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« Hondelatte part en live… Dans une unité pour malades difficiles », le 18/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Anna Salzberg et Christophe Hondelatte

Hôpitaux psychiatriques aux allures carcérales, les Unités pour Malades Difficiles traitent les patients les plus dangereux. Certains sont psychotiques. D’autres schizophrènes. La plupart d’entre eux ont tué. Dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, ces patients ne peuvent pas être reçus dans des services de psychiatrie classiques. En France, seuls dix centres psychiatriques accueillent les malades les plus touchés et les plus agressifs.

C’est dans l’UMD de l’un des plus vieux hôpitaux psychiatriques de France à Bron à côté de Lyon, que le journaliste Christophe Hondelatte s’est immergé pendant quelques jours. Jour et nuit, sept jours sur sept, une importante équipe médicale encadre quarante patients. Dans cet univers clos et sécurisé, le journaliste a partagé les doutes, les craintes mais aussi les espoirs de ces médecins, infirmiers et aides-soignants.

À leurs côtés, il a pu nouer des liens avec certains d’entre eux. Il a également vécu au rythme des névroses et des crises des patients.

« Hondelatte part en live… avec le SAMU de Lyon », le 11/04 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Bertrand Jeanneau et Christophe Hondelatte

Les médecins urgentistes du Service d’Aide Médicale d’Urgence de Lyon reçoivent quotidiennement des centaines d’appels au secours. À n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, ils doivent être en mesure d’assurer une écoute médicale. En cas d’urgence, une équipe doit se rendre le plus rapidement possible sur les lieux pour porter secours à la victime. Et tous les moyens sont bons : ambulance ou hélicoptère.

Pendant quelques jours, Christophe Hondelatte a vécu au rythme de ces hommes et de ces femmes dévoués qui exercent un métier hors du commun, plus que jamais au service des autres.

Ce sont eux qui interviennent sur toutes les situations d’urgence : problèmes cardiaques, accidents de la route, difficultés respiratoires…

Lors de moments plus intimes et calmes, ces médecins urgentistes se livrent à Christophe Hondelatte sur leur travail, leurs attentes, leurs craintes et leurs doutes. Avec, pour le journaliste, toujours un même objectif en tête : comprendre l’engagement remarquable de ces personnes au service de tous.

« Veduta » – Un webdocumentaire de Capa Entreprises pour la Biennale de Lyon

Veduta est la plateforme de la Biennale dédiée aux projets amateurs. Veduta 2013 construit un réseau de plus de 100 maisons, trouvées ou construites pour l’occasion, qui accueillent des résidences d’artistes, des collections du macLYON, des œuvres de l’exposition internationale et des récits amateurs qui en écrivent les histoires multiples.

Parmi ces maisons, 70 appartements privés accueillent 70 œuvres de l’exposition internationale, s’invitant ainsi chez les habitants de Lyon et sa région. Veduta, en créant Chez moi étend l’exposition internationale au-delà de ses murs.

Les artistes prêtent leur œuvre à un résident, dont l’appartement se transforme en MaisonVeduta. Les visiteurs de ces expositions privées, découvrent ainsi l’œuvre dans sa nouvelle demeure. À l’issue de l’exposition, chaque résident, devenu un « partenaire artistique » de la Biennale, raconte comment il a vécu cette expérience inédite.

Veduta, le webdocumentaire, c’est l’histoire de Pierrette, Marie-Claude, Anna, Martine, Ayoub et leurs familles, qui, 4 mois durant, vivront avec une peinture, une installation vidéo ou une sculpture qu’ils n’ont pas choisie.

Ils sont retraités, assistante sociale, dessinateur industriel, peintre amateur ou ancienne patronne de bistrot… Ils vivent à Vaulx-en-Velin, Givors, Oullins ou Lyon. Aucun n’est spécialiste de l’art contemporain. Tous sont volontaires.

Au-delà de la simple « expérimentation artistique », Veduta, le webdocumentaire, pose la question de notre rapport à une forme d’art souvent mal comprise et caricaturée. En le confrontant au regard neuf de ces lyonnais, Veduta démontre que l’art contemporain peut vivre et être aimé simplement, sans discours ni exégèse.

Réalisé par Christophe Acker, vidéaste et réalisateur de clips (Alain Bashung, Lou Douillon, Olivia Ruiz, Deportivo…), Elise Desmars-Castillo et Charles-Henry Frizon, produit par Capa Entreprises.

En partenariat avec Télérama

Web-documentaire – « La Marche d’après : 30 ans de combats pour l’égalité »

« C’est notre regard qui enferme souvent les autres dans leurs plus étroites appartenances, et c’est notre regard aussi qui peut les libérer »
Les identités meurtrières, Amin Maalouf


LE MOT DES AUTEURS :

Le web-documentaire « La Marche d’après » est né d’un hasard. Au détour d’une newsletter, nous prenons connaissance de la Marche. Une trentaine au départ de Marseille, plusieurs dizaines de milliers à l’arrivée, à Paris. Le “mai 68 des jeunes immigrés”, nous dira un sociologue.

Pourtant, nous n’en avions jamais entendu parlé. Ni dans les livres scolaires, ni dans les articles de presse. Nous étions alors étudiants en journalisme, et parmi tous ces élèves à priori cultivés, aucun ne connaissait cet événement.

Nous avons donc senti le besoin de le raconter. Et de marcher, à notre tour. Marcher, pour replacer les faits dans leur contexte, pour aller à la rencontre des marcheurs d’hier et des jeunes qui, aujourd’hui, continuent à se battre pour l’égalité.

Pendant des semaines, nous avons réfléchi au meilleur moyen de répondre à cette question que tout le monde nous posait : en 30 ans, est-ce que ça a vraiment changé ?

« La Marche d’après » repart sur la route pour comprendre ce qui, en 1983 comme aujourd’hui, a pu motiver des jeunes à faire 1200 kilomètres à pied pour une cause : combattre le racisme

Au gré de nos rencontres, nous avons choisi quatre villes et quatre thèmes. Quatre grandes revendications pour les marcheurs d’hier, quatre promesses inachevées pour les jeunes d’aujourd’hui : Police & citoyens (Marseille), Politique de la ville (Lyon), Représentation politique (Strasbourg), Identité & intégration (Paris).

Les auteurs Jenna Le Bras, François Hume-Ferkatadji, Lucas Roxo

DÉCOUVREZ LE WEB-DOCUMENTAIRE « LA MARCHE D’APRÈS »

Réalisation et écriture :
Jenna Le Bras
François Hume-Ferkatadji
Lucas Roxo

Illustration :
Laurence Gatti

AB Productions / Toute l’histoire :
Richard Maroko – Directeur des programmes
Virginia Subramaniyam – Directrice de production
Marie De Maublanc – Directrice adjointe des antennes
Céline Cicékoglu – Responsable éditoriale Toute l’histoire

Capa Presse / Capa Numérique :
Claire Leproust – Directrice des développements numériques
Jean-Marie Michel – Producteur
Raphaël Beaugrand- Rédacteur en chef
Laurent Kopec – Chef de projet multimédia / Webmaster

"Off Secrets et coulisses : secrets et coulisses des événements", le 12/11 à 20h45 sur France 4

SECRETS ET COULISSES DU SUPERCROSS DE BERCY

Un documentaire de Coralie Chardonnet

« Off : Secrets et Coulisses » s’est glissé dans les rouages de Bercy pour comprendre comment ce temple du sport et de la musique se transforme à l’envie, pour accueillir des spectacles plus grandioses les uns que les autres et plus particulièrement lors de la 30ème édition du Supercross de Bercy…

Trente ans de courses démentielles de motocross, de sauts freestyle dantesques, de musique poussée à fond, de pompoms girls, de jeux de lumières… Trente éditions durant lesquelles Bercy fait salle comble, pendant trois soirées. Le Supercross de Bercy, c’est l’évènement de l’année pour les amateurs de motocross qui n’hésitent pas à venir de l’Europe entière pour admirer les plus grands pilotes au monde, notamment les superstars américaines et françaises.

Depuis une dizaine d’années, le Supercross est entrecoupé de shows Freestyle, une discipline à haut risque dans laquelle les pilotes effectuent des figures acrobatiques lors de sauts. Là encore, l’élite mondiale est présente. Bref, un spectacle mythique, unique en Europe, qui a lieu chaque année depuis la création du Palais Omnisport en 1984. Un événement rendu possible grâce aux prouesses techniques du lieu et qui nécessite une incroyable transformation du Palais.

LE LIEU: LE PALAIS OMNISPORTS DE PARIS BERCY, UNE SALLE CAMELEON

Avant Bercy, les grandes compétitions sportives d’intérieur étaient rares. La création de Bercy a permis le développement d’un concept nouveau, le sport-spectacle, des événements qui allient l’exploit au spectaculaire. Les sports fun indoor, le supercross moto en salle ou le football américain semblaient auparavant impensables à organiser.

Avec Bercy, tout est permis. Sports, concerts, défilés de mode, comédies musicales, le spectaculaire n’y est jamais en reste. Aujourd’hui, Bercy affiche 1,5 million de spectateurs annuel et accueille chaque année plus de 120 manifestations. Dans ce lieu de 55 000 m2, les seuls éléments fixes sont la piste de cyclisme de 250m de long et la patinoire de 1 800 m2. Tout le reste, du sol au plafond, se démonte. D’un court de tennis, à une patinoire, en passant par un circuit de motocross, tous les spectacles sont montés avec une aisance particulièrement déconcertante. Nul ne peut suspecter l’infrastructure sur laquelle tout cela repose.

Le palais est constitué d’une salle principale ayant une capacité maximale moyenne de 17 000 places assises, entourant complètement les pistes de jeux. La salle principale offre une visibilité parfaite en tous points, car il n’y a aucun poteau porteur dans les gradins. Ce sont quatre fûts porteurs, en retrait des gradins, qui supportent une charpente métallique à géométrie irrégulière, située à 24 mètres de l’aire de jeu.

Cette charpente métallique de 6 400 m² offre trois particularités techniques importantes : un réseau de monorails sur lequel circulent quatre convoyeurs à pont roulant de 5 tonnes, chacun permettant toutes les manipulations et les transformations de la salle dans les délais les plus courts. Grâce à ce dispositif original, imaginé et réalisé pour la première fois au monde, ce palais permet une série d’applications techniques sans limite pour la sonorisation, les éclairages et les effets spéciaux, tant pour le sport que pour les spectacles.

SECRETS ET COULISSES DE LA FÊTE DES LUMIÈRES A LYON

Un documentaire d’Elodie Bonnes

Chaque année, au mois de décembre et durant quatre jours, la ville de Lyon change de visage et offre un nouveau profil à ses habitants et visiteurs. Monuments, places, fontaines… des lieux quotidiens que les Lyonnais traversent à longueur d’années, vont se métamorphoser et se dévoiler sous un jour inédit, loin de leur banalité.

Du 6 au 8 décembre 2012, Lyon célèbre la Fête des Lumières. Lyon, troisième ville de France, active et laborieuse se transforme en cité magique et poétique. La Fête des Lumières, d’origine religieuse, met désormais à l’honneur la création lumière. Designers, plasticiens, architectes, vidéastes, infographistes et éclairagistes s’emparent de la ville et la transforment en un théâtre à ciel ouvert.

Projections lumière et vidéo sur les monuments, conception d’objets illuminées, parades lumineuses… une centaine de créations investit les édifices, les places, les fleuves et les collines pour transfigurer ces espaces quotidiens.

Comment s’opère cette métamorphose ? Comment la mairie de Lyon parvient-elle à transformer sa ville ? A quel coût énergétique ? Comment les artistes s’emparent-ils de l’espace urbain pour le détourner ? Les équipes de « Off : Secrets et Coulisses » vont s’installer à Lyon avant et pendant ces quelques jours de fête, pour comprendre comment s’opère cette métamorphose de la cité.

Nous allons suivre les équipes de la mairie de Lyon qui travaillent d’arrache-pied pour que la ville soit prête pour le jour J. Ils nous expliqueront comment ils parviennent à minimiser la hausse de la dépense en énergie pendant ces quatre jours. En parallèle, nous allons être au côté de plusieurs artistes, dans les coulisses de la fabrication de leurs œuvres. Nous découvrirons leur univers souvent décalé et onirique.

Comment travaillent-ils la lumière ? Comment investissent-ils la ville pour la transformer ? Pour eux, l’enjeu de la Fête est important : chaque année, trois millions de visiteurs parcourent la ville métamorphosée, trois millions de juges, parfois sans concession pour des artistes contemporains. Au fur et à mesure que le lancement de la fête approche, les problèmes techniques s’accumulent : entre la conception théorique d’une œuvre et son installation, il y a souvent de multiples embuches.

Le stress va monter crescendo jusqu’au lancement de la Fête et les premières réactions du public. À travers les artistes et les équipes de la mairie de Lyon, nous allons être les témoins de la transformation d’une ville.

« HONDELATTE PART EN LIVE : Avec la police de Saint-Etienne », un documentaire de Sébastien Lafargue le 05/04 à 22h15 sur 13ème Rue

Christophe Hondelatte en immersion au sein de l’hôtel de police de Saint-Etienne.

Dans cette vieille cité industrielle en pleine mutation, la délinquance est palpable. Violences, braquages, trafics de drogue.. La police est sur tous les fronts… 24h/24, 7j/7, le bâtiment ne dort jamais. On compte en moyenne 400 appels par jours. Patrouilles, arrestations, interrogatoires, perquisitions, mais aussi entraînements et moments de relâche… le journaliste partage le quotidien des officiers en uniforme.

On vit avec lui en direct l’interpellation de deux braqueurs de bijouterie, la mise en place d’un impressionnant dispositif de sécurité autour du traditionnel derby de football entre Saint-Etienne et Lyon ou encore l’interpellation d’un chef de réseau de dealers d’héroïne.

Que se passe-t-il dans les coulisses d’un hôtel de police ? Comment les officiers travaillent-ils ensemble au quotidien ? Quelles sont leurs satisfactions et leurs doutes ?

Durant les 52’ de ce documentaire, Christophe Hondelatte s’approche au plus près des hommes et des femmes du commissariat. Pour comprendre leur engagement et tout ce que suppose d’être policier en France en 2013.