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« OFF Secrets et coulisses – Zoo, vétos : les experts du monde animal », deux documentaires de Sylvie Faiveley et Mickaël Beurdouche le 10/09 à 20h35 sur France 4

SECRETS ET COULISSES DU PLUS BEAU ZOO D’EUROPE Un documentaire de Sylvie Faiveley

A quoi sert un zoo en 2012 et comment fonctionne t-il ? Aujourd’hui, ils ont une mission, essentielle, qui justifie à elle seule leur existence : la conservation et la protection de certaines espèces, menacées d’extinction par l’action de l’homme lui même.

« Off : Secrets et Coulisses » va décortiquer pour vous le quotidien d’un zoo et pas n’importe lequel… Le zoo de Mulhouse, justement, est particulièrement impliqué dans la préservation des espèces. Il est même leader internationalement reconnu par la communauté scientifique, pour son expertise sur les gibbons et les lémuriens. Ici, on ne trouve pas que les spécimens surmédiatisés, qui font les beaux jours des zoos en vogue.

Non, ceux qu’on y découvre, sont parfois moins connus du grand public et pour la plupart très rares et menacés de disparition. Ils portent des noms poétiques : lémuriens aux yeux turquoises, panthères de l’amour ou cerfs du prince Alfred. Ici, pas de girafes, d’éléphants, ni de pandas, et autres stars indétrônables de la une des médias, à filmer pour épater facilement le spectateur.

Ici les maitres mots sont : préservation, conservation, et bien-être des animaux. Mulhouse n’est pas un zoo commercial, mais un établissement public, financé par l’agglomération.

Le parc, de cinq hectares à l’origine, a été fondé en 1868 par les industriels du textile qui voulaient offrir une distraction à leurs ouvriers. En quelques années, il s’est développé pour atteindre douze hectares, et en 1893, il est cédé à la ville qui en reprend la gestion. Ses vingt-cinq hectares de verdure actuels, s’étendent entre bordure de ville d’un côté, et lisière de forêt, de l’autre. Ils abritent un peuple de 1200 pensionnaires, que sont venus admirer 370 000 visiteurs l’an passé.

En 2005, le parc obtient le label de « Jardin remarquable », et la même année, débute la rénovation de tous les enclos. Depuis deux ans, huit enclos ont ainsi été agrandis et modernisés. Et ce n’est pas fini : en juin prochain, les ours blancs troqueront le minuscule 250 m2 qu’ils occupent sans broncher depuis des lustres, contre 3500 m2 de zone polaire grand nord ! En réunion de chantier, le directeur, Brice Lefaux, se bat contre les habitudes et les idées reçues des techniciens, pour imposer ses rêves de nature.

« Off : Secrets et Coulisses » vous ouvre donc les portes habituellement fermées du zoo de Mulhouse, un envers du décor remarquable, où nous pourrons partager sans restriction les activités de Jean François, Isabelle et Séverine, les soigneurs, et de Benoît, le vétérinaire. Nous pourrons assister à la vie quotidienne et aux soins des animaux. Nous donnerons à manger aussi bien aux félins qu’aux lémuriens.

Au chapitre « carnet rose », nous verrons comment s’y prend l’oisillon flamant rouge de Cuba pour casser sa coquille et sortir de son œuf, et comment Argoun, trois mois, dernier né des panthères de l’amour, hésite à faire ses premières roulades dans l’herbe verte qu’il ne connaît pas encore.

Nous serons les témoins privilégiés de la vie du parc zoologique et botanique de Mulhouse, et nous comprendrons les enjeux de la préservation de la nature et de la biodiversité, à travers ce site où règne à chaque instant cette formidable détermination, obsession, vocation de chouchouter, reproduire et conserver les espèces en danger…

SECRETS ET COULISSES D’UNE CLINIQUE VÉTÉRINAIRE Un documentaire de Mickaël Beurdouche

C’est à l’écart de l’agitation citadine, nichée en plein Morbihan, qu’opère la clinique vétérinaire de Malestroit. Dans cet établissement, 20 vétérinaires se répartissent le travail pour s’occuper des 40 000 bovins, 2 millions de volailles, 90 000 porcs et 4 500 chèvres de la région. Bref, ici c’est la campagne et on s’occupe principalement des animaux de rente. C’est-à-dire ceux qui ont une valeur sonnante et trébuchante, destinés à la consommation.

Chaque jour, dans un rayon de 30 kilomètres, les 20 vétérinaires parcourent les routes de Bretagne, afin d’apporter leur aide aux éleveurs très souvent démunis face aux maladies de leurs bêtes.

Pour eux, chaque animal perdu a un coût non négligeable. La santé de leur élevage, c’est la clé de leur propre survie.

Sous l’œil curieux de la caméra, c’est un monde à part qui nous ouvrira exceptionnellement ses portes. « Off : Secrets et Coulisses » pénétrera ainsi les étables, parfois vétustes, de petites fermes et les installations modernes de grands producteurs bretons.

Mais qui sont ces vétérinaires ruraux ? Quelles sont leurs spécialités? Ils s’appellent Jacques, Dominique, Aurélie ou Marie. Ce sont eux qui travaillent au quotidien pour la santé des élevages mais également pour la santé publique. Ce sont les premiers remparts contre les épidémies, le premier maillon de la chaîne chargé de contrôler la santé des animaux comestibles.

Leur mission est capitale : anticiper toute maladie et sa propagation. C’est cet esprit et cet univers que veut « capturer » l’œil de « Off : Secrets et Coulisses ».

« OFF Secrets et Coulisses : Dans le secret de vos assiettes » , deux documentaires de Mickael Beurdouche et Reza Pounewatchy le 23/07 à 20h45 sur France 4

OFF Secrets et Coulisses : Dans le secret de vos assiettes – Rediffusion du 05/02/2013

SECRETS ET COULISSES DE RUNGIS , un documentaire réalisé par Mickael Beurdouche

Depuis 1969, le marché de Rungis a succédé aux anciennes Halles parisiennes. C’est sur une commune de banlieue parisienne, dans le Val de Marne, sur un espace plus grand que la Principauté de Monaco, que s’étend le plus grand marché de produits frais au monde : le MIN (Marché d’intérêt national)

Toutes les nuits, à l’heure où les Français se reposent sous leurs couettes, des milliers de petites mains s’activent dans des pavillons réfrigérés à 5°, afin de fournir magasins, grandes surfaces et restaurants.

Ce sont en moyenne 6000 tonnes de fruits, légumes, viandes et poissons qui transitent, chaque nuit, par Rungis, avant de finir dans nos assiettes.

Sous l’œil curieux de la caméra de « Off : Secrets et Coulisses », c’est un monde à part qui nous ouvrira exceptionnellement ses portes. Nous pénétrerons ainsi cet antre de la Grande Bouffe, aux mille couleurs et aux mille odeurs, des fruits les plus exotiques aux tripes bien de chez nous.

Qui sont les acteurs de Rungis ? Qui sont les figures emblématiques présentes depuis l’ouverture du marché? Quels métiers méconnus sont exercés au marché de Rungis ?

Ils s’appellent Gino, Sébastien, Eddy ou Elodie… Ce sont eux qui vivent la nuit pour offrir à nos tables les meilleurs produits. Certains d’entre eux sont de véritable légende ici. À force de sueur, ils ont creusé leurs trous et ont réussi professionnellement. D’autres occupent des métiers insolites, comme mûrisseur de banane, vétérinaire … en chambre froide, professeur ou guide touristique pour des visiteurs de l’autre bout du monde. À eux tous, ils sont l’âme de Rungis. C’est cet esprit et cet univers que « Off » veut « capturer ».

COULISSES DU CONCOURS DES APPRENTIS , un documentaire réalisé par Reza Pounewathy

Ce n’est un secret pour personne. En France, la cuisine reste une affaire « sacrée ». Plus qu’un art de vivre, c’est devenu une des disciplines chéries des Français. En témoigne le grand nombre de programmes télévisés consacrés à ce sujet. Autrefois cantonnés à composer une recette en fin d’émission, les Grands Chefs sont désormais des stars du petit écran. Loin des images d’Épinal, le personnage rondouillard à l’accent du sud-ouest a été remplacé par le trentenaire en jeans, aussi à l’aise dans ses baskets que devant ses fourneaux.

Une médiatisation qui attire les jeunes. Dès l’adolescence, beaucoup d’entre eux se lancent dans cette voie professionnelle, avec la ferme intention d’être à la tête d’un restaurant étoilé. Pour intégrer un de ces établissements de prestige, cela nécessite évidemment de travailler dur. Mais il existe des tremplins. Le concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » en est un.

Organisé depuis 27 ans par les Meilleurs Ouvriers de France (MOF), il rassemble la crème de la crème, dans chaque discipline. Les candidats sont originaires de toutes les régions de France.

Les conditions pour participer : avoir entre 16 et 21 ans, suivre une formation en apprentissage. A Paris se déroule l’épreuve d’évaluation nationale. Seules les Médailles d’Or régionales peuvent concourir à cette « grande finale ». L’objectif, composer en 4 heures et demie, un plat et un dessert pour 4 personnes, avec ingrédients imposés. Le tout noté par un jury de 20 MOF intransigeants. Sur 30 candidats, seuls 3, voire 4, seront récompensés. Ils obtiendront la Médaille d’Or et gagneront le titre de Meilleur Apprenti de France (MAF). Le passeport pour entrer dans un établissement prestigieux.

Mais comment se prépare un si ambitieux concours ? Entre les cours de cuisine à l’école hôtelière, le difficile travail chez l’employeur alternance oblige, comment les p’tits cuistots trouvent-ils le temps pour se préparer à ce marathon des fourneaux ? Est-ce plus facile quand on est fils de cuisinier ? Comment ces adolescents vivent cette épreuve ? Sont-ils aidés par leurs proches ? Le jour du concours, comment les candidats gèrent-ils leur stress ? Comment se déroulent les délibérations du jury ?

« Off : Secrets et Coulisses » vous dévoilera les dessous de ce prestigieux concours, véritable levier d’ambition pour les jeunes apprentis cuisiniers. Nous serons au plus prêt des candidats, dans leur école, leur entreprise, au coté de leurs formateurs, maitres d’apprentissage, mais également dans leur sphère privée, avec leurs parents et leurs proches. Quelques heures avant le concours jusqu’aux délibérations et résultats, nous stresserons, nous aussi, avec les grands chefs de demain.

Sur les 30 candidats présents lors du concours, nous suivrons 3 d’entre eux, quelques jours avant les épreuves.
2 hommes, 1 femme …
Chacun a un parcours, une histoire différente.
Ce qui les unit : la passion pour la cuisine et une inaltérable envie de réussir.

« OFF SECRETS ET COULISSES DU SALON DE L’AGRICULTURE », un documentaire hors-série de Laure Bessi et Mickaël Beurdouche le 12/03 à 20h45 sur France 4

Cette année, le Salon de l’Agriculture fêtait ses 50 ans. Un évènement pour le monde agricole !

Du 23 février au 3 mars 2013, ils étaient 2000 éleveurs, venus des quatre coins de l’hexagone à préparer, bichonner, astiquer leurs plus belles bêtes, en vue de les présenter aux différents concours organisés par le salon.

Ces concours sont une vitrine inespérée pour leurs élevages. Nos équipes ont suivi la préparation des bêtes, depuis l’exploitation jusqu’au jour du concours.

Mais tous les participants ne sont pas des éleveurs aguerris, certains sont encore en pleine formation. C’est le cas des étudiants des lycées agricoles qui envoient leurs meilleurs éléments, comme Firmin et Morgane, participer au trophée des lycéens.

Une véritable aventure humaine pour ces jeunes de 16 ans qui « montent » à Paris pour représenter les couleurs de leur lycée.

Une fois les portes du salon fermées, le public parti, chaque soir tous les exposants se retrouvent autour d’une table, ou d’un stand, pour festoyer à la « bonne franquette » avec les meilleurs vins et produits que chacun rapporte de sa région. Les équipes de « Off Secrets et coulisses » ont passé 10 jours avec eux, 24/24, au cœur de cette cour de ferme géante.

Le salon c’est aussi 230 tonnes de paille, 215 tonnes de copeaux et 280 tonnes de fumier… Des centaines de petites mains qui fourmillent pour préparer et accueillir les 700 000 visiteurs prévus et les 5000 animaux. Du lapin géant des Flandres à Forban, un taureau d’1,8 tonne, des éleveurs au chef de la sécurité, sans oublier la farandole des politiciens…

« Off Secrets et coulisses » vous embarque dans les coulisses de la plus grande ferme de France.

« OFF SECRETS ET COULISSES : DANS LE SECRET DE VOS ASSIETTES » , deux documentaires de Mickael Beurdouche et Reza Pounewatchy le 05/02 à 20h45 sur France 4

SECRETS ET COULISSES DE RUNGIS , un documentaire réalisé par Mickael Beurdouche

Depuis 1969, le marché de Rungis a succédé aux anciennes Halles parisiennes. C’est sur une commune de banlieue parisienne, dans le Val de Marne, sur un espace plus grand que la Principauté de Monaco, que s’étend le plus grand marché de produits frais au monde : le MIN (Marché d’intérêt national)

Toutes les nuits, à l’heure où les Français se reposent sous leurs couettes, des milliers de petites mains s’activent dans des pavillons réfrigérés à 5°, afin de fournir magasins, grandes surfaces et restaurants. Ce sont en moyenne 6000 tonnes de fruits, légumes, viandes et poissons qui transitent, chaque nuit, par Rungis, avant de finir dans nos assiettes.

Sous l’œil curieux de la caméra de « Off : Secrets et Coulisses », c’est un monde à part qui nous ouvrira exceptionnellement ses portes. Nous pénétrerons ainsi cet antre de la Grande Bouffe, aux mille couleurs et aux mille odeurs, des fruits les plus exotiques aux tripes bien de chez nous.

Qui sont les acteurs de Rungis ? Qui sont les figures emblématiques présentes depuis l’ouverture du marché? Quels métiers méconnus sont exercés au marché de Rungis ?

Ils s’appellent Gino, Sébastien, Eddy ou Elodie… Ce sont eux qui vivent la nuit pour offrir à nos tables les meilleurs produits. Certains d’entre eux sont de véritable légende ici. À force de sueur, ils ont creusé leurs trous et ont réussi professionnellement. D’autres occupent des métiers insolites, comme mûrisseur de banane, vétérinaire … en chambre froide, professeur ou guide touristique pour des visiteurs de l’autre bout du monde. À eux tous, ils sont l’âme de Rungis. C’est cet esprit et cet univers que « Off » veut « capturer ».

COULISSES DU CONCOURS DES APPRENTIS , un documentaire réalisé par Reza Pounewathy

Ce n’est un secret pour personne. En France, la cuisine reste une affaire « sacrée ». Plus qu’un art de vivre, c’est devenu une des disciplines chéries des Français. En témoigne le grand nombre de programmes télévisés consacrés à ce sujet.

Autrefois cantonnés à composer une recette en fin d’émission, les Grands Chefs sont désormais des stars du petit écran. Loin des images d’Épinal, le personnage rondouillard à l’accent du sud-ouest a été remplacé par le trentenaire en jeans, aussi à l’aise dans ses baskets que devant ses fourneaux.

Une médiatisation qui attire les jeunes. Dès l’adolescence, beaucoup d’entre eux se lancent dans cette voie professionnelle, avec la ferme intention d’être à la tête d’un restaurant étoilé. Pour intégrer un de ces établissements de prestige, cela nécessite évidemment de travailler dur. Mais il existe des tremplins. Le concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » en est un.

Organisé depuis 27 ans par les Meilleurs Ouvriers de France (MOF), il rassemble la crème de la crème, dans chaque discipline.

Les candidats sont originaires de toutes les régions de France. Les conditions pour participer : avoir entre 16 et 21 ans, suivre une formation en apprentissage. A Paris se déroule l’épreuve d’évaluation nationale. Seules les Médailles d’Or régionales peuvent concourir à cette « grande finale ».

L’objectif, composer en 4 heures et demie, un plat et un dessert pour 4 personnes, avec ingrédients imposés. Le tout noté par un jury de 20 MOF intransigeants. Sur 30 candidats, seuls 3, voire 4, seront récompensés. Ils obtiendront la Médaille d’Or et gagneront le titre de Meilleur Apprenti de France (MAF). Le passeport pour entrer dans un établissement prestigieux.

Mais comment se prépare un si ambitieux concours ? Entre les cours de cuisine à l’école hôtelière, le difficile travail chez l’employeur alternance oblige, comment les p’tits cuistots trouvent-ils le temps pour se préparer à ce marathon des fourneaux ? Est-ce plus facile quand on est fils de cuisinier ?

Comment ces adolescents vivent cette épreuve ? Sont-ils aidés par leurs proches ? Le jour du concours, comment les candidats gèrent-ils leur stress ? Comment se déroulent les délibérations du jury ?

« Off : Secrets et Coulisses » vous dévoilera les dessous de ce prestigieux concours, véritable levier d’ambition pour les jeunes apprentis cuisiniers. Nous serons au plus prêt des candidats, dans leur école, leur entreprise, au coté de leurs formateurs, maitres d’apprentissage, mais également dans leur sphère privée, avec leurs parents et leurs proches. Quelques heures avant le concours jusqu’aux délibérations et résultats, nous stresserons, nous aussi, avec les grands chefs de demain.

Sur les 30 candidats présents lors du concours, nous suivrons 3 d’entre eux, quelques jours avant les épreuves.2 hommes, 1 femme …Chacun a un parcours, une histoire différente.
Ce qui les unit : la passion pour la cuisine et une inaltérable envie de réussir.

« OFF! Secrets et Coulisses » présenté par sa rédactrice en chef , Alexandra Alévêque. Produite par l’agence Capa, l’émission a pour ambition d’emmener les téléspectateurs à la découverte des coulisses d’institutions, bâtiments d’État, empires des médias et autres centres de pouvoir habituellement inaccessibles au grand public.

Ne manquez pas 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +!

Entre Moscou et ses communautés, c’est « je t’aime, moi non plus »… Au sommaire de cette émission :

– Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel
– Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel
– Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche
– Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche
– Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert
Diffusion le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Prenez votre ticket ! 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel

La communauté afghane de Moscou a une particularité. Elle est regroupée sur un seul et même site, appelé Sébastopol. Une ancienne barre d’immeubles d’habitation, dans le plus pur style stalinien. A l’intérieur, un immense bazar qui emploie 8.000 personnes et plus de 1.000 entreprises. Un site totalement autogéré avec son école, sa boulangerie et même sa propre mosquée. Autre particularité : les dirigeants de Sébastopol sont tous d’anciens dirigeants de province afghans, d’anciens universitaires ou d’anciens présentateurs de la télévision d’état. Mais tous ces hommes ont collaboré avec les soviétiques, lors de l’invasion de l’Afghanistan par l’armée rouge en 1979.

Quand les chars russes ont quitté le pays en 1989, ces hommes et leurs familles ont été bannis du pays et même aujourd’hui ne peuvent pas envisager de rentrer à Kaboul.

Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel

Le Tadjikistan est une ancienne république soviétique d’Asie centrale, libérée du joug de Moscou en 1991. Depuis, ce pays montagneux et rural s’est lentement enfoncé dans la misère. A tel point que selon la banque mondiale, le Tadjikistan est le 1er pays au monde, dépendant de l’argent envoyé par sa diaspora.
En Russie, les Tadjiks sont en bas de l’échelle sociale. Ils sont dévolus aux travaux les plus difficiles. Les Russes de ne les aiment pas à tel point que le mot Tadjik est entré dans le langage courant et est devenu une insulte. Pourtant, cette communauté garde le sourire, tant les conditions de vie qu’ils ont quittées sont difficiles….

Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche

Être Noir à Moscou relève du défi. Ils sont Sénégalais, Nigérians ou Camerounais et sont venus faire leurs études au sein d’une faculté prestigieuse, appelée « Université de l’amitié entre les peuples ». Pourtant, à Moscou, ils ne sont pas les bienvenus et font même épisodiquement l’objet de chasses à l’homme. Pour la plupart d’entre eux, ils repartiront en Afrique dès la fin de leur cursus. Mais certains ont fait le choix de rester et même d’y fonder une famille. Mais comme disait Coluche, pour eux « ça sera très dur »…

Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche

En Russie, les Géorgiens sont appréciés. Staline, le petit père des peuples était Géorgien. Ils sont notamment connus pour l’excellence de leur cuisine, dont la légende raconte qu’elle fabrique des centenaires. Les meilleures tables de Moscou sont géorgiennes. Depuis la chute de l’URSS en 1991, plusieurs incidents ont émaillé les relations compliquées qu’entretiennent la Russie et la Géorgie jusqu’à ce jour du 7 aout 2008 et cette guerre éclair menée par Moscou sur le sol géorgien. L’enjeu : deux régions séparatistes de Géorgie : l’Ossetie du Sud et l’Abkhasie. Ce conflit a considérablement changé la donne quant aux regards que les Russes portent sur les Géorgiens. A tel point que la diaspora géorgienne de Moscou s’est sentie et se sent encore aujourd’hui pointée du doigt par la société russe.

Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert

Prenez votre ticket ! 1€70 spécial Paris, présenté par Victor Robert, le 30/03 à 20h50 sur Planète +

Au sommaire de 1€70, spécial Paris : Victor Robert nous emmène à la rencontre des communautés de la ville la plus cosmopolite de l’hexagone. Palestiniens, Congolais, Anglais, Kanaks… Dans la capitale française, tous se battent à leur manière pour faire entendre leurs revendications politiques, conserver leur identité culturelle, et cultiver tolérance et diversité.

L’ART DE LA GUERRE – Pierrick Morel et Léa Caruelle

C’est une toute petite diaspora mais c’est un gros sujet d’actualité en France et dans le reste du monde… Ils sont 1000 palestiniens à vivre à Paris, fiers de voir flotter leur drapeau sur la capitale française depuis que l’Unesco, basé à Paris, a reconnu la Palestine comme membre à part entière…

Alors pour sortir du débat politique, 1,70 a décidé d’aborder la communauté palestinienne côté culturel… ET bien évidemment dans l’artiste palestinien, tout est politique ou presque…

CHAOS CONGO – Mickael Beurdouche

Au palmarès des pays les plus violents le Congo tient plutôt bien sa place et semble bien décidé à la garder… Après une guerre civile qui a fait près de 2 millions de morts, cette violence s’est une fois encore vérifiée lors des dernières élections qui ont commencé dans les urnes et fini dans le sang… A Paris, on se mobilise les hommes manifestent chaque semaine contre ce qu’ils appellent un hold-up démocratique tandis que les femmes tiennent réunions sur réunions pour aider leurs sœurs congolaises victimes d’une arme de destruction massive : le viol…

Interview de Cédric Kalouji.
Il est journaliste, il est congolais, il vit désormais à Paris et c’est une star sur la toile, prix du meilleur blog francophone en 2007 prix du meilleur blog africain l’année suivante, il a longtemps travaillé pour Okapi la plus grande radio de la république démocratique du Congo qu’il a sillonné de long en large et qu’il connaît comme sa poche…

JE T’AIME, MOI NON PLUS – Pierrick Morel

Si les français ont débarqué en masse à Londres, de ce côté du tunnel les anglais de Paris se font plus discrets… Pourtant ils sont bien là. Des rockeurs, des rugbymens, des buveurs de thé et de quoi remplir une église anglicane…

Dans la langue de Gainsbourg ou de Shakespeare, 1euro70 a passé un dimanche anglais à London sur Seine.

AU NOM DES PÈRES – Léa Caruelle et Michael Beurdouche

Si beaucoup de communautés manifestent devant leurs ambassades, le kanak de Nouvelle Calédonie manifeste lui devant le musée des arts premiers du quai Branly : Pourquoi ? Et bien pour tenter de récupérer la tête leur ancêtre Atai, coupée en 1876 par les Français lors de la colonisation de leur ile. C’est le symbole du combat de la communauté kanak à Paris. Cette lutte prendra encore de l’épaisseur dans les prochains mois puisque la Nouvelle-Calédonie pourra enfin décider de son indépendance en 2014…

1€70 spécial Paris
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert

Prenez votre ticket ! 1€70 spécial Brésil à São Paulo, présenté par Victor Robert, le 24/02 à 20h50 sur Planète +

Au sommaire de 1€70, spécial Brésil : un petit tour à São Paulo, avec Victor Robert, pour découvrir toutes les richesses et les secrets de ses communautés dans le pays le plus métissé du monde !

Immigration ancienne : Il était une fois au Brésil

L’Immigration italienne au Brésil est représentée par 33 millions de Brésiliens descendants d’immigrants italiens. Ils sont dispersés dans tous les États des régions Sud et Sud-Est du Brésil, se trouvant être quasiment la moitié de la population de l’État de São Paulo. Cette population est considérée comme la plus importante d’oriundi (descendants d’Italiens) hors d’Italie.

Les premiers Italiens arrivèrent au Brésil en 1870. Le gouvernement brésilien stimulait l’immigration européenne, particulièrement après 1850, quand le trafic des esclaves africains fut aboli au Brésil ; les immigrants se substituaient à la main-d’œuvre esclave.

Les Italiens s’installèrent d’abord dans la région Sud du Brésil, où les colonies d’immigrants étaient  établies par le Gouvernement brésilien au début du XIXe siècle.

A São Paulo, un habitant sur 5 revendique au moins un ascendant italien.

Nous serons avec Angelo, 92 ans, le propriétaire du plus vieux restaurant italien de tout le Brésil. Angelo est venu par paquebot dans les années 40 et son histoire a même inspiré une telenovela.

Nous serons également avec une famille de commerçants italiens, les plus gros importateurs au Brésil de produits issus de la botte. 4 générations aux manettes de l’entreprise. Dans cette famille, on se revendique brésilien mais on respire l’Italie.

Japon : « L’appel du 18 juin», un sujet de Mickael Beurdouche

Le Brésil est le pays qui accueille le plus de Japonais en dehors du Japon. Il y a entre 1,3 et 1,5 million d’habitants d’origine japonaise au Brésil. Les personnes d’origine japonaise nées au Brésil sont appelées Japonais-Brésiliens (Nipo-brasileiros en portugais), ou nissei.

Le 18 juin 1908, les premiers immigrants japonais débarquaient du navire Kasato Maru dans le port de Santos, São Paulo. Ils étaient au nombre de 791 (principalement des fermiers venus d’Okinawa). Ils partaient pour le Brésil pour travailler dans les plantations et pensaient revenir au Japon après avoir gagné un peu d’argent, mais ce ne fut pas le cas.
Aujourd’hui, le quartier de Libertad, construit par les japonnais accueillent l’essentiel des diasporas asiatiques.

Les deuxième, troisième et même quatrième générations prônent un retour aux sources. Les plus jeunes d’entre eux sont tournés vers la culture mango-pop, véhiculée par les jeunes tokyoïtes.

C’est le cas de l’une de nos personnages, déguisée en manga-girl et qui nous emmènent dans les karaoke les plus célèbres de Sao Paulo.
Les plus anciens n’ont jamais non plus totalement abandonné la culture nippone. Cours de karaté, musique….

Bolivie : «Le mirage brésilien», un sujet de Mickael Beurdouche

En quête d’un travail et d’une vie meilleure, des milliers de Boliviens quittent leur pays pour Sao Paulo, la mégapole du Brésil, où ces travailleurs clandestins réalisent leur rêve – avoir un emploi – mais avec un salaire de misère et dans des conditions inhumaines.

Espagne : « Les nouveaux conquistadors», un sujet de Pierrick Morel
Ils sont des milliers à quitter l’Espagne, son marasme économique et son chômage endémique. Beaucoup partent en Allemagne, seul pays européen à ne pas plonger. Les autres optent pour l’Amérique du Sud et le Brésil en particulier. Si les tendances démographiques actuelles perdurent, l’Espagne pourrait perdre plus d’un demi-million d’habitants au cours des dix prochaines années.

Ianire est créatrice de mode. L’absence de perspectives au Pays Basque espagnol l’a poussée à venir vivre, dessiner et fabriquer ses collections ici au Brésil pour les vendre….. au Pays Basque espagnol.

Quant à Jesus, peintre en bâtiment, il a récemment quitté l’Espagne, pays dans lequel il n’avait plus aucun avenir professionnelle. Il était même en pleine dépression. Dès son arrivée au Brésil, sa vie a changé….

Interview
Frédéric Junck, chef d’entreprise français, présent au Brésil depuis 1985. Arrivé juste après la dernière dictature militaire, il a assisté à la montée en puissance d’un pays dont il est tombé littéralement amoureux.

1€70 à ROME, présenté par Victor Robert : c’est vendredi 30 septembre à 20h40 sur Planète +

Un détour à ROME, en passant par le BENGLADESH « Le retour de batte », la TUNISIE : « Tous les trains mènent à Rome », par l’ETHIOPIE : « Italie, Ethiopie : copains d’abord », et le BRESIL : « Calcetto, what else ? »

BENGLADESH  » Le retour de batte », un sujet de Mickael Beurdouche

Un siècle. C’est le temps qu’il aura fallu entre 1850 et 1950 à 30 millions d’italiens pour quitter leur pays. La célèbre botte a longtemps servi de réservoir à main d’oeuvre pour les pays industrialisés de l’Europe et des Etats-Unis. Mais aujourd’hui, la tendance s’est inversée. L’italie, porte d’entrée vers le vieux continent mais aussi terre d’accueil. 300 000 immigrés légaux vivent à Rome. Et parmi eux, 30.000 Bangladais. Tous ont fui la misère du Bengladesh, l’un des pays les plus pauvres de la planète.

Et c’est dans le quartier Piazza Vittorio, au marché exotique que nous avons rendez-vous avec Bacho, le porte-arole d’une communauté, largement discriminée en Italie dans un climat ambiant d’Islamophobie.

TUNISIE :  » Tous les trains mènent à Rome », un sujet de Pierrick Morel

Termini c’est la plus grande gare d’Italie: 500 000 personnes y transitent quotidiennement. Paumés au coeur de la foule, une centaine de voyageurs sans valises: Ils sont Tunisiens et fuient leur pays: Une Tunisie libérée de la dictature mais dont l’économie est à genoux. Une seule solution: Chercher du boulot en Europe.

Pour les aider ici, aucune structure d’urgence. Heureusement deux jeunes femmes viennent briser l’errance…

ETHIOPIE : « Italie, Ethiopie : copains d’abord », un sujet de Pierrick Morel

Si à Rome est le berceau de la civilisation occidentale, l’Ethiopie, elle le berceau de l’humanité. L’Ethiopie, un pays occupé quelques années par l’Italie faciste à la fin des années 30 mais les deux peuples ont sympathisé depuis à l’image de ce héros de documentaire, Dagwami Yimer.

En 2005, Dag quitte le pays et prend la route du désert soudanais. Ses films racontent son voyage et le business de l’immigration, Les passeurs violeurs, la mort en chemin et la honte du clandestin. Il dénonce la police libyenne qui enferme et la complaisance de l’Europe.

A Lampedusa il retrouve les hommes de la police marine italienne qui l’ont appréhendé sur une embarcation de fortune 5 ans plus tôt….

BRESIL : « Calcetto, what else ? » un sujet de Mickael Beurdouche

Les peuples brésilien et italien ont tout pour bien s’entendre car ils pratiquent les deux mêmes religions : le christianisme et le football… A Rome tous les chemins mènent au stade d’ailleurs vous connaissez tous le nom du fameux championnat de football italien, la série A ou Calcio, Calcio qui veut dire football en italien. A part quelques grandes stars brésiliennes qui évoluent dans les grands clubs du Calcio, la nombreuse communauté brésilienne préfère, le Calcetto, le petit calcio, un championnat de foot professionnel super populaire ici avec des équipes qui ne jouent pas à 11 mais à 5… ITW : Eric JOZSEPH, correspondant du Journal  » Libération » à Rome

Enquêtes criminelles : « Meurtre en plein ciel », un documentaire de Mickael Beurdouche, le 21/09 à 20h40 sur W9

Le 18 novembre 2006 à Zwartberg, un aérodrome au nord de la Belgique, quatre amis s’envolent à bord d’un petit avion… Tous sont des parachutistes confirmés, ils ont l’habitude d’effectuer des sauts ensemble.

11h50, le petit Cessna atteint 4700 mètres d’altitude. Le pilote donne le feu vert : tous s’élancent. Ensemble ils doivent former dans les airs une figure : une étoile. Après quelques secondes, les amis parachutistes se séparent.

Arrivés à 1000 mètres d’altitude, chacun déplie sa toile. Seulement, il y a un problème : Els Van Doren, 38 ans, ne réussit pas à ouvrir son parachute. Elle tente aussitôt la procédure d’urgence et actionne la toile de secours. Mais là non plus, elle ne s’ouvre pas.

La jeune femme fonce vers le sol à chacun ouvre son parachute, mais celui de Els Von Doren ne semble pas fonctionner. La parachutiste tombe maintenant à plus de 85 mètres par seconde… Moins de dix secondes plus tard, elle s’écrase au sol.

Quelques minutes plus tard, les secours arrivent sur le lieu de la chute. Il n’y a plus rien à faire : Els Van Doren est morte sur le coup.

En revanche, les premières constatations sont sans appel : le parachute d’Els Van Doren a été saboté. Les policiers se posent alors une seule question : qui pouvait en vouloir à cette mère de famille sans histoire ?

Retour sur cette affaire inédite qui durant près de quatre ans a ténu le Belgique entière en haleine… avec des reconstitutions inédites, tournées en plein ciel avec Mike Brooke, recordman du monde de vitesse en chute libre…