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« Le Studio de la Terreur », au cœur de la propagande de Daech, le 20/09 à 20h50 sur Canal+

Le Studio de la Terreur est un thriller géopolitique 3.0 qui met à nu la propagande de l’État Islamique, en confrontant les protagonistes d’une guerre médiatique qu’aucun mouvement apocalyptique n’avait mis en œuvre jusqu’à présent. Une guerre inédite, qui convoque tous les marqueurs de la pop culture occidentale pour terroriser l’opinion mondiale et recruter de nouveaux soldats, à travers un storytelling numérique terriblement efficace.

Ce film est une enquête exceptionnelle de 18 mois, menée par l’auteur avec tout un réseau de fixeurs au Moyen-Orient, en Europe et aux Etats-Unis. Avec un accès sans précédent à des témoins à la parole rare, le récit nous mène d’un studio à l’autre, de Raqqa à Hollywood, en passant par l’Irak, la Turquie, la Belgique, Londres et Paris. Le tout avec une forte ambition esthétique, qui s’oppose au sensationnalisme trash des vidéos de l’Etat Islamique.

Nos protagonistes, outre les experts triés sur le volet, sont les propagandistes eux-même. Des cameramen, techniciens et Emirs des médias, tous repentis, qui ont fabriqué ces vidéos de l’horreur qui inondent les réseaux sociaux. Ils racontent de l’intérieur la mise en place et le fonctionnement de la machine de propagande de l’État Islamique. Des témoignages inédits et exclusifs.

La révélation principale du film, c’est la présence à la tête du Studio de la Terreur d’un Américain qui a travaillé à Hollywood. On ne connaît que son nom de Djihadiste, Abou Abderahman Al Amriki, mais plusieurs témoins valident son existence parmi les nombreux professionnels étrangers qui travaillent pour la propagande de l’État Islamique.

Ce scoop entre en résonance avec le propos de fond du film, qui est de décrypter comment les propagandistes de Daech s’inspirent de nos films à grand spectacle, de nos jeux vidéos et de notre « société du spectacle » pour mieux les retourner contre nous. Les vidéos de l’État Islamique nous reviennent à la figure comme un boomerang, et nous renvoient à notre fascination pour la violence.

Et comme le démontre le film, l’industrie du spectacle est tombée dans le piège : aujourd’hui, Daech est devenu « pop », il sature notre espace médiatique. C’est le nouveau Méchant d’Hollywood, celui que l’on adore détester. Et il ne demande pas mieux…

« Le Studio de la Terreur, à l’intérieur de la Machine de Propagande de Daech », un film d’Alexis Marant, produit par CAPA Presse avec la participation de la Création Documentaire CANAL+, de la Région Ile-de-France et de Creative Europe, le 20/09 à 20h50 sur Canal+

Canal + confie à CAPA les reportages de « L’Hebdo Cinéma »

Canal + a confié à CAPA l’exclusivité de la production de quatre rubriques de son nouveau magazine consacré au cinéma : une interview in situ, un reportage en coulisse, une enquête et un décryptage de film qui permettront une plongée inédite au cœur du 7ème Art.

Présentée par Laurie Cholewa, l’émission sera à l’antenne chaque samedi à 13h35 heures à partir du 10 septembre 2016.

Cette collaboration entre Canal + et CAPA marque le grand retour de l’agence dans le domaine du cinéma.

Plusieurs documentaires et magazines culturels sont par ailleurs en cours de production ou de développement au sein de l’agence, qui a considérablement renforcé son équipe dédiée à la culture.

 

Crédit photo : Alexandre Isard-TMC

BR4QUO Ultime saison à dévorer dès le 12 Septembre sur CANAL+

Caplan, Morlighem et Roxane se retrouvent aux prises avec le redoutable Baba Aroudj dont Morlighem a tué le fils unique lors d’une opération de police.

Caplan et son groupe seront-ils prêts à commettre une nouvelle fois l’irréparable pour se débarrasser du caïd turc, alors même qu’ils sont dans le viseur de l’IGPN ?

Les 2 premiers épisodes seront diffusés le lundi 12 septembre à 20h55 sur CANAL+ et l’intégralité de la saison disponible dans la foulée sur myCANAL.

Pour ne rien manquer de cette ultime saison, suivez BR4QUO sur Facebook et Twitter

« Israël : sous la pression des ultras », le 06/06 à 22h55 dans Spécial Investigation sur Canal+

Dans les rues de Jérusalem, on les reconnaît à leurs longs costumes et grands chapeaux noirs. Leurs épouses portent perruques et jupes sous les genoux. Ces ultra-orthodoxes juifs prônent une lecture fondamentaliste de la Torah et refusent la société moderne. Ils forment une petite communauté radicale, très fermée, hermétique même, dont l’influence pèse de plus en plus sur la société israélienne.

Pour la première fois, une journaliste a réussi à pénétrer cet univers fermé, avec une caméra. Elle en rapporte un témoignage troublant. Un document rare, un portrait d’hommes, de femmes et de leurs très nombreux enfants, dont les projets sont une menace contre les principes démocratiques de l’état d’Israël.

Pour Spécial Investigation, Bethsabée Zarka enquête sur ces fous de dieux, qui font aujourd’hui partie de la coalition au pouvoir à Jérusalem.

« Israël : sous la pression des ultras », le 06/06 à 22h55 dans Spécial Investigation sur Canal+

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L’Effet Papillon : Émission spéciale Attentats de Bruxelles le 27/03 à 15h10 sur Canal+

« Belgique : Bruxelles en lutte », un sujet de Nathalie Gros, Jaouhar Nadi et Benoit Chaumont.

Nous avons passé notre semaine à Bruxelles à la rencontre d’un metteur en scène qui ridiculise les extrémistes, d’une mère de djihadiste qui lutte pour que d’autres ne partent pas à la mort comme son propre fils, ou encore du directeur du musée juif, première cible des attentats islamistes dans la ville. Chacun à sa façon combat la haine et la barbarie.

Leurs armes ? Le dialogue entre les communautés, l’humanité, et la lumière contre l’obscurantisme. Face à la menace, leur engagement ne faiblit pas. Ils gardent tous l’église, enfin plutôt la mosquée, au milieu du village.

« Irak : Les rescapés de Daech », un sujet de Claire Koc avec Jaouhar Nadi.

Les principales victimes de l’Etat Islamique vivent et meurent à domicile en Irak notamment. Les chiffres sont vertigineux, 19.000 civils tués en moins de 2 ans et plus de 3 500 femmes et enfants réduits en esclavage, yézidis pour la plupart. Le mode opératoire est toujours le même : les hommes sont tués, les femmes violées et les enfants embrigadés.

Voici l’histoire d’une de ces familles dont la mère et les enfants ont été kidnappés et séparés pendant 1 an avant de se retrouver il y a quelques semaines après un long calvaire. Une histoire invraisemblable, mais qui ressemble à beaucoup d’autres.

« Syrie : La prison des djihadistes », un sujet de Sofia Amara

Une guerre sainte, des milliers de victimes, comment en est-on arrivé là ? Nous sommes allés à l’origine du mal. En Syrie, derrière les murs de la prison militaire de Sednaya à 30 km de Damas et du palais présidentiel de Bachar El Assad. C’est de là que tout est parti en 2011. Le régime syrien libère alors tous les détenus islamistes. Une amnistie massive qui n’a d’autre but, selon l’opposition, que d’islamiser la révolution pour se maintenir au pouvoir. Et ça a marché puisque le dictateur syrien se présente aujourd’hui comme l’ultime rempart contre le terrorisme … et ceux-là même qu’il a relâché ! Une stratégie machiavélique que confirme un témoin clé que notre journaliste Sofia Amara a retrouvé après des mois d’enquête.

Le Biopic : Fouad Belkacem

Comme chaque semaine, retrouvez le portrait de notre héros ou anti-héros d’un jour… Le BIOPIC c’est signé David Castello Lopes avec Mathieu Bonnet et Lola Bögelmann.

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Attentats de Bruxelles : Émission spéciale de l’Effet Papillon

Suite aux attentats de Bruxelles, nos journalistes ont passé la semaine dans la capitale belge, à la rencontre de ceux qui luttent contre la radicalisation, et pour la défense du modèle cosmopolite de leur pays. Leur message : les belges ne céderont pas.

Mais après les victimes européennes de l’État islamique, nous n’oublions pas les autres victimes, toujours plus nombreuses, dans les pays où l’organisation terroriste est installée : en Irak et en Syrie.

En Irak, nous allons raconter l’histoire d’une famille yézidie, cette minorité religieuse persécutée par Daech. Tous ont été kidnappés il y a un an et demi. La mère et 4 de ses enfants ont pu s’évader l’année dernière, mais en laissant ses deux ainés derrière elle. Elle vient de les retrouver, la famille essaye maintenant de se reconstruire.

En Syrie nous allons chercher les origines du mal, dans la prison de Saydnaya. C’est de là que sont sortis tous les chefs actuels des brigades djihadistes syriennes, dont l’État islamique. Certains opposants accusent le régime de Bachar el Assad d’avoir instrumentalisé ces hommes pour islamiser la révolution et mieux l’écraser.

Enfin, dans le Biopic, le portrait de la semaine, nous allons présenter Fouad Belkacem, qui rêvait d’instaurer un califat en Belgique. Il vient d’être condamné à 12 ans de prison pour avoir envoyé plusieurs hommes faire le djihad en Syrie.

L’Effet Papillon, émission spéciale suite aux attentats de Bruxelles, dimanche 27 mars à 15h10 sur Canal+.

Direction les USA, le Malawi et la Turquie, le 14/02 dans l’Effet Papillon sur Canal+

Etats-Unis : Ted Cruz à la droite de Trump, un sujet de Hélène Eckmann
En route pour les Etats-Unis à la rencontre de l’homme qui a fait chuter Donald Trump dans l’Iowa, première étape de la course à la Maison Blanche. Le champion de la droite religieuse, Ted Cruz, 45 ans, n’a pas fait mentir cette fois les sondages… Il est arrivé 3ème cette semaine dans l’état du New Hampshire, derrière Donald Trump et Marco Rubio, mais il n’en reste pas moins un clou dans la chaussure de son rival néo-réac… Son discours pro-life, pro-arme et anti à peu près tout ferait passer son rival milliardaire pour un dangereux gauchiste. Et, s’il cartonne chez les chrétiens évangélistes, il n’a pas que des amis. C’est même un euphémisme.

Malawi, des detenus stars de la musique, un sujet de Thierry Pasquet
Comme le disait Bob Marley : « La musique peut rendre les hommes libres ». C’est en suivant ce principe qu’un producteur américain s’est rendu au Malawi, un état d’Afrique australe, l’un des plus pauvres du monde. Direction la prison de haute sécurité de Zomba, un bagne conçu pour 300 détenus, où s’entassent 2000 hommes, femmes et enfants, tous condamnés à de longues peines. C’est là, entre les rats et le sida, que ce producteur a posé son micro pour donner de la voix aux sans-voix. Un groupe a été créé, le Zomba Prison Project, 3 ans plus tard, l’album est en lice aux Grammy Awards, qui se tiennent le 15 février, dans la catégorie « Musique du Monde ».

Turquie, prison à vie pour les journalistes ? Un sujet de Marc Garmirian
Une autre histoire de prisonnier qui lui déchante, puisqu’il risque la prison à vie. Le journaliste turc Can Dündar déclarait il y a quelques mois : « Mon bureau a deux fenêtres. L’une donne sur un cimetière. L’autre sur des tribunaux. Ce sont les deux lieux les plus visités par les journalistes en Turquie… » Aujourd’hui, le patron du principal quotidien d’opposition Cumhuriyet regarde le monde, depuis la fenêtre à barreaux de sa cellule où il pourrait finir ses jours pour avoir mis en cause la politique d’Erdogan en Syrie. La Turquie, à la 149ème place au baromètre de la liberté de la presse, ne badine pas avec la critique.

Le Biopic vous présente cette semaine Lee Chun-Hee, il est signé David Castello Lopes avec Mathieu Bonnet et Rodolphe Garczarek.
Le portrait de notre héros ou anti-héros du jour… Ce dimanche, honneur au visage et à la voix de la dictature nord-coréenne

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« Versailles » : tournage de la nouvelle saison produite par CAPA Drama, Zodiak Fiction et Incendo pour la Création Originale CANAL+

CAPA Drama annonce le début du tournage de la nouvelle saison de la série VERSAILLES, succès d’audience et critique en France lors de sa diffusion sur CANAL+ à l’automne 2015, et à l’international, où la série est déjà vendue à une vingtaine de chaines majeures dont la BBC.

Le tournage de cette deuxième saison se déroulera du 3 février au 12 juillet 2016 en région parisienne : studios de Bry-sur-Marne, Château de Vaux le Vicomte, Château de Versailles, Château de Maison Lafitte, Lesigny…

Synopsis:

Louis a complété la première phase de son projet : construire, loin de Paris, le plus beau palais d’Europe… Et y enfermer la noblesse pour exercer sur elle un contrôle absolu. Mais son projet se retourne contre lui. Versailles se gangrène. Louis a créé une nouvelle civilisation, où les courtisans sont prêts à tout pour s’approcher du soleil. Derrière le vernis de l’Etiquette, ils rêvent d’ascension sociale, d’argent, de pouvoir. Tous les moyens sont bons : la morale se dégrade et les poisons se répandent…

Aveuglé par sa favorite, Madame de Montespan, Louis reste sourd aux injonctions de l’Eglise. Le plus grand ennemi qui se dresse devant Louis n’est plus la noblesse, ni même Guillaume d’Orange : c’est désormais Dieu qui menace le Roi Soleil.

VERSAILLES saison 2

Une Création Originale CANAL+

Une saison de 10 épisodes de 52 minutes

Une série créée par David Wolstencroft & Simon Mirren

Deuxième saison écrite par David Wolstencroft, Andrew Bampfield et Tim Loane

Premiers épisodes réalisés par Thomas Vincent

Produite par CAPA Drama, Zodiak Fiction, Incendo

Avec George Blagden, Alexander Vlahos, Tygh Runyan, Stuart Bowman, Anna Brewster, Lizzie Brocheré, Evan Williams, Elisa Lasowski, Maddison Jaizani …

Direction la Bolivie et le Soudan du Sud, le 31/01 dans l’Effet Papillon sur Canal+

Bolivie : « Fuck le système », bloqués au 19ème siècle, un sujet de Benoit Chaumont avec Julien Ferrat
« Fuck le système » 4ème et dernier épisode. Après les oubliés de l’Amérique, les maoïstes nostalgiques et le paradis des derniers hippies, Benoit Chaumont nous emmène en Bolivie à San Jose de Chiquitos dans une communauté peuplée de descendants d’Allemands. Ils vivent comme au 19ème siècle, il s’éclairent à la bougie et parlent une langue morte. Ce sont des mennonites et pour eux, l’enfer c’est les autres.

Soudan du Sud, la guerre oubliée, un sujet de Thierry Pasquet
Nous partons maintenant dans le plus jeune État au monde, le Soudan du Sud. Il y a exactement 5 ans, plus de 98% de la population a voté pour l’indépendance du pays. Mais à peine 2 ans plus tard, une terrible guerre civile a commencé : plus de 50 000 morts, et 500 000 déplacés. Notre reporter a pu se rendre quelques jours dans l’un des plus grands camps de réfugiés du pays, où s’entassent les victimes de la guerre, oubliées de tous. Quelques jours pour tenter de comprendre comment passer des espoirs de l’indépendance à l’horreur de la guerre.

Le Biopic vous présente cette semaine les petits candidats à l’élection présidentielle américaine.
Il est signé David Castello Lopes avec Mathieu Bonnet et Rodolphe Garczarek.

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« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », le 25/01 à 22h35 dans « Spécial Investigation » sur Canal +

En 1980, un avion de ligne Italien assurant la liaison Bologne-Palerme s’écrase avec 81 passagers à bord. Très vite, une explication rocambolesque circule : un activiste Italien aurait fait exploser –accidentellement- une bombe à l’arrière de l’avion. Problème : cet activiste dément : il n’était pas dans l’avion !

Parallèlement, plusieurs employés des bases aériennes ayant été témoins de l’accident sur leurs écrans radars acquièrent la conviction que l’appareil a été abattu par un missile. La France, dont la base de Solenzara en Corse était proche du lieu de l’accident, rechigne étrangement à collaborer à l’enquête.

Sollicitées par la justice Italienne, les autorités Françaises vont même multiplier déclarations approximatives et contre-vérités : la base Française aurait été « fermée à 17h » le jour du drame, ce qui se révélera inexact, « aucun porte avion Français n’était en mer le jour du crash », ce qui là encore, se révélera inexact.

Pourquoi tant de mensonges ? Selon l’ancien président Italien, Cossiga, dans un contexte de fortes tensions entre le président Valéry Giscard D’estaing et le colonel Khadafi, l’avion de ligne Italien aurait été abattu par erreur par un chasseur Français lancé à la poursuite de MIG Lybiens empruntant illégalement l’espace aérien Italien. Et depuis 35 ans, Paris ferait tout pour cacher cette terrible – et inavouable – bavure.

« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », une enquête de Emmanuel Ostian pour « Spécial Investigation« , le 25/01 à 22h35 sur Canal +

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