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Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 26 février

VODKA, CHAPKA ET PERESTROIKA de Nicolas TONEV
En Russie, Vladimir Poutine à beau être assuré de décrocher un 3ème mandat au Kremlin le 4 mars prochain, c’est la première fois en 12 ans que l’ancien agent du KGB fait face à une opposition si ouvertement décomplexée. Le bourrage d’urnes aux dernières législatives a secoué la société civile, et réveillé l’envie d’en découdre. Des opposants au régime tiennent des meetings devant des dizaines de milliers de personnes, impensable il y a encore 3 mois. Manifester est devenu à la mode. Même la télévision s’émancipe… et daigne maintenant montrer qu’il y a des opposants, tout en les ridiculisant. Alors, justement qui sont ces insoumis qui osent braver le régime ? Veulent-ils tous, comme Edouard Limonov, le héros éponyme du livre d’Emmanuel Carrère, dynamiter le système ? C’est ce que nous avons cherché à savoir.

CARNAVAL DE REVENDICATIONS de Cyprien d’HAESE
Le Brésil, ses plages, son carnaval et sa police qui en a ras-le-képi !… Historiquement mal payée, et mal vue parce qu’issue de la dictature, la police militaire brésilienne s’est mise en grève, ce mois-ci. A la veille du carnaval, les policiers ont décidé de frapper un grand coup… pour obtenir des hausses de salaire. 10 jours aux abonnés absents au cours desquels la criminalité a explosé… Et le pays s’est terré… Aujourd’hui, ils ont mis fin à leur mouvement mais le problème reste entier, malgré les promesses.

DROIT DANS LE MUR de Laurent HAMIDA
La guerre est-elle finie en Libye ? Officiellement oui, mais la fin de la guerre ne signifie pas pour autant la paix. Le pays est en proie aux divisions entre milices rivales… sans que les autorités de transition n’arrivent à les désarmer. Les ex-rebelles se disputent des bouts de territoire… La Libye n’est plus aujourd’hui qu’une mosaïque de fiefs, aux mains de factions concurrentes surarmées. Les nouveaux dirigeants libyens ne s’en cachent pas : si ces brigades ne rentrent pas dans le rang, ce sera la guerre civile.

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Prenez votre ticket ! 1€70 spécial Brésil à São Paulo, présenté par Victor Robert, le 24/02 à 20h50 sur Planète +

Au sommaire de 1€70, spécial Brésil : un petit tour à São Paulo, avec Victor Robert, pour découvrir toutes les richesses et les secrets de ses communautés dans le pays le plus métissé du monde !

Immigration ancienne : Il était une fois au Brésil

L’Immigration italienne au Brésil est représentée par 33 millions de Brésiliens descendants d’immigrants italiens. Ils sont dispersés dans tous les États des régions Sud et Sud-Est du Brésil, se trouvant être quasiment la moitié de la population de l’État de São Paulo. Cette population est considérée comme la plus importante d’oriundi (descendants d’Italiens) hors d’Italie.

Les premiers Italiens arrivèrent au Brésil en 1870. Le gouvernement brésilien stimulait l’immigration européenne, particulièrement après 1850, quand le trafic des esclaves africains fut aboli au Brésil ; les immigrants se substituaient à la main-d’œuvre esclave.

Les Italiens s’installèrent d’abord dans la région Sud du Brésil, où les colonies d’immigrants étaient  établies par le Gouvernement brésilien au début du XIXe siècle.

A São Paulo, un habitant sur 5 revendique au moins un ascendant italien.

Nous serons avec Angelo, 92 ans, le propriétaire du plus vieux restaurant italien de tout le Brésil. Angelo est venu par paquebot dans les années 40 et son histoire a même inspiré une telenovela.

Nous serons également avec une famille de commerçants italiens, les plus gros importateurs au Brésil de produits issus de la botte. 4 générations aux manettes de l’entreprise. Dans cette famille, on se revendique brésilien mais on respire l’Italie.

Japon : « L’appel du 18 juin», un sujet de Mickael Beurdouche

Le Brésil est le pays qui accueille le plus de Japonais en dehors du Japon. Il y a entre 1,3 et 1,5 million d’habitants d’origine japonaise au Brésil. Les personnes d’origine japonaise nées au Brésil sont appelées Japonais-Brésiliens (Nipo-brasileiros en portugais), ou nissei.

Le 18 juin 1908, les premiers immigrants japonais débarquaient du navire Kasato Maru dans le port de Santos, São Paulo. Ils étaient au nombre de 791 (principalement des fermiers venus d’Okinawa). Ils partaient pour le Brésil pour travailler dans les plantations et pensaient revenir au Japon après avoir gagné un peu d’argent, mais ce ne fut pas le cas.
Aujourd’hui, le quartier de Libertad, construit par les japonnais accueillent l’essentiel des diasporas asiatiques.

Les deuxième, troisième et même quatrième générations prônent un retour aux sources. Les plus jeunes d’entre eux sont tournés vers la culture mango-pop, véhiculée par les jeunes tokyoïtes.

C’est le cas de l’une de nos personnages, déguisée en manga-girl et qui nous emmènent dans les karaoke les plus célèbres de Sao Paulo.
Les plus anciens n’ont jamais non plus totalement abandonné la culture nippone. Cours de karaté, musique….

Bolivie : «Le mirage brésilien», un sujet de Mickael Beurdouche

En quête d’un travail et d’une vie meilleure, des milliers de Boliviens quittent leur pays pour Sao Paulo, la mégapole du Brésil, où ces travailleurs clandestins réalisent leur rêve – avoir un emploi – mais avec un salaire de misère et dans des conditions inhumaines.

Espagne : « Les nouveaux conquistadors», un sujet de Pierrick Morel
Ils sont des milliers à quitter l’Espagne, son marasme économique et son chômage endémique. Beaucoup partent en Allemagne, seul pays européen à ne pas plonger. Les autres optent pour l’Amérique du Sud et le Brésil en particulier. Si les tendances démographiques actuelles perdurent, l’Espagne pourrait perdre plus d’un demi-million d’habitants au cours des dix prochaines années.

Ianire est créatrice de mode. L’absence de perspectives au Pays Basque espagnol l’a poussée à venir vivre, dessiner et fabriquer ses collections ici au Brésil pour les vendre….. au Pays Basque espagnol.

Quant à Jesus, peintre en bâtiment, il a récemment quitté l’Espagne, pays dans lequel il n’avait plus aucun avenir professionnelle. Il était même en pleine dépression. Dès son arrivée au Brésil, sa vie a changé….

Interview
Frédéric Junck, chef d’entreprise français, présent au Brésil depuis 1985. Arrivé juste après la dernière dictature militaire, il a assisté à la montée en puissance d’un pays dont il est tombé littéralement amoureux.

Au sommaire de l’Effet Papillon, du 11 décembre 2011

PRIVÉ DE PROPRIETE de Franck MOULIN
Imaginez le plus gros réservoir d’eau d’une ville ensablée pour y construire des logements et des centres commerciaux… Un lac crucial, à la fois garde-manger et rempart contre les inondations, rayé de la carte par des investisseurs avides… Eh bien, c’est la mésaventure que connaissent des habitants de Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Des riverains qui ont été expulsés de chez eux à coup de matraques et de pelleteuses… pour le compte d’une société privée, proche du pouvoir. Une razzia immobilière et une dérive affairiste si courante… qu’elle menace la stabilité du pays.

LA CENSURE OU L’ECHAFAUD de Julien FOUCHET  et Sébastien DAGUERRESSAR
Billets d’avion, nuits d’hôtel, et même titres de propriété : au Pakistan, on sait se montrer généreux avec la presse… Moins elle exerce, plus on la dorlote… Des journalistes méritants, comprenez qui évitent les sujets sensibles, il y en a beaucoup à Islamabad…Et si la corruption ne marche pas, il y a toujours la coercition… Les récalcitrants le savent : enquêter, témoigner, c’est signer son arrêt de mort. Depuis le début de l’année, 8 journalistes ont ainsi été réduits au silence.

PEUR SUR LES JUGES de Zinedine BOUDAOUD, Anne-Laure DESARNAUTS et Lourenço Barsi-Gomes
Une magistrate exécutée de 21 balles devant chez elle, des juges qui manifestent pour réclamer plus de protection… La justice brésilienne n’est pas loin de ressembler à celle des années 90, en Italie. Au Brésil, les juges anti-mafia sont des bêtes traquées, livrés à eux-mêmes. Les plus chanceux vivent comme des prisonniers, sous surveillance constante. Les autres doivent se débrouiller… pour lutter contre le crime organisé, et rester en vie. La mafia a infiltré tous les corps de la société, à commencer par la police….

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Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 16 octobre 2011

L’histoire a fait le tour du monde…Une gifle, un suicide et la révolution en Tunisie, en Egypte et en Libye…La fliquette de Sidi Bouzid était loin de se douter qu’elle allait faire tomber trois dictateurs, en arrêtant un vendeur à la sauvette, en décembre dernier. C’est sa gifle qui aurait tout déclenché. une gifle, symbole de l’arbitraire du régime. Une gifle probablement inventée de toute pièce pour exacerber la colère populaire…et faire tomber Ben Ali. Vue de près, l’histoire ne ressemble jamais à l’Histoire. IL ETAIT UNE FOIS UNE GIFLE, c’est un sujet de Caroline DU SAINT avec Akim REZGUI.

Souriez, vous êtes radiés. D’après un éminent scientifique nippon, les radiations de Fukushima ne toucheraient que les gens déprimés, qui s’inquiètent et broient du noir…Oui, vous avez bien lu. Les autorités ne savent plus quoi inventer pour endormir les sinistrés et justifier leur inertie. Seulement, la population n’est pas dupe. Les études sont alarmantes. Et la révolte gronde…Malgré tout, certain ont décidé de prendre leur destin en main. TOUCHÉ MAIS PAS COULÉ, c’est un sujet de Thierry PASQUET.

L’Amazonie est un cimetière pour les militants écologistes et les paysans qui les soutiennent. Tous les jours ou presque, l’un d’entre eux est menacé de mort ou tué… Beaucoup ont payé de leur vie leur engagement en faveur de la plus grande forêt de la planète. Rien n’arrête les grands propriétaires terriens et les exploitants de bois… bien décidés à débiter l’Amazonie en rondins. Ils y sont même encouragés… Le parlement vient de voter une réforme du code forestier. Un blanc seing pour la déforestation… LA FORET RECULE, LE CRIME PROGRESSE, c’est un sujet de Cyprien D’HAESE.

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1€70 à ROME, présenté par Victor Robert : c’est vendredi 30 septembre à 20h40 sur Planète +

Un détour à ROME, en passant par le BENGLADESH « Le retour de batte », la TUNISIE : « Tous les trains mènent à Rome », par l’ETHIOPIE : « Italie, Ethiopie : copains d’abord », et le BRESIL : « Calcetto, what else ? »

BENGLADESH  » Le retour de batte », un sujet de Mickael Beurdouche

Un siècle. C’est le temps qu’il aura fallu entre 1850 et 1950 à 30 millions d’italiens pour quitter leur pays. La célèbre botte a longtemps servi de réservoir à main d’oeuvre pour les pays industrialisés de l’Europe et des Etats-Unis. Mais aujourd’hui, la tendance s’est inversée. L’italie, porte d’entrée vers le vieux continent mais aussi terre d’accueil. 300 000 immigrés légaux vivent à Rome. Et parmi eux, 30.000 Bangladais. Tous ont fui la misère du Bengladesh, l’un des pays les plus pauvres de la planète.

Et c’est dans le quartier Piazza Vittorio, au marché exotique que nous avons rendez-vous avec Bacho, le porte-arole d’une communauté, largement discriminée en Italie dans un climat ambiant d’Islamophobie.

TUNISIE :  » Tous les trains mènent à Rome », un sujet de Pierrick Morel

Termini c’est la plus grande gare d’Italie: 500 000 personnes y transitent quotidiennement. Paumés au coeur de la foule, une centaine de voyageurs sans valises: Ils sont Tunisiens et fuient leur pays: Une Tunisie libérée de la dictature mais dont l’économie est à genoux. Une seule solution: Chercher du boulot en Europe.

Pour les aider ici, aucune structure d’urgence. Heureusement deux jeunes femmes viennent briser l’errance…

ETHIOPIE : « Italie, Ethiopie : copains d’abord », un sujet de Pierrick Morel

Si à Rome est le berceau de la civilisation occidentale, l’Ethiopie, elle le berceau de l’humanité. L’Ethiopie, un pays occupé quelques années par l’Italie faciste à la fin des années 30 mais les deux peuples ont sympathisé depuis à l’image de ce héros de documentaire, Dagwami Yimer.

En 2005, Dag quitte le pays et prend la route du désert soudanais. Ses films racontent son voyage et le business de l’immigration, Les passeurs violeurs, la mort en chemin et la honte du clandestin. Il dénonce la police libyenne qui enferme et la complaisance de l’Europe.

A Lampedusa il retrouve les hommes de la police marine italienne qui l’ont appréhendé sur une embarcation de fortune 5 ans plus tôt….

BRESIL : « Calcetto, what else ? » un sujet de Mickael Beurdouche

Les peuples brésilien et italien ont tout pour bien s’entendre car ils pratiquent les deux mêmes religions : le christianisme et le football… A Rome tous les chemins mènent au stade d’ailleurs vous connaissez tous le nom du fameux championnat de football italien, la série A ou Calcio, Calcio qui veut dire football en italien. A part quelques grandes stars brésiliennes qui évoluent dans les grands clubs du Calcio, la nombreuse communauté brésilienne préfère, le Calcetto, le petit calcio, un championnat de foot professionnel super populaire ici avec des équipes qui ne jouent pas à 11 mais à 5… ITW : Eric JOZSEPH, correspondant du Journal  » Libération » à Rome

Au sommaire de l’Effet Papillon du 30 avril

Mauvais traitements, insalubrité, surpeuplement : au Brésil, le système carcéral est au bord de l’implosion. Le taux d’occupation excède les 300%, ça vous donne une idée de l’enfer ! Sans compter que la prison pour les plus jeunes est devenue l‘école du crime n°1.

Pourtant, certains arrivent à s’en sortir… par le foot. Marquer des buts pour se faire la malle, au pays de Ronaldhino, c’est un programme de réinsertion qui a de l’avenir. CRAMPONNEZ-VOUS, c’est un sujet de Mathilde BONNASSIEUX et Frédérique ZINGARO.

Leurs villages n’apparaissent nulle part sur les cartes, et n’ont aucune existence légale. Pourtant, les bédouins du Néguev vivent dans le désert israélien depuis des générations… avec ou sans titre de propriété. Et justement, faute de permis de construire, les autorités rasent leurs maisons plusieurs fois par mois, et plusieurs fois par mois, les bédouins reconstruisent leurs logements. Et cela fait des années que ça dure. DEMOLITION MEN, c’est un sujet de Thomas ZRIBI.

Plus de dix morts et des milliers de réfugiés pour 4 kilomètres carrés de broussailles et un temple Khmer en ruines, c’est le bilan de la guéguerre que se livrent thaïlandais et cambodgiens, depuis 3 mois. Mais derrière ce litige vieux de 10 siècles, se cache un autre enjeu, qui se résume en un mot : le pouvoir. Les royalistes thaïlandais profitent de la situation pour tenter de renverser le gouvernement avant les élections, prévues en juillet. Accuser les autorités de brader la souveraineté de leur pays, c’est donner au roi la légitimité de nommer dès maintenant un nouveau gouvernement sans passer par les urnes. QUAND LES CHEMISES JAUNES VOIENT ROUGES, c’est un sujet de Carol ISOUX.

Et comme toujours, le planétarium et l’avant-poste présentés par Matthieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc.

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LE MONDE EN MARCHE : « Brésil : les recettes du miracle », le 6 mars à 20h35 sur France 5

Pour cette troisième émission, direction le  Brésil avec le documentaire de 52’ intitulé « Brésil : les recettes du miracle »

Le Brésil est en plein essor. Les chiffres ne le démentent pas : huitième économie au monde, une croissance record à peine écornée par la crise mondiale, mais aussi une progression sociale avec une classe moyenne en pleine expansion depuis 15 ans et un net recul de la pauvreté.

Dans le cadre du documentaire « Brésil : les recettes du miracle » Hervé Chabalier, va donc à la rencontre de celles et de ceux qui ont contribué à ce succès.

De ce pays, vu de loin, on ne retient généralement que quelques images. Des surfeurs, des plages, la samba…. Derrière les clichés, l’autre Brésil. Celui de l’autosuffisance énergétique, celui de Lula, l’ouvrier syndicaliste devenu le sauveur de son pays, celui d’une économie qui attire tous les investisseurs d’un monde entier : une mutation silencieuse mais rapide.
L’histoire de ce miracle commence par un vrai programme social, qui a sauvé de l’extrême pauvreté, des millions de brésiliens. Son nom : la « Bolsa familia ». Un système d’aide sociale à destination d’une famille sur quatre dans le pays. Quelques dizaines d’euros en échange de l’inscription à l’école et de la vaccination des enfants. Succès immédiat. L’analphabétisme recule aujourd’hui chaque jour un peu plus au Brésil.

Ce miracle, c’est aussi une série de paris gagnés sur l’avenir : comme celui de l’investissement sur les biocarburants et l’éthanol… (…) ou du développement du crédit à la consommation à l’endroit d’une classe moyenne en pleine expansion. Comme celui, enfin, de la lente et périlleuse pacification des dangereuses favelas.

L’envol fulgurant de ce pays, ne doit pas non plus faire oublier certaines réalités.
Les différentes personnalités croisées par Hervé Chabalier sur sa route brésilienne, ne manquent pas non plus de souligner la situation catastrophique du  système éducatif, ses inégalités sociales gigantesques et cette corruption endémique qui gangrène tout l’appareil politique…

Ce documentaire de 52 minutes dresse la chronique de ce « Brésil en marche », au moment même où le « dieu Lula » vient de passer la main à « Dilma la guerillera… »

Parmi les personnalités rencontrées par Hervé Chabalier :
–       Raï : ancien star du football
–       Marcus Alberto Elias : Milliardaire brésilien
–       Marcelo Neri : Docteur en économie
–       Oded Grajew : ancien conseiller spécial de Lula.

A PROPOS « Le Monde en Marche » ou l’actualité internationale vue autrement…

Hervé Chabalier, Grand reporter et fondateur de l’agence CAPA, présente « Le Monde en Marche », magazine de décryptage de l’actualité étrangère sur France 5.

C’est sur le terrain que le journaliste et ses équipes se rendent pour mieux saisir et expliquer les multiples réalités géopolitiques et humaines de l’actualité internationale.
L’occasion de comprendre ce monde en marche et d’aborder autrement la politique étrangère à la télévision.

Structuré autour d’un grand document de 52’ et d’enquêtes d’actualité, « Le Monde en Marche » offre aux téléspectateurs un nouvel éclairage sur les différents évènements de l’actualité internationale : conflits complexes, géopolitique délicate, enjeux cachés…

LE MONDE EN MARCHE – BRESIL
Dimanche 6 mars 2011 à 20h35