et le roi le récompense en l’enrichissant.

En 1651, Fouquet rachète le domaine de Vaux le vicomte. Il fait raser tous les bâtiments existants et démarre les travaux d’un projet immense. Il veut le plus beau, dans tous les domaines. Il aime le luxe et la finesse et veut le montrer. Alors il fait appel aux meilleurs artistes pour ce projet. Pour bâtir une telle œuvre, il réunit les plus grands talents de l’époque. D’abord, André Le Notre pour les jardins.

Ensuite, Louis Le Vau pour l’architecture du château, et enfin Charles Lebrun pour la décoration. Ensemble, en cinq ans seulement, ils vont sortir de terre l’un des plus beaux châteaux de France.

Mais pendant ce temps, Colbert, jaloux de la réussite de Fouquet, colporte auprès de Louis XIV des rumeurs selon lesquelles Fouquet vole dans les caisses du royaume. Le souverain se méfie, mais ne donne pas suite.

Le 17 août 1661, Fouquet inaugure son château en présence du roi. Une fête grandiose est donnée, organisée par Vatel. Au programme : festin, spectacle donné par Molière, promenade et feux d’artifice. Louis XIV découvre un château comme il n’en a jamais vu. Une harmonie parfaite entre jardin à la française, architecture et finesse des décorations.

Mais personne ne doit faire mieux que le roi. Et les soupçons qu’il portait sur Fouquet se transforment en jalousie et en haine. Il décide de faire arrêter Fouquet. Et il demande à l’un ami de ce dernier de le faire : d’Artagnan. Fouquet finira ses jours en prison. Louis XIV, lui, récupère les trois artistes et s’inspire de Vaux-le-Vicomte pour construire Versailles. À partir de là, le château va passer de propriétaires en propriétaires avant de sombrer dans l’oubli.

Mais en 1875, Alfred Sommier, un riche industriel du sucre, le rachète aux enchères sans même l’avoir visité. Il y investit des sommes colossales pour le restaurer, le sauvant ainsi de la destruction. Il le transmet à ses descendants. Aujourd’hui, ce sont les jumeaux Alexandre et Jean-Charles de Vogué qui ont la lourde tâche de prendre le relais de leur arrière grand oncle. Mais la fortune familiale à fondu et il doivent trouver le moyen de sortir les 9 millions d’euros annuel qu’exigent le fonctionnement du château.

« Tout un monde – L’hôtel des ventes Drouot », le 27/12 sur Planète+

Un film de Richard Puech

TOUT UN MONDE plonge dans les coulisses du 9 rue Drouot à Paris, le plus important site de ventes aux enchères de France. Avec 16 salles, 1600 ventes et 550 000 objets adjugés chaque année, l’hôtel Drouot est depuis sa création en 1852 un temple populaire de la vente aux enchères et une plaque tournante du marché de l’art. Ici tout s’achète et tout se vend, des meubles Louis XV au design, des toiles de maître au Street art, du plus rare au plus beau, et même le bric-à-brac issu de nos greniers.

Drouot, le paradis des amoureux des ventes et des amateurs d’art, où les milliardaires russes ou américains côtoient les marchands des puces et les retraités en goguette. Avec un million ou 10 euros en poche, ici il y a toujours une bonne affaire à faire. Commissaire-priseur, collectionneur, expert, brocanteur, nos équipes ont filmé les grands fauves de Drouot dans leur monde d’art et d’argent, d’enchères et de passions.

« 21 JOURS… au couvent » à voir dans Infrarouge, le 03/12 à 22h40 sur France 2, un film de Alexandra Alévêque et Philippe Lagnier

Pendant 21 JOURS, elle va découvrir tout un monde, avec ses codes et ses difficultés. Pendant 21 JOURS, elle va vivre aux côtés de ceux qu’elle filme. Elle va partager et raconter, à la première personne.

Carnets de bord engagés, récits à nu d’une adaptation et d’un apprentissage, ces films documentaires innovants veulent saisir la vie au plus près, avec tendresse et bienveillance…

Dans cette série documentaire innovante, la journaliste Alexandra Alévèque passe de l’autre côté de la caméra, pour expérimenter pendant 21 jours le quotidien de ceux qu’elle rencontre.

À chaque fois, tous les protagonistes ont été mis au courant de l’opération. Alexandra Alévêque se présente en toute transparence.

Après 21 jours à l’usine, documentaire dans lequel la journaliste a partagé le quotidien des ouvriers chez un sous-traitant automobile, 21 jours à l’aveugle où elle a expérimenté la cécité, ou 21 jours inoubliables, dans lequel elle a travaillé avec des professionnels auprès de malades d’Alzheimer, cette collection s’étoffe de trois nouveaux films.

Pour éprouver la vie au couvent, elle partage le quotidien de la communauté de moniales de l’Abbaye cistercienne de Chambarand, en Isère. Pour comprendre l’engouement des français pour les vacances au camping, elle part travailler dans l’un d’eux à Argelès-sur-Mer. Pour mieux deviner la vie des acteurs et actrices X, elle devient assistante d’une réalisatrice de films pornographiques.

Pendant 21 jours, et quelle que soit l’expérience vécue, Alexandra Alévêque tient son journal de bord. Elle raconte, à la première personne, ses difficultés, ses surprises, ses a priori qui s’envolent ou se confirment.

Elle est pour un temps au couvent ou dans l’industrie du X, mais n’oublie jamais d’où elle vient, professionnellement et socialement. Elle est à la fois dedans et dehors, miobservatrice et mi-participante. Cet exercice d’empathie active a une durée calculée : 21 jours, c’est assez long pour prendre des marques, et assez bref pour garder du recul. En 3 semaines, et sans interruption,

Alexandra Alévêque s’adapte, perd ses habitudes et en prend de nouvelles. Vivre avec les religieuses, les actrices X ou les campeurs, apporte aussi un avantage décisif : se faire accepter en payant de sa personne, gagner le respect et recueillir les confidences.

« OFF secrets et coulisses : secrets et coulisses de la justice », le 26/11 à 20h45 sur France 4

SECRETS ET COULISSES DE LA GENDARMERIE Un documentaire d’Alexis De La Fontaine

Aujourd’hui, dans les enquêtes criminelles, la preuve matérielle est devenue la reine des preuves. Les aveux, autrefois élément central d’un dossier judiciaire, ont montré leur fragilité à l’occasion de fiasco judiciaires retentissants (on pense aux affaires Outreau, Patrick Dils, Loïc Séché, Marc Machin…).

Désormais, de plus en plus d’enquêtes sont résolues grâce à des preuves matérielles : un cheveu, une empreinte, une goutte de sang, des traces ADN… qui permettent de résoudre la plus insoluble des énigmes. Grâce aux progrès de la science, la Police et la Gendarmerie ont développé depuis une trentaine d’années un savoir-faire dans le recueil et le traitement des preuves matérielles.

Loin de la vision idéalisée des séries américaines à la mode, « OFF secrets et coulisses » vous propose un « laissez-passer » dans les coulisses des « vrais experts » de la Gendarmerie Nationale française. Ils nous montreront les compétences techniques qu’ils déploient pour traquer le moindre indice, et ainsi apporter leur concours au déroulement d’une enquête.

Nos caméras iront dans deux unités différentes de la Gendarmerie Nationale :
– sur le terrain avec la Cellule d’identification criminelle de l’Oise, la « CIC 60 »,
– dans les laboratoires de l’Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRCGN).

SECRETS DU PALAIS DE JUSTICE DE PARIS Un documentaire de Louis-Matthieu Nivose

Le Palais de Justice de Paris est un lieu chargé d’histoire en plein cœur de la capitale. Témoin de l’Histoire de France avec deux monuments historiques au sein même du Palais : la Sainte Chapelle et la Conciergerie. Mais dans ce lieu, c’est le destin de milieux de personnes qui a été discuté et décidé à l’occasion de grands procès qui ont défrayé la chronique.

Le Palais de Justice est un lieu ouvert au public mais paradoxalement méconnu du grand public. On peut y croiser des touristes qui déambulent bruyamment dans la cour après leur visite de la Sainte Chapelle. Des avocats pressés boutonnant leur robe ou patientant dans la Salle des pas perdus. Des gendarmes qui installent une rangée de barrières devant les portes de la Première Chambre. Des journalistes qui attendent la fin d’une audience, leurs caméras posées sur le marbre. Des curieux qui s’arrêtent pour se mêler à la foule…

Le Palais de Justice est l’endroit où tous ces gens se côtoient, où toutes ces histoires s’enchevêtrent. Autant de vies qui s’entrelacent, de destins qui se nouent et d’avenirs qui se jouent. « OFF Secrets et coulisses » vous propose une visite inédite de ce lieu. Montrer et raconter la vie du Palais par-delà les décors.

Grâce aux journaux télévisés, tout le monde connaît les grandes marches de l’entrée principale, la salle des assises, la salle des pas perdus et les galeries qui y mènent. Les procès et audiences ne sont plus un secret pour personne. Mais qui sait qu’il existe, au cœur du Palais, des ateliers, une gendarmerie, des cuisines, un self service, une caserne de pompiers ou un couvent ?

C’est cette face cachée ou méconnue que « OFF Secrets et coulisses » souhaite mettre en lumière. Ce qui nous intéresse, ce sont tous ces visages, toutes ces « petites mains » et ces métiers qui contribuent à faire vivre le Palais et qui assurent chaque jour son bon fonctionnement.

Guidé par les habitués des lieux, ou égaré avec les touristes, « OFF Secrets et coulisses » vous emmène dans les coulisses de cette immense machine au hasard des rencontres, au détour d’un couloir. Quels sont les « rôles » de ces différents « acteurs », dans la lumière des flashs ou dans l’ombre des recoins du palais ? Qui sont ces gens ? Comment exercent-ils leur métier au sein du Palais de Justice ?

Les gens qui travaillent au Palais nous feront découvrir leur métier, leur rôle et partageront leur propre vision de ce lieu majestueux. Surtout avant la création d’une nouvelle Cité Judiciaire dans le quartier des Batignolles, à l’horizon 2017, qui changera bientôt l’organisation, la structure et le fonctionnement du Palais, tel qu’il existe depuis des siècles.

Enquêtes criminelles : « Les maçons de l’horreur », le 13/11 à 20h45 sur W9

« Enquêtes criminelles : Les maçons de l’horreur » – Un documentaire de Louis-Mathieu Nivôse

Pourquoi donc le téléphone sonne-t-il dans le vide depuis 15 jours chez Jocelyne et Jean-Pierre Saint Aubert, un couple de retraités mosellans qui a déménagé dans l’Aude ?

Olivier, le fils de Jocelyne est inquiet. Le 19 avril 2008, il alerte les gendarmes de Ginestas qui, face à l’absence prolongée du couple, finissent par entrer dans la maison.

La perquisition au domicile des retraités va faire basculer cette simple disparition en une terrible affaire criminelle. Les papiers d’identités et les téléphones portables des retraités sont découverts dans le salon et un petit mot manuscrit, écrit d’une main tremblante : « Nous sommes pris en otage. Ils veulent nous tuer ».

Une course contre la montre commence alors pour les gendarmes, pour retrouver celui ou ceux qui ont séquestré et kidnappé Jocelyne et Jean-Paul. Un couple dont la route vient de croiser celle de l’enfer.