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CAPA et PSG TV en coproduction pour Amazon Prime Video

 

Amazon Prime Video annonce l’arrivée d’un documentaire exclusif sur le Paris Saint-Germain

Cette nouvelle série documentaire sera lancée en 2020 en exclusivité sur Prime Video, à l’occasion du 50ème anniversaire du PSG

Amazon Prime Video a annoncé aujourd’hui un nouveau projet inédit, mettant en lumière le club de football français le plus titré de l’histoire, le Paris Saint-Germain. Au travers de ses quatre épisodes, cette mini-série évènementielle offrira une vision unique de ce qui rend ce club si spécial: la passion qui anime ses joueurs, son coach, son président et de l’ensemble des équipes du Paris Saint-Germain. Cette série documentaire, coproduite par PSG TV et CAPA, réalisée par Manuel Herrero, sera disponible exclusivement sur Prime Video dans le monde entier, à l’exception de la Chine et du Moyen-Orient.

Les membres Prime vont être placés au cœur du club et vont découvrir l’ADN du PSG. Avec des extraits exclusifs de cette saison et des 50 années d’existence du club avec un niveau d’accès jamais autorisé auparavant, cette mini-série présente le club sous un angle inédit au travers d’interviews de joueurs emblématiques du passé et de l’équipe actuelle, mais aussi d’entraîneurs, supporters et dirigeants du club. Il repose aussi sur du contenu présentant le quotidien du club et comment il se prépare pour ses grandes échéances à l’échelle nationale et européenne. Avec des témoignages de grandes figures du club, cette série documentaire sans précèdent sur les coulisses du PSG montrera les hauts, les bas et les défis quotidiens que rencontre l’un des clubs de football les plus iconiques de la planète. Il montrera aussi comment le club s’est développé au travers de ses cinq premières décennies d’existence, dans un paysage footballistique en perpétuel changement, tout en étant attentif à rester fidèle à ses valeurs d’excellence, de performance et son flair parisien.

« Tous surveillés : 7 milliards de suspects », à voir le 21 avril 2020 à 20h55 sur Arte

Berlin, Barcelone, Manchester, Paris, Nice, Bruxelles, le Caire, Manille… Le terrorisme frappe partout. Ces quinze dernières années, les attentats sont passés de 2000 à près de 14 000 par an dans le monde. Quant au nombre de tués, il a été multiplié par neuf.

Face à cette menace, de nombreux pays misent désormais sur la technologie pour assurer leur sécurité. En France, la police peut aujourd’hui compter sur des caméras intelligentes qui analysent les comportements des passants. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras sont capables de repérer les criminels même de dos, à leur simple démarche. En 50 ans, l’intelligence artificielle a donné aux autorités un pouvoir jamais égalé : celui de tout voir, tout entendre, partout, tout le temps.

Jusqu’où ce désir de sécurité va-t-il nous mener ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ? La révolution numérique va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspect ?

Des centres de vidéosurveillance de la police française, aux nouveaux « goulags numériques » de la province du Xinjiang en Chine, en passant par les coulisses de la défense américaine, cette investigation internationale montre pour la première fois comment sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance.  Caméras à reconnaissance faciale, détecteurs à émotions, drones tueurs autonomes…Cette enquête nous entraine dans les rouages de cette machine de surveillance mondiale et donne la parole aux premières victimes de ce flicage hors norme.

Ce film dévoile la relation incestueuse entre les industriels de la sécurité et les grandes puissances. Un mariage qui en Chine a donné naissance à une nouvelle forme de régime : la dictature 3.0.  Fichage Adn de la minorité musulmane, arrestations « préventives » arbitraires, mise en place d’un système de notation des citoyens…Grâce à l’irrésistible ascension de ses « licornes » (des conglomérats valorisés à plus d’un milliard de dollars), l’empire du milieu dispose désormais d’un arsenal qu’aucun régime totalitaire n’a encore jamais possédé. Un outil de contrôle permanent de la population, particulièrement intrusif et inquiétant, qui cherche à s’exporter dans le monde entier.

Crédits

Un film de Sylvain Louvet
Une production CAPA Presse
Durée 90 minutes

Diffusion 21 avril 2020 à 20h55 sur Arte

« Jump! », notre nouvelle série documentaire sur France.tv Slash, en ligne dès ce 20 novembre

JUMP! est une série de quatre portraits de stars montantes de la musique française – Clara Luciani, Lujipeka, Chilla et RK – au moment où leur jeune carrière bascule.

À travers ces portraits d’artistes engagés et audacieux, JUMP! est une plongée au cœur d’une jeunesse bouillonnante, mais aussi la photographie d’une génération. Avec des séquences intimes et des entretiens spontanés, découvrez les sources d’inspirations et les raisons qui poussent ces artistes à entreprendre cette aventure extraordinaire. À découvrir dès ce 20 novembre sur France.tv Slash.

Épisode 1 : Clara Luciani

12 avril 2019, ce soir c’est le premier Olympia de Clara Luciani. En moins de deux ans, la star montante de la pop française est passée de l’anonymat le plus total à la reconnaissance ultime, avec sa Victoire de la musique et ses prestations sur plus de 200 scènes. En moins de deux ans, Clara a tout connu ou presque. Voix grave et assurée. Icône féministe. Clara Luciani transpose son récit personnel en un discours universel et se démarque par sa douceur, son intelligence et sa grande générosité.

Ce film raconte cette année si singulière pour elle ainsi que son premier Olympia, tout en peignant un portrait charnel, sensible, intime et puissant. Sans détour ni filtre, ses témoignages se mêlent à des images inédites, provoquant un shoot d’émotions.

 

Crédits

Réalisation : Benjamin Montel / Antonin Boutinard Rouelle
Production : Manuel Herrero

« L’Étincelle », seul programme français des MIPCom Diversify TV Excellence Awards 2019

Le documentaire « L’Étincelle » de Benoît Masocco est le seul programme français figurant parmi les 21 finalistes des MIPCom Diversify TV Excellence Awards 2019, dans la catégorie « Représentation #LGBTQ+ ».

Le lauréat sera annoncé le lundi 14 octobre lors de la cérémonie de remise des prix lors du MIP à Cannes.

C’est une histoire que peu de gens connaissent : celle des lesbiennes, trans et gays qui ont vécu la répression des années 60, la libération sexuelle des années 70, la tragédie du Sida des années 80 avant de lutter pour le droit au mariage dans les années 2000…

Une histoire de la lutte LGBT des années soixante à nos jours, après que l’étincelle des émeutes de Stonewall a embrasé l’action militante qui, de New York, devait se répandre partout dans le monde.

De San Francisco à Paris en passant par Amsterdam, entre les premières Gay Pride, l’élection d’Harvey Milk, la « dépénalisation » française, l’épidémie du Sida et les premiers mariages homosexuels, ces quelques décennies de lutte s’incarnent au travers de nombreux témoignages d’acteurs et actrices de cette révolution arc-en-ciel.

 

« 1995-2015 : 20 ans de révolution Gay ! », un documentaire réalisé par Michel Royer pour les 20 ans de la Nuit Gay, le 20/10 à 20h50 sur Canal+

23 Juin 1995, Canal+ consacre une « Nuit Gay » à la fierté homosexuelle et fait vivre à la télévision française une révolution, après des décennies de silence ou de dérision sur la réalité vécue par les homos en France. Le lendemain, à Paris, pour la première fois la Gay Pride devient une manifestation de masse…

Vingt ans plus tard, les émissions, les débats et les films autour de l’homosexualité ne se comptent plus. Et le “mariage pour tous”, malgré les nombreuses et violentes réactions, teintées d’homophobie, des opposants à cette mesure d’égalité est inscrit dans la loi.

Pour marquer l’événement que constitue la 20ème Nuit Gay de Canal+, l’agence CAPA consacre un documentaire à ces vingt années d’histoire particulières. Un film de 90 minutes, intitulé « 1995-2015 : 20 ans de révolution Gay ! » et réalisé par Michel Royer, l’auteur du film d’ouverture de la première Nuit Gay de 1995, « Demain Monsieur », consacré à la représentation des homosexualités à la télévision.

Ce film d’archives et de témoignages met en lumière l’incontestable évolution de la société française sur les questions de la visibilité, de l’acceptation et des droits des personnes gays, lesbiennes, bi et trans. Il permet également de mesurer le chemin parcouru depuis vingt ans et d’évaluer quelle suite aura connue la “révolution” de 1995…

Construit à partir d’extraits d’archives les plus marquants, ce film revient sur vingt années d’histoire. Retour sur les étapes et les temps forts de cette période, sur les thèmes débattus, sur les modes de représentation, sur l’expression des paroles militantes, médiatiques et politiques et sur les personnalités emblématiques. Adrien Naselli et Séléna Théret, deux jeunes journalistes, sont allés à la rencontre de dix personnalités de premier plan, qui, pour faire vivre ce tableau panoramique, nous donnent leur sentiment et partagent leurs réflexions, tout au long du film. Que faisaient-elles en 1995 ? Où en était la société ? Comment ont-elles vécu et ressenti les épisodes successifs de cette histoire ? Comment jugent-elles la société actuelle, au regard des problématiques d’hier et d’aujourd’hui ?

« 1995-2015 : 20 ans de révolution Gay ! », un documentaire réalisé par Michel Royer et produit par Jean-Marie Michel, le 20/10 à 20h50 sur Canal+

« Défauts en série : Tous cobayes ? », un documentaire de Michel Guétienne, le 18/10 à 20h40 sur France 5

Des airbags qui tuent au lieu de sauver, des smartphones qui se plient en deux dans la poche, des aspirateurs qui n’éliminent que 5% de poussière… Ce sont des défauts en série, et tous les consommateurs peuvent un jour en être victimes. Pour gagner du temps, ou de l’argent, les fabricants commercialisent des produits parfois mal conçus. Les acheteurs serviront de cobayes…

Automobile, électroménager ou Hi-Tech, les défauts sont d’abord la rançon de la course à l’innovation. Pour sortir leurs produits avant la concurrence, de nombreux fabricants ne laissent pas à leurs ingénieurs le temps de les tester.

La réduction des coûts aboutit aux mêmes conséquences. Certains objets jusque-là inoffensifs, comme de simples ustensiles de cuisine, se transforment en engins dangereux et parfois même mortels. En cause, le manque de contrôles en usine, notamment pour les produits importés du sud-est asiatique.

L’industrie automobile n’échappe pas à cette loi des séries. Chaque année, plusieurs millions de véhicules sont rappelés par les constructeurs pour modification. Et ce n’est là que la partie reconnue par les marques. Lorsque la sécurité n’est pas en jeu, il arrive qu’on cache au client l’origine d’une panne. Un mensonge concerté, pour limiter le coût des indemnisations.

Lorsque les produits défectueux constituent plus une gêne pour l’utilisateur qu’une menace pour sa vie, les chances d’obtenir réparation sont très minces. Sauf aux États Unis : les défauts y sont traqués par une armada d’avocats. La loi les a dotés d’une arme redoutable : la class action. Résultat : de grandes marques comme Apple, ou Toyota, ont dû, après avoir minimisé certaines erreurs de conception, verser des millions de dollars à leurs clients.

« A poil sous la toge », un documentaire d’Olivier Ghis, le 05/09 à 23h15 sur Canal+

Alors que l’Histoire fait un retour fracassant dans la pop culture (voir le succès des deux derniers Goncourt, Au revoir Là-Haut et Pas Pleurer, le carton des émissions TV et radios historiques et des séries comme Vikings ou Tudors), il est temps de se demander comment le X revisite l’Histoire avec un grand H. Avec davantage d’alcôves que de cours magistraux, plus d’ébats, d’intrigues galantes que de batailles homériques. Le tout en préférant gaillardement le kitsch à la vraisemblance, le fantasme d’une époque à sa réalité. Normal, c’est plus sexy, c’est plus drôle. C’est du porno.

Si les historiens se sont rarement penchés sur le porno, le porno, lui a toujours eu un faible pour l’Histoire. Un goût qui lui est d’ailleurs venu très tôt, dès la naissance pour ainsi dire puisque les tout premiers films X répertoriés sont des saynètes à costumes : une évocations des mousquetaires côté français (A l’Ecu d’Or, 1908) et un western côté américain (A Free Ride, 1915).

A l’heure où fleurissent les émissions historiques (Secrets d’histoire, etc.), on peut se demander pourquoi. Pourquoi un genre aussi déshabillé que le cinéma X est-il si féru de films à costumes, d’époques désuètes alors que mettre à poil ses contemporains est si simple, si commode et tellement moins coûteux ?

C’est que l’Histoire, passée à la moulinette du porno, s’éloigne des Lagarde et Michard pour permettre toutes les licences, tous les fantasmes. Aucun survivant n’est là pour vous contredire, donc la liberté est totale. D’autant que certaines périodes, aux moeurs réputées plus lâches, offrent un terrain de jeux sans limite…

Ainsi, le porno, on s’en doute s’est amusé de la Préhistoire (Prehistorix, Homo Erectus) à fait grand cas de la Rome Antique (Gladiators, Cléopâtre), des moeurs dissolues de Versailles (Les portes jarretelles de la Révolution, Initiations d’une Jeune marquise) ou de la Belle Epoque (Dodo, petite fille au bordel, Code Name : Mata-Hari).

On ne manquera pas d’ailleurs d’établir un parallèle troublant avec la floraison, depuis quelques années, de séries mainstream historiques… Et particulièrement hot. De Rome à Spartacus, des Tudors à Vikings, toutes ces productions comptent au mois une scène érotique par épisode, voire davantage. Spartacus battant sans doute tous les records puisque certains épisodes s’ouvrent carrément sur des scènes d’orgie, etc.

Bref, le porno, une fois de plus en dit long, sous ses airs de distraction légère, sur nos contemporains et leur rapport a l’histoire, qu’ils préfèrent pimentée et croustillante, que poussiéreuse et rébarbative. Qui pourraient leurs en vouloir.

"Mittal : La face cachée de l'empire", un documentaire de Jérôme Fritel, le 16/09 à 20h50 sur Arte

Le groupe Mittal est le n°1 mondial de l’acier. Plus qu’une entreprise, c’est un empire présent dans 60 pays qui emploie 250.000 personnes.

Issu d’une famille modeste de Calcutta, Lashkmi Mittal est devenu, en l’espace de quinze ans, l’un des hommes les plus riches au monde. Plus qu’une réussite, Mittal incarne un symbole. Celui des mérites du nouveau capitalisme, libéral et mondialisé, et de la revanche du monde émergent sur les nations industrialisées.

Accueilli comme un sauveur en 2006, à la faveur de son OPA sur le groupe Arcelor, Mittal est aujourd’hui perçu comme le fossoyeur de la sidérurgie européenne.

Touchée de plein fouet par la crise économique, sa multinationale criblée de dettes, a perdu 80% de sa valeur, accumule les pertes et ferme ses usines les unes après les autres en Europe. Un déclin brutal qui révèle l’autre visage d’un modèle économique obsédé par la rentabilité à court terme, qui privilégie l’exploitation des richesses au profit des seuls actionnaires, au détriment de l’intérêt collectif.

L’échec du modèle Mittal illustre également la perte d’influence d’un continent, l’Europe, qui apparaît comme le maillon faible de la mondialisation. Impuissante à enrayer sa désindustrialisation, elle apparaît incapable, contrairement aux Etats-Unis et à la Chine, de protéger ses champions industriels qui ont assuré sa prospérité et de proposer un nouveau modèle économique porteur d’avenir pour les futures générations.

Ce documentaire est une investigation rigoureuse au sein de l’Empire Mittal. Pour la première fois certains de ses proches collaborateurs, actuels et passés, ont accepté de témoigner et de raconter l’extraordinaire destin d’un homme qui a voulu être le Roi de l’Acier. Pour le meilleur et pour le pire.

À travers l’analyse de la grandeur et du déclin d’un des groupes les plus puissants de la planète, cette enquête dévoile les secrets d’un système, largement inspiré par les méthodes et la mentalité de la finance, qui relève plus du « Monopoly » que du capitalisme industriel.

[Appel à projets documentaires] Deuxième édition du concours PREMIÈRE CAMÉRA

AB Groupe, Capa, France Info, KissKiss-BankBank et Racontr lancent la seconde édition de PREMIÈRE CAMÉRA, l’appel à création dédié au documentaire dans tous ses états et ouvert à tous les jeunes talents.

Pour participer, déposez votre projet puis lancez et réussissez votre collecte sur le site KissKissBankBank entre le 19 mai et le 14 septembre 2014. Les jurés désigneront en septembre les deux projets lauréats, parmi les collectes réussies !

Pour tout savoir : http://www.kisskissbankbank.com/premiere-camera
Pour lancer votre projet : http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/new

Participe à un documentaire sur la détox’ digitale pour Canal+

Dans le cadre d’un documentaire pour Canal +, Pierre O lance un appel à candidatures pour effectuer une cure de détox’ digitale.

Si t’es parisien et digital addict, ton profil l’intéresse… Pour participer c’est simple, il suffit de remplir le questionnaire qui se trouve dans la description de la vidéo.