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« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », le 25/01 à 22h35 dans « Spécial Investigation » sur Canal +

En 1980, un avion de ligne Italien assurant la liaison Bologne-Palerme s’écrase avec 81 passagers à bord. Très vite, une explication rocambolesque circule : un activiste Italien aurait fait exploser –accidentellement- une bombe à l’arrière de l’avion. Problème : cet activiste dément : il n’était pas dans l’avion !

Parallèlement, plusieurs employés des bases aériennes ayant été témoins de l’accident sur leurs écrans radars acquièrent la conviction que l’appareil a été abattu par un missile. La France, dont la base de Solenzara en Corse était proche du lieu de l’accident, rechigne étrangement à collaborer à l’enquête.

Sollicitées par la justice Italienne, les autorités Françaises vont même multiplier déclarations approximatives et contre-vérités : la base Française aurait été « fermée à 17h » le jour du drame, ce qui se révélera inexact, « aucun porte avion Français n’était en mer le jour du crash », ce qui là encore, se révélera inexact.

Pourquoi tant de mensonges ? Selon l’ancien président Italien, Cossiga, dans un contexte de fortes tensions entre le président Valéry Giscard D’estaing et le colonel Khadafi, l’avion de ligne Italien aurait été abattu par erreur par un chasseur Français lancé à la poursuite de MIG Lybiens empruntant illégalement l’espace aérien Italien. Et depuis 35 ans, Paris ferait tout pour cacher cette terrible – et inavouable – bavure.

« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », une enquête de Emmanuel Ostian pour « Spécial Investigation« , le 25/01 à 22h35 sur Canal +

« Elise Boghossian, les aiguilles contre Daech », le 23/01 à 18h35 dans Arte reportage

Française d’origine arménienne, Elise Boghossian quitte tous les mois son cabinet d’acupuncture parisien pour soigner les réfugiés syriens et irakiens exilés au Kurdistan.

Grâce à deux bus transformés en dispensaires mobiles, son équipe de médecins, infirmiers et psychologues, eux-mêmes réfugiés, accède aux zones oubliées des autres ONG, tout près de la ligne de front avec Daech.

Ils prodiguent en moyenne 300 soins par jour, dans 18 sites différents, à des patients chrétiens et yézidis qui souffrent de blessures physiques, mais aussi psychologiques de la guerre.

Elise aide aussi à libérer la parole de jeunes femmes yézidis qui ont été traitées comme esclave par les djihadistes.

Petite-fille de rescapés du génocide des arméniens en 1915, c’est en référence à son propre passé qu’elle a décidé de s’engager dans l’aide aux victimes de guerre, et de faire de l’acupuncture un instrument humanitaire et politique.

Et lorsqu’Elise rencontre des réfugiés chrétiens arméniens qui ont fui Mossoul, c’est toute son histoire personnelle qui remonte à la surface. A 100 ans d’intervalle, la même tragédie se répète, parfois dans les mêmes lieux.

« Elise Boghossian, les aiguilles contre Daech », réalisé par Marc Garmirian, le 23/01 à 18h35 dans Arte reportage

Plus de 100 000 fans sur Facebook pour l’Effet Papillon

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« Chantier XXL : Pétrolier », le 21/01 à 20h45 sur RMC Découverte

C’est l’histoire d’un projet hors du commun : le projet, CLOV, pensé en France, entre Paris et Pau, qui prend forme entre la Corée du Sud, la Chine et la Norvège avant de larguer les amarres pour l’Angola. Ce défi est titanesque : concevoir, construire et installer un FPSO, un bateau-usine-plateforme pétrolière.

Le FPSO peut extraire du pétrole depuis plusieurs dizaines de puits en même temps, le raffiner et le stocker, tout en se déplaçant pour changer de puits lorsque les réserves d’un forage sont épuisées.

Après 4 années de travail intense, l’équipe de CLOV produira la première goutte de pétrole de ce gisement incroyable… si tout se passe comme prévu.

« Chantier XXL : Pétrolier », le 21/01 à 20h45 sur RMC Découverte

Réalisation : Selma Schnabel
Production : Studio CAPA

Au sommaire de l’Effet Papillon du 13/12 à 15h10 sur Canal+

Afghanistan, enquête sur l’hôpital bombardé – Un sujet de Laurent Hamida
Que s’est-il passé à Kunduz en Afghanistan dans la nuit du 2 au 3 octobre dernier ? Les raids américains sur l’hôpital de Médecins sans Frontières étaient-ils intentionnels ? S’agit-il, comme l’affirme l’ONG, d’un crime de guerre ? Après avoir multiplié les versions contradictoires, les Etats-Unis jurent aujourd’hui qu’il s’agit d’un accident. Seule certitude : les frappes ont tué 30 civils dont 12 membres de MSF. MSF, qui dénonce un raid destiné à « tuer et à détruire », réclame une enquête indépendante. En vain. Nous nous sommes donc rendus sur place, là où aucune caméra occidentale ne s’aventure, pour mener la nôtre. Les conclusions de notre reporter sont accablantes. « Bombe à retardement », c’est un document exclusif.

Chine, femmes gardes du corps – Un sujet de Ibar Aibar
En Chine, les jeunes filles rêvent moins du prince charmant que de devenir les « Lara Croft » de la protection rapprochée. Elles sont de plus en plus nombreuses à embrasser un métier, jusque là chasse-gardée des hommes et au cours des 5 prochaines années, 600.000 gardes du corps femmes devraient débouler sur le marché. La profession se féminise nettement, et la demande explose car elles ont l’avantage d’être plus discrètes que leurs homologues masculins. Et tout aussi désarmantes.

Italie, l’équipe de foot des migrants – Un sujet de Alexandre Duyck avec Charles Baget
On savait que le football était un facteur d’intégration. En voilà une belle illustration. Près de 100.000 migrants ont rejoint l’Italie depuis le début de l’année. Voici l’histoire d’une équipe de foot exclusivement composée de migrants venus d’Afrique et recrutés dans les camps d’hébergements de Rosarno en Calabre, dans le Sud de l’Italie. La plupart des joueurs de l’équipe de Koa Bosco, c’est son nom, vit sous des tentes ou dans des containers aménagés en logements… Mais avec la rage de ceux qui n’ont plus rien à perdre, ils se sont mis à gagner et en 2 ans à s’imposer en « seconde catégorie », l’équivalent de notre huitième division. Un petit miracle

Le Biopic : Kong Hee & Ho Yeow Sun
Le portrait de notre héros ou anti-héros du jour … En ce dimanche, honneur à un couple de pasteurs de Singapour qui a littéralement siphonné les caisses de son église pour lancer la carrière pop’ de Madame… « Dieu m’a donné la voix » c’est le biopic et il est signé David Castello Lopes avec Mathieu Bonnet et Elise Desmars-Castillo

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« Morbihan, les trésors du Golfe », le 12/12 à 8h20 dans « Vous Êtes Ici » sur France 24

Au Sud de la Bretagne se cache le Golfe du Morbihan, l’un des plus beaux écrins maritimes du monde.

Toutes les 6 heures, 400 millions de mètres cubes d’eau entrent ou sortent par ce goulet de moins d’un km. Ce gigantesque chassé croisé, à l’abri de l’océan, crée un écosystème exceptionnel et provoque des courants d’une grande intensité.

« Vous êtes ici » vous fait découvrir les perles de cette baie, grâce à des amoureux du Golfe.

« 21 jours aux urgences », le 08/12 à 22h45 dans Infrarouge sur France 2

Qui n’a pas accompagné un proche ou ne s’est pas lui-même fait soigner dans un service d’urgences ?

18 millions de personnes passent chaque année par les urgences, un chiffre qui ne cesse d’augmenter depuis la fermeture progressive des hôpitaux de proximité et la suppression de l’obligation de garde par les médecins de ville. Résultat, les reproches vont bon train concernant les urgences : longues heures d’attente, des locaux pas toujours accueillant, un personnel débordé.

Pour la collection 21 Jours et France 2, nous avons voulu comprendre, concrètement, dans quelles conditions les médecins, infirmiers et aides-soignants travaillent ? Quels outils leur fournit-on pour nous soigner, quels que soient nos moyens ou le mal qui nous ronge ?

Alexandra Alévêque a travaillé comme aide-soignante aux urgences de l’hôpital Lyon-Sud. Durant 3 semaines, elle a effectué les mêmes horaires que ses collègues, travaillant 12 heures d’affilée, de jour, comme de nuit.

En tant qu’aide-soignante, elle n’a pas eu de geste médical à prodiguer, mais a accueilli les malades, pris leur tension et température, les a aidé à troquer leurs vêtements de ville contre une blouse d’hôpital. Elle a choyé les papis et mamies durant de longues heures d’attente, elle a prêté main-forte aux médecins et infirmiers dans leur quotidien, brancardant les malades dans les différents services de l’hôpital ou aidant les soignants à maîtriser un malade quand la tension devenait parfois trop forte.

L’hôpital Lyon-Sud est une ville dans la ville. 5000 personnes y travaillent et près de 1000 malades y sont soignés chaque jour. Les urgences de l’établissement sont souvent la porte d’entrée pour les patients qui y seront soignés. Près de 100 personnes peuvent y être admises chaque jour. Certains en sortent au bout de quelques heures, d’autres sont admis dans un service de l’hôpital ou dans d’autres établissements lyonnais.

Comme c’est le cas au niveau national, 1/3 des hommes et femmes qui arrivent aux urgences sont des personnes âgées, une population fragile, qui mérite une grande attention. Cependant, tout le monde doit être logé à la même enseigne aux urgences. SDF, jeunes, vieux, riches, l’hôpital public nous offre à tous la possibilité d’être soigné, mais les moyens mis en oeuvre sont-ils suffisants ?

Le service dans lequel Alexandra a travaillé n’est ni mieux ni moins bien loti qu’un autre, il est simplement représentatif des grandes difficultés que subissent les urgentistes en France. Cependant, Alexandra Alévêque a côtoyé des médecins qui croient encore à leur métier et son utilité, malgré des nuits compliquées, épuisantes moralement et physiquement.

Xavier Jacob, le chef de service, les médecins, Tina, Marion, Pierre, Mohamed et tous les autres lui ont ouvert les portes du service et vêtue de l’uniforme des soignants, elle a partagé leur quotidien.

Avec les infirmiers Maxence, Delphine, Christine, elle a travaillé des nuits entières, de 19h à 7h00 du matin, elle a vécu les coups de speed, la valse permanente des ambulances qui amènent les patients, les salles d’attente bondées, les plaintes, les fous rires et coups de barre à 3h du matin, les repas nocturnes, la violence de certains patients.

Auprès des aides-soignants, Josiane et Christine, elle a mesuré l’importance des petits gestes, des attentions qui permettent d’améliorer une attente souvent longue, dans des locaux exigus. Pour 1200 euros nets par mois, ils se donnent corps et âme, durant des heures, oubliant la dureté de tâches souvent ingrates.

Leur métier est un sacerdoce, d’une grande complexité et cependant, ils ne quitteraient pas les urgences pour tout l’or du monde. Mais combien de temps encore ces services tiendront-ils si on n’y prête pas plus attention ?

« 21 jours aux urgences », incarné par Alexandra Alévêque et réalisé par Richard Puech, 08/12 à 22h45 dans Infrarouge sur France 2

« Objectif 2050 : je fabrique durablement », le 29/11 à 20h50 sur Planète+

Dans le monde 36% des émissions de gaz à effet de serre sont issus de l’industrie et du secteur tertiaire. D’ici 2050, pour limiter à 2 degrés le réchauffement climatique, l’objectif de l’humanité est simple : diviser par trois les émissions de gaz à effet de serre liés à nos activités… Alors comment faire pour produire les biens et les services qui nous seront nécessaires tout en respectant l’environnement ? Comment l’industrie va-t-elle s’adapter ?

Ce nouveau monde qui produit plus propre existe déjà. Avec des usines qui économisent les ressources naturelles comme UPM en Finlande, l’un des leaders de la papeterie mondiale. D’autres construisent de nouvelles usines qui n’utilisent que des énergies renouvelables. C’est le cas de l’usine Renault au Maroc.

Les déchets des usines sont parfois la matière première d’autres usines. À Kalundborg au Danemark une dizaine de sociétés différentes ont tissé des liens, que ce soit pour échanger de l’eau, de l’énergie, des matériaux issus des déchets. Une « symbiose industrielle » qui permet d’optimiser la production et de limiter les émissions de gaz à effet de serre.

D’autres entreprises inventent de nouveaux modes de production, avec des matériaux biodégradables ou recyclables. C’est le cas de l’Allemand Trigéma qui vend des tee shirts « compostables », ou le français Tarkett qui recycle du linoleum usagé pour fabriquer de nouveaux revêtements de sol.

Cette révolution de l’industrie ne se fait pas non plus sans les consommateurs, de plus en plus avertis et responsables, qui cherchent à acheter des produits durables, réparables et recyclables.

« Objectif 2050 : je fabrique durablement », réalisé par Gaëlle Le Garrec et Valérie Zoydo, le 29/11 à 20h50 sur Planète+

« Passion patrimoine : sur les chemins du Gers », le 25/11 à 20h50 dans « Des racines et des ailes » sur France 3

Le Gers, département le plus rural de France est au coeur de la Gascogne. C’est une mer de collines et de vallées qui unie Pyrénées et Garonne, Méditerranée et Atlantique. Dans le Gers, aucune grande voie de communication ne vient perturber les paysages et ce département se distingue par un patrimoine exceptionnel. De voies romaines en mottes castrales, d’églises en castelnaux et bastides, chaque colline abrite des trésors.

Notre voyage débute avec Bruno Sirven géographe et enfant du pays. Il tient de son enfance passée dans la ferme d’Armagnac une connaissance aigüe des paysages et des enjeux environnementaux. Il se bat pour une agriculture écologique et l’agroforesterie. Il fait replanter des haies d’arbres au milieu des cultures.

Charlotte de Malet, historienne de l’art et guide conférencière nous entraîne sur les routes du Gers. Installée dans le Gers depuis 20 ans, elle nous fait découvrir Auch et son immense Cathédrale qui abrite des décors uniques : des vitraux révolutionnaires. Elle nous entraîne également dans la bastide de Bassoues dominée par le plus haut donjon de Gascogne. Puis elle roule vers Barran avec son mystérieux clocher hélicoïdal et à Condom la capitale de l’Armagnac.

Laurent Barthe, jeune naturaliste passionné, s’est fixé une mission : préserver la faune et la flore de sa région. Il nous fait découvrir l’Adour, fleuve capricieux qui traverse le Gers, qui abrite un sanctuaire de cistudes, ces petites tortues d’eau fragilisées par la pollution. Au sud du département dans un lieu préservé il protège une des dernières colonies d’écrevisses à pattes blanches de France.

Nous vous proposons aussi de découvrir le Gers rural avec Christophe Masson, éleveur. Après avoir travaillé comme ingénieur à Toulon, Christophe a tout quitté pour reprendre la ferme de son grand-père. Il a fait un pari : sauver le boeuf nacré du Gers, une race endémique qui a failli disparaître. Aujourd’hui, il produit une viande jugée exceptionnelle par les chefs de la région.

Les paysages gersois sont un appel à la poésie, et à la contemplation. Le photographe Pierre-Paul Feyte est tombé amoureux fou de ce département. Il aime saisir les brumes du lever du jour sur les châteaux et les paysages. Pour son travail Pierre-Paul nous entraîne sur la route des châteaux gascons des routes de crêtes. Il nous fait également découvrir le ciel étoilé du Gers. A Fleurance, il rejoint des astronomes passionnés dans la ferme des étoiles.

Avec Denize Lambert nous perçons les mystères du Pastel. Cette petite fleur jaune vif qui donne une teinture bleue unique. Au XVIe siècle, elle était exportée depuis le Gers à travers toute l’Europe, avant de disparaître au profit de l’indigo. Aujourd’hui, la culture du pastel renaît. Denize et son équipe de teinturiers utilisent les mêmes techniques que leurs prédécesseurs du XVIe siècle. Les tissus immaculés sortent jaune vif d’un bain bleu foncé, puis ils prennent une teinte vert émeraude avant de s’oxyder et de devenir bleu profond.

Le Gers est également une terre de vigne. Dans le vignoble de Saint Mont se trouve une vigne unique en France. La seule à être classée à l’inventaire des monuments historiques. Ce trésor végétal a résisté au XIXème siècle aux attaques du phylloxera. Aujourd’hui, elle est protégée par son propriétaire et des scientifiques.

« Sur les chemins du Gers », entre collines et châteaux, nous vous proposons un voyage exceptionnel dans ce département préservé aux portes des Pyrénées.

« Passion patrimoine : sur les chemins du Gers », réalisé par Hélène Gautier et Franck Dhelens, le 25/11 à 20h50 dans « Des racines et des ailes » sur France 3

« Objectif 2050 : je réinvente l’économie », le 22/11 à 20h50 sur Planète+

Notre économie globalisée n’a jamais été aussi dépendante du pétrole, du charbon, du gaz. Des énergies fossiles qui coûtent très cher, et qui menacent gravement notre planète. Elles sont responsables de 65% des émissions de gaz a effet de serre.

L’économie de marché, accuse une dette budgétaire, écologique et sociale historique. Pour certains Il est toujours temps de changer la donne, et de remplir l’un des objectifs du millénaire : limiter le réchauffement climatique a 2 degrés d’ici 2050, en divisant par 3 nos émissions de gaz a effet de serre.

Pour parvenir à une économie durable, ces précurseurs réinventent notre rapport, au temps, au travail, à l’argent, et aux autres. Ils relocalisent ainsi l’économie, comme à Bristol en Angleterre ou a été créée une nouvelle monnaie pour favoriser les échanges locaux.

Des entrepreneurs font le pari du « produit et fabriqué » 100% local, pour éviter ainsi les transports. A Lyon un jeune brasseur produit des bières dont tous les ingrédients sont issus d’un petit territoire.

D’autres revalorisent nos déchets dans de nouveaux centres de tri, ou des recycleries, pour créer de nouvelles richesses.

Des éco-citoyens se regroupent pour partager leur savoir-faire et produire autrement, d’une manière plus collaborative et adaptée à l’environnement.

Une révolution en marche qui bouleverse le monde du travail, abolit les hiérarchies et remet l’humain au coeur de son éco-système.

« Objectif 2050 : je réinvente l’économie », réalisé par Gaëlle Pialot et Valérie Zoydo, le 22/11 à 20h50 sur Planète+