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« Ils veillent sur nos assiettes », le 06/06 à 20h55 sur France 3

Depuis vingt ans, les crises alimentaires se succèdent : vache folle, fromages à la listeria, poulet à la dioxine, grippe aviaire, lasagnes à la viande de cheval… Face à l’industrialisation galopante de l’alimentation, face à des modes de distribution toujours plus mondialisés, les scandales et la contrefaçon alimentaire toujours plus nombreux, comment aujourd’hui retrouver confiance dans son alimentation ?

Les consommateurs se disent inquiets, pourtant, de la fourche à la fourchette, des hommes et des femmes sont de plus en plus nombreux à produire et à défendre une nourriture de qualité et de saveurs.

C’est aux frontières que le travail commence. A l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle, ils sont plus d’une vingtaine de vétérinaires à contrôler 7 jours sur 7 ce qui entre dans l’Union européenne. Sur le territoire français, ce sont les brigades de la DGCCRF qui prennent leur relais.

Certains se consacrent à la défense d’un produit unique issu d’un terroir particulier. Ils mettent en garde contre les produits parfois douteux de la grande distribution : le miel par exemple, dont les deux tiers de la consommation française sont importés. Paul Schweitzer est un scientifique passionné, directeur d’un laboratoire indépendant d’analyse de miel. Il nous explique comment du faux miel (du sirop de sucre !) s’est glissé à notre insu dans les pots qui nous sont vendus tous les jours.

Dans les rayons des supermarchés, deux journalistes de 60 millions de Consommateurs nous apprennent à déchiffrer les étiquettes, à déjouer les astuces du marketing… Et à comprendre comment les industriels, en toute légalité, nous vendent du bouillon de bœuf sans bœuf, ou encore du yaourt à la fraise sans fraise…

Et puis, il y a ceux qui tentent de changer les pratiques de consommation, d’initier de nouveaux modes de distribution. Le programme Mr Goodfish, né à Boulogne sur mer, lutte contre la surpêche, et tente de faire changer les habitudes alimentaires des Français, en faisant redécouvrir des poissons de nos côtes trop souvent boudés. Au menu : tacaud, chinchard, plie… Pour le plus grand bonheur de notre porte-monnaie !

Dans le Béarn, des agriculteurs se sont regroupés pour monter un drive paysan et lutter ainsi contre la standardisation du goût et la toute puissance des supermarchés. Un système ingénieux où chacun peut commander sur internet puis venir chercher ses achats groupés dans la ferme de son choix. Des produits fermiers et locaux à portée de clic !

En Bourgogne, d’autres résistants luttent contre l’uniformisation du goût, avec un aliment hautement symbolique pour les Français : le pain. Ils sont trois, agriculteur, meunier et boulanger à s’être associés pour travailler en circuit-court et proposer du pain au levain, bio, fabriqué à base de céréales anciennes et locales. Pour maintenir une agriculture durable, mais aussi pour élargir le goût des Français en matière de pain.

Manger mieux, manger autrement… pour à la fois préserver notre environnement et notre santé, sans jamais oublier notre plaisir… Tous ceux à qui ce film donne la parole nous prouvent que cette ambition n’a rien d’impossible !

« Ils veillent sur nos assiettes », réalisé par Leni Mérat, le 06/06 à 20h55 sur France 3

« Des Racines et des ailes : du Lot au Cantal », un film de Léni Merat et Dominique Lenglart, le 26/06 à 20h45 sur France3

Rediffusion du film « Des Racines et des ailes : Du lot au Cantal » dans la collection Passion Patrimoine

Le Lot, surnommé « Terre des Merveilles » avec plus de quatre cents édifices protégés au titre des monuments historiques, est un département riche en châteaux et en villages magnifiques…

Dans le secteur sauvegardé du vieux Cahors, les « enquêteurs du patrimoine » de l’architecte et archéologue Gilles Séraphin visitent chaque maison pour mettre au jour des trésors médiévaux. Derrière les papiers peints et les faux plafonds mais aussi derrière les enduits qui recouvrent les façades, ils révèlent des merveilles pour mieux les préserver.

Plus au nord, à Autoire, un jeune architecte lotois a pour mission de protéger un monument inaccessible, le château des Anglais. Il n’hésite pas à descendre en rappel au-dessus de cette fortification datant de la guerre de cent ans pour mieux la comprendre.

Au-dessus de la vallée de la Dordogne, l’impressionnant château médiéval de Castelnau-Bretenoux et sa flamboyante couleur rouge raconte neuf siècles d’histoire. Un joyau classé monument historique dès 1862 et sauvé à l’aube du vingtième siècle par un lotois haut en couleurs, le chanteur d’opéra Jean Mouliérat. Il y donnait des grandes fêtes avec le Tout- Paris de l’époque, comme les écrivains Colette et Pierre Loti, le sculpteur Auguste Rodin ou la dernière reine de Madagascar.

Mais le Lot, c’est aussi un vaste plateau calcaire, le Causse du Quercy. Si l’eau y est absente en surface, elle a creusé partout sous la roche d’innombrables cavités et a fait de cette région le berceau de la spéléologie. Avec le géologue Thierry Pélissier nous pénétrons dans le plus profond gouffre d’Europe à Padirac. Avec une jeune guide nous partons sur les traces d’Edouard-Alfred Martel qui l’explora le premier il y a plus de cent ans. Commençant son trajet là où s’arrêtent les visites guidées, elle fait pour la première fois le voyage pour atteindre « la Grande Barrière ». Une véritable montagne souterraine où Martel a apposé sa signature en 1899.

Le Causse du Quercy abrite un autre patrimoine, un ciel très pur remarquablement épargné par la pollution lumineuse produite par les villes. La profondeur de ses nuits en fait l’une des dernières zones sombres en Europe. Pour profiter du Triangle Noir, un fou d’astronomie, Philippe Canceil, est venu s’installer dans la région il y a vingt ans pour vivre pleinement sa passion. Et pour le protéger, il sillonne le causse pour convaincre les villages d’éteindre la nuit leurs éclairages publics.

A peine franchies les limites avec le département voisin, le Cantal, le paysage change radicalement. La chaîne des monts du Cantal, les plus anciens volcans d’Europe, marque de son empreinte les vallées profondes et les villages aux couleurs de roche basaltique.

Un patrimoine géologique que survole pour la première fois en parapente le vulcanologue François Leleu.

Sur les contreforts de ce gigantesque ensemble volcanique, Guy et Marie-Joe Chambon continuent de s’isoler chaque été dans leur buron d’altitude pour fabriquer du Salers de tradition. Coûte que coûte ils préservent un savoir-faire et protègent les magnifiques vaches salers qui ont failli disparaître.

Au mois de mai, les plateaux de l’Aubrac Cantalien se couvrent de blanc. La couleur du narcisse, une fleur sauvage qui ne fleurit que deux semaines par an. Entre récolte traditionnelle et transformation, des étudiants de l’école de parfumerie de Grasse, originaires du monde entier, viennent se former au cœur du Cantal. Demain, ils élaboreront les plus grands parfums avec des extraits de narcisse.

Dans le nord du département, une poignée d’amoureux des trains font revivre l’une des plus belles voies ferrées de France laissée à l’abandon il y a vingt ans. Qu’ils soient cheminots à la retraite, professeur de musique ou gendarme, tous se retrouvent pendant leur temps libre pour faire circuler leur autorail et restaurer les rails. A la belle saison, ils ouvrent bénévolement la ligne au public pour faire partager ce patrimoine oublié au plus grand nombre.

Du Lot au Cantal, entre les trésors médiévaux du Quercy et les panoramas majestueux des volcans, deux univers et une même pour le patrimoine.

« Les Antilles hors des sentiers battus », un film de Léni Mérat et Dominique Lenglart dans Des racines et des ailes, le 13/03 à 20h45 sur France 3

Pour ce nouveau numéro de la collection « Passion Patrimoine », Des Racines et des Ailes nous emmène à la découverte des îles des Antilles françaises.

Au cœur de l’arc caribéen, entourées de plages d’exception, ces îles paradisiaques abritent un patrimoine naturel méconnu : des forêts tropicales, des mangroves, des volcans et des réserves marines que des hommes et des femmes, professionnels ou particuliers, protègent et sauvegardent avec passion.

En Martinique, la vulcanologue Valérie Clouard surveille avec son équipe la Montagne Pelée, 24 heures sur 24. Pour l’instant, le volcan est calme, mais son réveil peut être brutal, comme en 1902 lorsqu’une explosion a totalement rayé de la carte la ville de Saint-Pierre et causé la mort de 30.000 personnes ! À l’époque, celle que l’on surnommait « le Petit Paris » était l’une des villes les plus modernes des Antilles. Aujourd’hui, grâce au projet du « Grand Saint-Pierre », l’écrivain et prix Goncourt Patrick Chamoiseau tente de lui redonner son lustre d’antan.

Au cœur de la baie, un plongeur renommé, Michel Métery, se bat pour protéger un patrimoine sous-marin unique : les épaves des bateaux coulés lors de l’explosion du volcan. Par 60 mètres de fond, ces vestiges racontent l’histoire de la marine du début du vingtième siècle.

Sur la côte sud de la Martinique, Sylviana Stephen-Fortuné, garde au Conservatoire du littoral, veille sur un écosystème riche mais fragile : l’étang des Salines. Dans cette mangrove, les oiseaux migrateurs trouvent refuge lors de leurs voyages entre l’Amérique du Nord et le Brésil.

Autre sanctuaire pour les oiseaux de haute-mer : l’étonnant rocher du Diamant, un éperon de 172 mètres de haut émergeant de la mer des Caraïbes. Pour surveiller les oiseaux sans les déranger, le Conservatoire du littoral a installé sur l’immense rocher cinq caméras fixes, entretenues par des grimpeurs ornithologues…

A l’intérieur des terres, Léon Tisgra, ingénieur agronome, est un fervent défenseur du jardin créole. Il cultive des légumes biologiques qu’il vend dans toute l’île. Thierry Lauzéa, lui, est artisan chocolatier. Son rêve : faire revivre le cacao martiniquais. Grande exportatrice au 17ème siècle, la Martinique a peu à peu oublié cette épice pour produire des bananes et de la canne à sucre…

Au nord des Antilles, Saint-Barthélemy est connue pour être le paradis des milliardaires et des stars du showbiz. Mais l’île abrite des trésors cachés, comme la réserve naturelle dirigée par Franciane Le Quellec. Elle veille sur des sites sous-marins d’exception où vivent de somptueux poissons tropicaux, des coraux et des tortues menacées d’extinction.

A l’extrémité est de l’archipel guadeloupéen apparaît la Désirade. Une petite île de 11 kilomètres de long sur 2 kilomètres de large, à la jonction de la mer des Caraïbes et de l’océan Atlantique. C’est ici que pousse une plante surprenante, l’indigotier, qui donne la couleur bleu indigo.

Il y a trois siècles, les petites Antilles comptaient plus d’une centaine d’indigoteries qui produisaient et exportaient vers l’Europe. Anne Brouard et Ghislain Jonneaux se sont installés sur l’île il y a deux ans pour relancer la teinture à base de cet arbuste devenu rare…

Au cœur de l’immensité des eaux territoriales françaises, nous partirons également à la découverte de la réserve AGOA qui protège les nombreuses espèces de cétacés. Nicolas Maslach, son responsable, entreprend une grande campagne d’inventaire dans tout l’archipel. Il n’a pas son pareil pour débusquer les majestueux cachalots…

« Les Antilles hors des sentiers battus », un voyage magnifique sur cette petite France d’outre-mer.

« Du Lot au Cantal », de Leni Mérat et Dominique Lenglart pour Des Racines et des Ailes le 19/09 sur France 3

Le Lot, surnommé « Terre des Merveilles » avec plus de quatre cents édifices protégés au titre des monuments historiques, est un département riche en châteaux et en villages magnifiques.
Dans le secteur sauvegardé du vieux Cahors, les « Enquêteurs du patrimoine », de l’architecte et archéologue Gilles Séraphin, visitent chaque maison pour mettre au jour des trésors médiévaux. Derrière les papiers peints et les faux plafonds, mais aussi derrière les enduits qui recouvrent les façades, ils révèlent des merveilles pour mieux les préserver. Plus au nord, à Autoire, un jeune architecte lotois a pour mission de protéger un monument inaccessible, le château des Anglais. Il n’hésite pas à descendre en rappel au-dessus de cette fortification datant de la guerre de cent ans pour mieux la comprendre.

Au-dessus de la vallée de la Dordogne, l’impressionnant château médiéval de Castelnau-Bretenoux et sa flamboyante couleur rouge racontent neuf siècles d’histoire. Un joyau classé monument historique dès 1862 et sauvé à l’aube du XXe siècle par un lotois haut en couleurs, le chanteur d’opéra Jean Mouliérat. Il y donnait des grandes fêtes avec le Tout- Paris de l’époque, comme les écrivains Colette et Pierre Loti, le sculpteur Auguste Rodin ou la dernière reine de Madagascar.

Mais le Lot, c’est aussi un vaste plateau calcaire, le Causse du Quercy. Si l’eau y est absente en surface, elle a creusé sous la roche d’innombrables cavités et a fait de cette région le berceau de la spéléologie. Avec le géologue Thierry Pélissier, nous pénétrons dans le plus profond gouffre d’Europe à Padirac. Avec une jeune guide, nous partons sur les
traces d’Edouard-Alfred Martel qui l’explora le premier il y a plus de cent ans. Commençant son trajet là où s’arrêtent les visites guidées, elle fait pour la première fois le voyage pour atteindre « la Grande Barrière ». Une véritable montagne souterraine où Martel a apposé sa signature en 1899.

Le Causse du Quercy abrite un autre patrimoine, un ciel très pur remarquablement épargné par la pollution lumineuse des villes. La profondeur de ses nuits en fait l’une des dernières zones sombres en Europe. Pour profiter du Triangle Noir, un fou d’astronomie, Philippe Canceil, est venu s’installer dans la région il y a vingt ans pour vivre pleinement sa passion. Et pour le protéger, il sillonne le causse pour convaincre les villages d’éteindre la nuit leurs éclairages publics.

A peine franchies les limites avec le département voisin, le Cantal, le paysage change radicalement. La chaîne des monts du Cantal, les plus anciens volcans d’Europe, marque de son empreinte les vallées profondes et les villages aux couleurs de roche basaltique. Un patrimoine géologique que survole pour la première fois en parapente le vulcanologue François Leleu. Sur les contreforts de ce gigantesque ensemble volcanique, Guy et Marie-Joe Chambon continuent de s’isoler chaque été dans leur buron d’altitude pour fabriquer du Salers de tradition. Coûte que coûte ils préservent un savoir-faire et protègent les magnifiques vaches salers qui ont failli disparaître.

Au mois de mai, les plateaux de l’Aubrac Cantalien se couvrent de blanc. La couleur du narcisse, une fleur sauvage qui ne fleurit que deux semaines par an. Entre récolte traditionnelle et transformation, des étudiants de l’école de parfumerie de Grasse, originaires du monde entier, viennent se former au cœur du Cantal. Demain, ils élaboreront les plus grands parfums avec des extraits de narcisse. Dans le nord du département, une poignée d’amoureux des trains font revivre l’une des plus belles voies ferrées de France laissée à l’abandon il y a vingt ans. Qu’ils soient cheminots à la retraite, professeur de musique ou gendarme, tous se retrouvent pendant leur temps libre pour faire circuler leur autorail et restaurer les rails. A la belle saison, ils ouvrent bénévolement la ligne au public pour faire partager ce patrimoine oublié au plus grand nombre.

Du Lot au Cantal, entre les trésors médiévaux du Quercy et les panoramas majestueux des volcans, deux univers et une même passion pour le patrimoine.

Passion Patrimoine : « Les Couleurs du Périgord », un film de Leni Mérat et Gary Grabli pour Des Racines et des Ailes, mercredi 25 avril à 20h40 sur France 3

Entre Aquitaine et Massif Central, le Périgord dévoile un patrimoine exceptionnel au gré de ses quatre couleurs. Vert, blanc, pourpre ou noir, de grottes préhistoriques en châteaux, de bastides séculaires en villages de caractère, le Périgord nous offre un étonnant voyage à travers le temps.

Tout commence à Sarlat, la capitale du Périgord noir. Historien et auteur de guides sur sa cité, Romain Bondonneau en explore inlassablement les monuments les plus emblématiques comme la mystérieuse lanterne des morts. Avec un photographe italien tombé amoureux fou de la région, il survole pour la première fois en montgolfière la majestueuse vallée des châteaux.

Toujours en Périgord noir, un autre passionné protège un patrimoine différent, la Vézère. Guide et ancien champion de canoë, Philippe Colomy connaît toutes les merveilles de cette rivière. Chaque année il organise avec son association un grand nettoyage au fil de l’eau aux pieds du majestueux village troglodytique de la Madeleine. Un belvédère qui marque l’entrée dans la Vallée de l’Homme et ses dizaines de sites préhistoriques. C’est ici qu’a débuté au 19ème siècle l’étude de la préhistoire et c’est ici qu’a été découvert il y 7O ans le joyau de l’art pariétal, la grotte de Lascaux. Fragile et totalement fermée au public, Lascaux est constamment étudiée par des scientifiques. Fait exceptionnel, une caméra a été autorisée pour Des Racines et des Ailes à filmer Muriel Mauriac la conservatrice de la grotte, dans une mission de surveillance. Un voyage majestueux au cœur de l’art pariétal, façonné par des hommes il y a 17000 ans.

A Belvès, le nouveau propriétaire d’une demeure seigneuriale a découvert dans son grenier une peinture murale du 15ème siècle représentant les neuf preux. Il a fait appel à Cornelia Cione, venue d’Italie, pour lui rendre tout son lustre. Avec la jeune italienne nous découvrons le majestueux château de Jumilhac au cœur du Périgord vert. Henry de la Tour du Pin, son propriétaire, a lui aussi mis au jour des fresques datant de la Renaissance.

Dans les lumières automnales de la forêt de Champs-Romain, Jean-Pierre Biaussa, un fin connaisseur des cèpes transmet son savoir à un jeune scientifique qui étudie les secrets du champignon-roi, le véritable trésor du Périgord. Au sud de la vallée de la Dordogne, un jeune couple fait revivre une tradition oubliée, la récolte du Safran. Une épice rare et chère qu’ils réservent à Philipe Latreille, un chef-cuisinier enfant du pays. Passionné par la préparation du foie gras, il organise régulièrement des stages pour faire redécouvrir aux périgourdins l’art de cuisinier ce symbole de la région.

En Périgord pourpre, la méconnue abbaye médiévale de Cadouin est en restauration. Un chantier d’envergure mené par Patrick Palem. Dans son atelier de Périgueux, il restaure avec les techniques les plus récentes des pièces venues du monde entier.

Enfin, dans la vallée du bergeracois, un château renaît grâce à l’obstination d’une association de passionnés. Malmené et pillé depuis 3O ans, Bridoire vient d’être racheté par Jacques Guyot, un fou de monuments historiques. En famille et avec l’aide des gens du village, Bridoire va enfin pouvoir ouvrir ses portes au public.

Historien, photographe, agriculteur, guide, restaurateur d’art ou cuisinier, tous n’ont qu’une passion : le Périgord.