« Hugo Chavez, le grand mensonge », un film de Caroline du Saint à voir le 8/10 à 23h05 sur CANAL +
Il fait meilleur vivre à Baghdad qu’au Venezuela. A Caracas, une personne meurt par balles toutes les deux heures. On compte de 15 à 20 000 morts violentes chaque année, soit 4 fois plus qu’en Irak, et autant que le Mexique… le tout dans un pays pourtant épargné par les gangs et le narcotrafic.
Des chiffres qui ont quadruplé, depuis l’arrivée au pouvoir en 1999 d’un certain Hugo Chavez, candidat à sa propre succession lors de la prochaine élection présidentielle, le 7 octobre 2012.
Comment en une dizaine d’années, un pays a-t’il pu basculer dans une telle violence ? Comment les inégalités, la misère, ont-elles pu croître à ce point, dans un pays riche, assis sur une des principales mannes pétrolières du continent ? Quelle est la responsabilité d’Hugo Chavez dans cette dégradation ?
Alors que la campagne électorale bat son plein, nous avons voulu décortiquer le système Chavez… Montrer et dire ce qui n’a pas été dit, au-delà des images habituelles, de la censure des médias et de ses excentricités télévisuelles.
Nous allons montrer la face cachée du Che Venezuelien: comment le dernier révolutionnaire du continent après Fidel Castro a privatisé le pays, capté les richesses pour ses proches, le livrant aux milices et à la guérilla, permettant aux armes de se répandre, soumettant les populations à la loi du plus fort.
Le Venezuela, patrie socialiste, est devenue la caricature la plus aboutie de l’ultra libéralisme, sans foi ni loi.