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« Hondelatte part en live… Dans un centre d’addictologie », le 30/05 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Bernard Cazedepats et Christophe Hondelatte

C’est au centre Louis Sevestre dans la banlieue de Tours, le seul centre public uniquement consacré à l’addictologie, que Christophe Hondelatte se rendra cette semaine. Ici, mille patients sont traités chaque année. La plupart viennent pour des problèmes d’alcool, mais toutes les dépendances addictives peuvent y être traitées : drogues, sexe, jeu… Le traitement dure trois mois. Trois mois durant lesquels ils doivent réapprendre à vivre, à s’occuper et à penser autrement loin de leurs proches.

Une nouvelle fois, Christophe Hondelatte s’est intéressé à ces hommes et à ces femmes qui sont chargés d’encadrer, d’épauler et surtout de soigner ces patients cabossés par la vie. Durant son séjour, il a ainsi cotoyé Jean-François, infirmier depuis 8 ans au centre mais également le docteur Marion Husson, psychiatre addictologue ainsi qu’Anne Fernandez, psychologue.

Ces rencontres lui ont donné la possibilité de discuter avec des malades et de comprendre quelles sont leurs motivations, leurs espoirs pour la suite mais aussi leurs doutes ou leurs craintes.

« Hondelatte part en live… Dans une unité pour malades difficiles », le 18/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Anna Salzberg et Christophe Hondelatte

Hôpitaux psychiatriques aux allures carcérales, les Unités pour Malades Difficiles traitent les patients les plus dangereux. Certains sont psychotiques. D’autres schizophrènes. La plupart d’entre eux ont tué. Dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, ces patients ne peuvent pas être reçus dans des services de psychiatrie classiques. En France, seuls dix centres psychiatriques accueillent les malades les plus touchés et les plus agressifs.

C’est dans l’UMD de l’un des plus vieux hôpitaux psychiatriques de France à Bron à côté de Lyon, que le journaliste Christophe Hondelatte s’est immergé pendant quelques jours. Jour et nuit, sept jours sur sept, une importante équipe médicale encadre quarante patients. Dans cet univers clos et sécurisé, le journaliste a partagé les doutes, les craintes mais aussi les espoirs de ces médecins, infirmiers et aides-soignants.

À leurs côtés, il a pu nouer des liens avec certains d’entre eux. Il a également vécu au rythme des névroses et des crises des patients.

« OFF SECRETS ET COULISSES : Hôpital, police : les secrets des urgences », deux documentaires de Aude Rouaux et Sylvie Faiveley le 19/02 à 20h45 sur France 4

« COULISSES DES URGENCES PÉDIATRIQUES », un documentaire réalisé par Aude Rouaux

On y est arrivé angoissé, stressé, paniqué, souvent à bout de souffle, certains à court de vie. On s’en est souvenu, on s’en souvient toujours de cette arrivée aux urgences. Et quand on en reparle aujourd’hui, on a des frissons, une grimace de dégoût. Pourtant eux en ont fait leur profession, leur histoire quotidienne. Ce personnel médical que tout le monde admire et que personne n’envie soigne au jour le jour petits et gros bobos du simple rhume aux maladies graves.

Mais une fois passé, une fois guéri, que sait-on vraiment des urgences pédiatriques? Qui sont les médecins, les infirmières, les aides-soignants qui ont choisi de travailler dans cette unité? Comment arrivent-ils à gérer psychologiquement la souffrance des enfants? Comment font-ils face au manque de lits, au manque de personnel médical? Qui sont leurs petits patients, pour quelles maladies viennent-ils? Comment les parents réagissent-ils à la douleur de leurs bambins ?

« Off: Secrets et Coulisses » va poser sa caméra pendant 8 jours dans les couloirs des urgences pédiatriques de l’hôpital Trousseau au cœur de Paris. Pour vous permettre de comprendre comment fonctionne ce service bien particulier, nous allons suivre un médecin, une infirmière, une aide-soignante, un interne ainsi qu’une bénévole de l’Association Main dans la Main sans oublier bien sûr les enfants et leurs parents. Une immersion aux urgences pédiatriques, un lieu d’émotion et de grande humanité.

LE LIEU : L’HÔPITAL TROUSSEAU

Nous avons choisi un des plus grands hôpitaux pédiatriques de France pour réaliser ce documentaire. Trousseau est depuis toujours consacré aux enfants. Il a été inauguré en 1854 par Napoléon III rue du Faubourg Saint Antoine et est au départ un hospice pour enfants abandonnés. En 1901, il déménage à sa place actuelle, rue du Dr Arnaud-Netter dans le 12ème arrondissement de Paris. Il devient un hôpital de proximité pour enfants malades, essentiellement fréquenté par la population ouvrière du quartier. Dans les années 50, l’hôpital Trousseau s’agrandit. Il se dote d’un service d’hématologie, de pneumologie, de cardiologie, de gastro-entérologie…

Aujourd’hui, l’hôpital Trousseau accueille 45 000 patients par an. 1 patient sur 5 vient de province ou de l’étranger. Le service des urgences pédiatriques est géré par 80 personnes dont 15 médecins et 38 infirmier(e)s. Il reçoit en moyenne 120 patients l’été et 250 l’hiver en période d’épidémies.

« COULISSES D’UN GRAND COMMISSARIAT », un documentaire réalisé par Sylvie Faiveley

Inauguré le 29 janvier 2008, l’Hôtel de police de Lille est le plus grand et le plus moderne de France. Il est situé dans la partie sud de la ville, une zone de misère sociale, minée par la pauvreté et le chômage, classée depuis peu ZSP (Zone de Sécurité Prioritaire).

Cet ensemble de 4 blocs en béton high-tech de 52 000 mètres carrés a coûté 48,5 millions d’euros, c’était le projet immobilier le plus ambitieux réalisé en province par le Ministère de l’Intérieur.

Le but : regrouper tous les services de police de la DDSP (Direction Départementale de la Sécurité Publique) qui étaient jusqu’alors disséminés un peu partout en ville : la PAF (Police aux Frontières), les Renseignements Intérieurs (ex RG), la Sûreté urbaine de Lille (services d’investigations), le GIR (Groupe d’Intervention Régional), et le commissariat central de la circonscription de Lille. En tout, l’hôtel de police lillois abrite près de 1 700 policiers.

Qui sont ces hommes et femmes qui travaillent dans ce lieu sous tension ? Pourquoi ont-ils choisi ces professions ? Leurs rôles sont multiples ; certains font office d’assistante sociale face à certains appels au 17, motivés surtout par la solitude et l’isolement, quand d’autres vont jusqu’à risquer leur vie dans les brigades d’intervention.

Comment alors se préparer au mieux à répondre aux demandes de la population ?

Le commissariat central, qui assure la sécurité et l’accueil du public 24h/24 et 7j/7 d’un bassin de population d’un million cent cinquante mille habitants, a accepté d’ouvrir ses portes aux équipes de « Off : Secrets et coulisses » et nous avons pu pénétrer dans les entrailles de quelques-uns de ses services les plus emblématiques.

Collection ENQUETES CRIMINELLES : « L’assassin habite au n°1 », un film de B. Jeanneau, le 16 mars à 20h40 sur W9

Le 17 septembre 2005, Marie-Antonia Jouannet, se rend à Soisy-sur-Seine , en banlieue parisienne, au domicile de sa fille Audrey, 24 ans, qui n’a donné aucun signe de vie depuis maintenant trois jours.

Sur place, dans un premier temps, elle ne trouve rien. Mais le désordre dans l’appartement indique que sa fille a dû partir précipitamment. Il faudra attendre plusieurs heures avant qu’elle ne fasse une macabre découverte en fouillant une nouvelle fois les lieux : Marie-Antonia découvre le corps de sa fille sous le lit. Cette dernière semble avoir été étranglée et sauvagement violée.

S’agit-il d’un crime de rôdeur ? Après tout en face de la résidence se dresse un hôpital psychiatrique accueillant des patients dangereux…
Ou au contraire, l’assassin habite t-il dans la résidence ?

1ère diffusion le mercredi 16 mars 2011 à 20h35 sur W9.

Documentaire – 52′
Réalisé par Bertrand Jeanneau
Produit par Capa Presse