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Au sommaire de l’Effet Papillon du 05/10 à 13h40 sur CANAL+

« LA GUERRE DES MISS » – Un sujet de Nathalie Gros

Direction l’île des Beautés ! Pas la Corse, mais Bali où s’est déroulé sous haute surveillance le concours de Miss Monde. Des islamistes radicaux avaient décidé de gâcher la fête et d’interdire « ce concours de prostituées ». Ils ne sont parvenus qu’à déplacer la cérémonie de Jakarta à Bali, et plus inattendu, à susciter de nouvelles vocations, mais cette fois 100% halal.

« LE DECLIC CITOYEN » – Un sujet de Elvire Berahya-Lazarus

« Clicktivisme » : retenez-bien ce mot, il ne figure pas encore dans le dictionnaire, mais ça ne saurait tarder, vu son succès… Les pétitions en ligne sont le nouveau visage du web militantisme : un clic pour lancer ou soutenir une cause, petite ou grande. 2 millions de français se sont déjà mobilisés sur Change.org, le nouveau mégaphone de l’action citoyenne. Et tenez-vous bien : ça marche !

« BERLUSCONI FAIT TAPIS » – Un sujet de Bruno Gex

Quel plus beau cadeau qu’une bonne grosse crise politique ? Pour ses 77 ans printemps, Silvio Berlusconi s’est gâté ! Il a montré que la momie bougeait encore et surtout, qu’elle n’avait rien perdu de sa capacité de nuisance. Prêt à tout pour se maintenir au pouvoir, le Cavalière n’a pas hésité à prendre le pays en otage, en retirant ses 5 ministres du gouvernement Letta. Une énième « berlusconnerie » qui a fait vivre aux italiens une folle semaine de psychodrame et de trahisons à tous les étages. Ce soap-opera politico-judiciaire va bientôt fêter sa vingtième et peut-être, sait-on jamais, dernière saison. Mais attention, ce n’est pas parce qu’il a perdu une bataille, que Silvio Berlusconi a perdu la guerre. Son parti, le Peuple de la Liberté, est toujours puissant. Ses opposants craignent donc de nouvelles embûches du Cavalière et de ses troupes.

ENQUETES CRIMINELLES : « Message prémonitoire : l’affaire Flavin », un film de Laure Bessi, le 12/06 à 20h50 sur W9

Le 14 février 2000, Patrice Moulinier découvre une scène d’horreur en rentrant chez lui : sa femme, Manuella, et sa fille de 12 ans, Morgane, gisent dans une mare de sang. Abattues toutes deux d’une balle dans la tête. Leur bébé de 5 semaines, Martin, est, quant à lui, introuvable.

Kidnapping ? Folie meurtrière ? Vengeance ? Toutes les hypothèses sont envisagées. Mais c’est en fouillant la vie privée de Patrice Moulinier que les enquêteurs vont progresser. Ils découvrent que ce paisible père de famille a entretenu, dix ans plus tôt, une étrange relation sexuelle avec une certaine Simone Van Matt. Une relation particulière puisqu’elle se faisait avec la bénédiction du mari, Jean-Marie Von Matt, un riche marchand de biens, propriétaire d’un château en Dordogne et vivant en Floride.

Interrogé par les gendarmes, Patrice Moulinier va se souvenir d’une phrase prémonitoire prononcée par Jean-Marie Von Matt à la mort de son épouse : « Simone est morte, maintenant vous devez libérer son âme ». Qu’a voulu dire Jean-Marie Von Matt ?

Les enquêteurs se lancent alors dans un véritable jeu de piste entre la Suisse, l’Aveyron, la Dordogne et la Floride. Un scénario macabre se dessine peu à peu, celui d’une vengeance teintée de mysticisme ou le marchand de bien a décidé d’éliminer tous les membres de la famille de l’ancien amant de sa femme…

« Intime conviction : Les jurés face au doute » un film de Sarah Lebas et Eléonore Manéglier Dessenne, le 07/05 à 22h35 sur France 2

Comment juger quand on est un simple citoyen qui ne connaît rien de la justice ? Comment se forger une intime conviction lorsqu’il y a des doutes sur la culpabilité de l’accusé ?

Ces responsabilités écrasantes sont assumées chaque année en France par plus de 20 000 personnes : de simples citoyens, tirés au sort sur les listes électorales, qui deviennent le temps d’un procès des jurés d’assises.

Ce documentaire de la collection Intime conviction suit le questionnement intime de jurés à l’occasion d’un procès d’assises qui s’est déroulé à Troyes. Convoqués pour être jurés dans une affaire de viol, des citoyens ordinaires vont découvrir qu’ils sont là pour juger un accusé qui clame son innocence depuis cinq ans, qui n’est jamais allé en prison, et qui donc comparaît libre. Cet homme reconnaît avoir eu une relation sexuelle avec une femme mais prétend ne jamais l’avoir forcée. De son côté, la plaignante prétend avoir été contrainte à une relation sexuelle, sans être consentante. Il n’y a aucun témoin, aucune preuve, c’est la parole de l’un contre la parole de l’autre.

Pour réaliser ce documentaire, nous avons obtenu l’autorisation exceptionnelle de filmer les jurés dans la salle où ils se réunissent avec le Président et ses deux assesseurs durant toute la durée du procès. Cette salle, où petit à petit, ils se forgent une intime conviction.

De cette pièce aux couloirs du tribunal en passant par le cabinet de l’avocat général et le bureau de l’avocat de la défense, nous avons pu filmer sans contrainte tous les arcanes de ce procès. Nous avons également suivi la plaignante et l’accusé durant ces deux jours de procès. Seul interdit : nos caméras n’ont pas été autorisées à filmer les débats et le délibéré.

« ENGRENAGE INFERNAL : Victimes de la médecine », un documentaire de Martin Mischi le 03/04 à 20h45 sur Planète+ Justice

Guillaume Gaillard et Eric Canaux sont entrés à l’hôpital pour se faire soigner, pour guérir. Pourtant ces deux hommes ont été victimes d’une erreur médicale suite à laquelle leur vie ne sera plus jamais la même. Le premier parvient à peine à marcher, le second ne sort de chez lui que difficilement. Tous deux ont dû arrêter de travailler et se battent au quotidien pour tenter de faire reconnaître leur mal… Comment continuer à avoir confiance en la médecine ? Comment retrouver une vie normale ? Comment obtenir réparation ? Ils témoignent.

Un film de Martin Mischi
Diffusion le 3 avril à 20h45 sur Planète Justice

« ENGRENAGE INFERNAL : Accusés à tort », un documentaire de Alexis de La Fontaine le 27/03 à 20h45 sur Planète+ Justice

Christophe Bridou, ancien officier de la police municipale, et Patrick Leveneur, chauffeur de bus, ont été l’un et l’autre, victimes d’accusations infondées. L’un a été accusé de détention d’images pédophiles, l’autre a été forcé d’avouer un viol qu’il n’a pas commis. Comment survivre à la calomnie ? Comment se défendre lorsqu’on est seul face à la machine judiciaire ?

Un film de Alexis de La Fontaine
Diffusion le mercredi 27 mars à 20h45 sur Planète + Justice

ENQUETES CRIMINELLES : « L’Etrange témoin du crime », un film de Dimitri Grimblat, le 20/03 à 20h50 sur W9

22 décembre 1997, sept heures du matin. Un instructeur d’auto-école découvre un corps ensanglanté en contrebas d’une route départementale à côté de Lunel (Hérault). Le ou les tueurs se sont véritablement acharnés sur lui. Il a reçu 108 coups de couteaux !

La victime est un jeune homme, Azzouz, 22 ans, connu pour être un petit revendeur de drogue. À première vue, il s’agit d’un règlement de compte lié au trafic de stupéfiants. Rapidement, les enquêteurs se focalisent sur deux suspects, les grossistes d’Azzouz : Abderrahim El Jabri et Abdelkader Azzimani. Les deux hommes nient mais reconnaissent avoir livré à la victime 5kg de résine de cannabis peu avant le meurtre.

Dans la foulée, un témoin oculaire les confond et, même s’il se trompe sur l’heure du crime, pour les gendarmes, l’affaire est entendue. El Jabri et Azzimani sont mis en examen. Ils n’ont pas d’alibi et leur passé, leur mauvaise réputation, en ont fait des coupables parfaits. Seulement personne n’imagine que cette affaire, à priori résolue, va connaître un incroyable rebondissement…

Au sommaire de L’Effet Papillon du dimanche 17 juin à 12h40 sur CANAL +

MEURTRES TÉLÉCOMMANDÉS de Julien FOUCHET et Sébastien DAGUERRESSAR (rediffusion du 18 septembre 2011)
Le Waziristân, au nord du Pakistan, est considéré par la CIA comme l’endroit le plus dangereux de la planète, le principal sanctuaire d’Al Quaïda et la base arrière des talibans. Une zone tribale, une zone de non droit, cible depuis 7 ans d’une guerre par drones interposés. Faute de pouvoir y pénétrer, les Américains pilonnent cette région par avions télécommandés.

Leurs cibles : les terroristes, bien sûr. Mais les frappes sont loin d’être chirurgicales. Seulement, sans témoins, pas de bavures. Alors, Papillon a voulu savoir. Les images qui vont suivre sont rarissimes.

Elles nous viennent d’un journaliste local, qui a réussi à filmer ce que l’on ne voit jamais…

IL N’EST JAMAIS TROP TARD de Nicolas TONEV
67 ans après la guerre, l’Allemagne continue de faire le ménage. La Commission, en charge de retrouver les nazis coupables de crimes, a d’ailleurs rouvert l’enquête sur le massacre d’Ouradour-sur-Glane, village martyr de la folie SS. Grâce à l’opiniâtreté d’un procureur et d’une paire de flics, les 6 derniers bourreaux du 10 juin 1944 sont aujourd’hui sur le point d’être jugé. Mais il faut faire vite.

ETAT DE CRISE d’Hugo VAN OFFEL
Halte au gaspi’ ! En Italie, le gouvernement ne sait plus quoi inventer pour calmer la colère de la rue, et limiter les effets de la rigueur sur une population au bord de la crise de nerfs… Les italiens sont pris à la gorge. Certains se suicident, d’autres se radicalisent, beaucoup critiquent le train de l’état, en ces temps de vache maigre. Du coup, les autorités ont décidé de raboter leurs dépenses publiques, et invité les citoyens à signaler les gabegies les plus criantes. Une démocratie participative : pas sûre que cela suffise à calmer la tempête.

… et toujours au top de l’actu internationale : Le PLANETARIUM de Thomas Zribi et les Les CHRONIQUES DU MONDE DE DEMAIN de Steeve Baumann et David Castello-Lopes

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Interview de Sarah Lebas, réalisatrice de « Le jour où j’ai été juré d’assises », un doc diffusé mardi 13 mars à 22h20 sur France 2

Pour la première fois, ce film montre des jurés au cœur d’un procès d’assises. Médecins, ouvriers, chômeurs ou enseignants, ils ont tous été tirés au sort sur les listes électorales, comme le sont, chaque année, plus de 20 000 personnes en France. Des citoyens ordinaires pour juger les crimes les plus graves.

Emotions des jurés au cœur d’un procès sous haute tension, personnages charismatiques, retours d’expériences poignants : dans cette interview, la réalisatrice Sarah Lebas revient sur les coulisses d’un tournage particulier:

Un documentaire écrit par Sarah Lebas et Andrea Rawlins, réalisé par Sarah Lebas

« Le jour où j’ai été juré d’assises », un documentaire de Sarah Lebas, diffusé le 13/03 à 22h21 sur France 2

Pour la première fois, ce film montre des jurés au cœur d’un procès d’assises. Médecins, ouvriers, chômeurs ou enseignants, ils ont tous été tirés au sort sur les listes électorales, comme le sont, chaque année, plus de 20 000 personnes en France. Des citoyens ordinaires pour juger les crimes les plus graves.

Ces jurés ont trois jours pour décider du sort d’un homme accusé de tentative d’assassinat avec actes de torture et de barbarie sur son ex-compagne. Du début du procès jusqu’au verdict final, ce film capte, entre chaque audience, les réactions, les émotions et les interrogations de ces jurés. Comment se forgent-ils une intime conviction ? Comment juger quand on est un simple citoyen qui ne connaît rien de la justice ?

Pour juger, ces jurés se mêlent le temps du procès à des professionnels de la justice. Le président de la cour d’assises, les avocats et l’avocat général nous confient chacun leur tour le regard qu’ils portent sur les jurés populaires. Pour enrichir et éclaircir ce que vivent à chaud les jurés au cours de ce procès d’assises, quatre anciens jurés témoignent. Michel, Dorothée, Thierry et Claudie nous font part de cette expérience avec la justice qui les a marqués à tout jamais. Ces paroles de jurés dévoilent toute la complexité du processus de décision qui se trame derrière la solennité des audiences.

« Le jour où j’ai été juré d’assises » un documentaire qui fait entrer le téléspectateur dans la peau d’un juré le temps d’un procès haletant. Un suspense à rebondissements multiples car l’intrigue autant judiciaire que purement humaine ne ralentit jamais. Jusqu’au dénouement.

« Le jour ou j’ai été juré d’assises » – Récit d’une expérience au bout de l’humanité.

Un doc écrit par Sarah Lebas et Andrea Rawlins, réalisé par Sarah Lebas
Diffusé le 13/03 à 22h21 sur France 2

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 5 février

PRISON BREAK de Sabrina VAN TASSEL (Rediffusion)
La nouvelle a eu l’effet d’un coup de massue… aux Etats-Unis. La Cour Suprême a obligé la Californie à vider ses prisons pour remédier à la surpopulation carcérale. Et offrir aux prisonniers des conditions de détention à peu près acceptables. Dans 2 ans, l’état devra donc avoir dispersé ses détenus, façon puzzle… Toute la question est de savoir où ?… Faute d’argent pour construire de nouvelles prisons ou de places dans des pénitenciers voisins, nombre de repris de justice se retrouvent, dès à présent, dans la nature… Avec parfois, un casier judiciaire à faire frémir les plus téméraires.

CREVETTES À L’HUILE de Charlotte LASSALLE.
Une marée noire à 25 milliards de dollars. Le 27 février prochain, le géant pétrolier BP devra répondre de la plus grosse catastrophe écologique de toute l’histoire des Etats-Unis. A moins que d‘ici là, le groupe ne parvienne à négocier à l’amiable avec la justice, hors prétoire… et hors caméra. Depuis 2 ans, le groupe britannique ne ménage pas ses efforts pour dépolluer son blason. Et donner l’image d’une entreprise responsable, à défaut d’être propre… avant de passer à la caisse. Avec 120.000 plaignants, l’addition risque d’être salée, très salée même… Pour éviter le tribunal, BP sera prêt à débourser 25 milliards de dollars, donc. Un gros chèque que le pétrolier cherche déjà à partager avec ses sous-traitants, en leur faisant porter le chapeau. En attendant, dans le Golfe du Mexique, la marée noire n’est pas encore un souvenir.

VOILE SUR LA LIBERTE de Thierry PASQUET et Akim REZGUI
En Tunisie, la guerre entre laïcs et religieux aura bien lieu.  Depuis le départ de Ben Ali, les Salafistes se croient tout permis. Avec l’aval tacite du gouvernement, qui ne bronche que très mollement… A la ville comme à la campagne, où qu’ils soient, les salafistes cherchent à imposer leur loi : dans les rues, les mosquées, à l’université et même à l’écran, où la chaine NESSMA TV a été poursuivie pour avoir diffusé le film soi-disant blasphématoire de Marjane Satrapi, Persepolis.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

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