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"Passion Patrimoine : les Pyrénées entre France et Espagne" 
un film réalisé par Philippe Poiret et Franck Dhelens pour Des Racines et Des Ailes, le 07/01 à 20h45 sur France 3

C’est un gigantesque balcon naturel, long de 420 kilomètres.

Les Pyrénées sont l’une des régions les plus touristiques de France. Chaque année, des milliers de visiteurs y viennent pour ses plages, ses montagnes, ses rivières, ses paysages mais aussi pour son climat et sa douceur de vivre.

Pour ce nouveau film de la collection Passion Patrimoine, nous partageons le quotidien de femmes et d’hommes qui y vivent.

Ils sont architectes, vétérinaires-ostéopathes, botanistes, photographes aériens ou encore guides de haute montagne. Ils ont parfois tout quitté pour vivre leur passion et s’installer dans cette région.

Notre périple débute au coeur des panoramas exceptionnels des Hautes-Pyrénées. Eric Soulé de Laffont est médecin. Toute l’année, il survole avec sa femme les Pyrénées françaises et espagnoles. Ils publient des ouvrages qui racontent leurs plus beaux vols de montagne.

Avec plus de 3500 kilomètres de route de montagne, les Pyrénées sont un paradis pour tous les amoureux des grands espaces. Architectes, Pierre Marsan et Vincent Fabre parcourent le massif à moto. Ils recensent les plus beaux monuments et des sites exceptionnels. Comme une maison contemporaine parfaitement intégrée dans un vallon, un monastère troglodytique ou un château du XIème siècle.

Puis direction la Navarre, en Espagne. Sur plus de 42000 hectares, le désert des Bardenas rappelle les décors mythiques de l’Ouest américain. Jean-Gabriel Soula y guide un groupe de français en quête de paysages époustouflants.

Les Pyrénées sont également un vaste réservoir végétal, un trésor méconnu avec 4500 espèces dont 160 sont endémiques. Depuis plus de trente ans, Bernard Bertrand, botaniste de renom, parcourt le massif pour observer et inventorier la végétation. Dans la vallée de Luchon, il enseigne l’usage des plantes sauvages et comestibles à deux guides de haute-montagne.

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« Passion patrimoine : Des Pyrénées à la Polynésie », un film de Dominique Lenglart pour Des Racines et des Ailes, le 26/07 à 20h35 sur TV5 MONDE

Ce nouveau numéro de la collection « Passion patrimoine : les français s’engagent » nous emmène dans le Pacifique et dans le massif des Corbières. Deux patrimoines d’exception.
Qu’ils soient bénévoles, lycéens, archéologues amateurs ou possesseurs d’un savoir-faire ancestral, tous participent activement à la préservation et à la transmission de ces patrimoines parfois méconnus.

Ils sont archéologues amateurs, vitrailliste, lycéens, paysagiste ou encore les derniers à posséder des savoir-faire ancestraux. Avec des architectes et des historiens d’art, ils préservent des patrimoines d’exception…

Dans l’Aude, près de Narbonne, la famille d’Andoque embellit sans cesse un joyau de l’architecture cistercienne, l’abbaye de Fontfroide. Aidés par les bénévoles de l’association « Les amis de Fontfroide », chacun s’attelle à une tâche précise. Si Laure, qui a quitté Paris pour le massif des Corbières, relance le domaine viticole des anciens moines, son père Nicolas veille amoureusement sur son trésor. Après la Restauration des vitraux et la remise à neuf du toit de l’abbatiale, il prépare l’ouverture au public d’une bibliothèque décorée au début du XXè siècle par Odilon Redon. Sa femme Christiane, aidée par une jeune paysagiste, se passionne pour les jardins de Fontfroide. La roseraie, les jardins des sorcières, des abeilles ou des plantes médicinales, autant d’espaces verts qui racontent l’histoire millénaire de l’abbaye.

Loin des contreforts pyrénéens, au milieu de l’océan Pacifique, les habitants de la Polynésie française s’engagent à la sauvegarde de leur patrimoine archéologique et architectural.

Dans les paysages majestueux de l’archipel de Marquises l’archéologue Pierre Ottino, aidé par un couple d’amateurs passionnés, inventorie et protège les sites qui témoignent de la grandeur d’une civilisation qui a presque disparue avec la colonisation. Grâce à leur travail, les fameux grands Tikis polynésiens d’Hiva-Oa devraient pouvoir être sauvés. Sur l’île de Nuku Hiva, avec une association locale, il encadre les lycéens pour reconstruire un village traditionnel. 3ooo kilomètres plus au sud, dans l’archipel des Gambier, la population se mobilise pour sauver la cathédrale de Rikitéa. Un édifice unique bâti à base de corail et décoré de nacre et de perles. Autour de l’architecte en chef des monuments historiques Pierre-Antoine Gatier, les artisans locaux renouent avec les techniques traditionnelles de construction.

L’Aude cistercienne et la Polynésie à la redécouverte de son patrimoine, deux univers et deux formidables terrains de jeu pour les passionnés du patrimoine.

DES RACINES ET DES AILES PASSION PATRIMOINE : LES FRANÇAIS S’ENGAGENT
Histoires de France : Des Pyrénées à la Polynésie
Un film réalisé par Dominique Lenglart

« Joël, le musher des steppes », un reportage de Xavier Luizet, Jérôme Lanteri et Thomas Bourva, le 19/05 à 13h15 dans le magazine REPORTAGES sur TF1

En Mongolie, Joël Rauzy exerce le métier de musher, conducteur de chiens de traîneau. Régulièrement, il organise des expéditions d’une dizaine de jours sur les lacs gelés, auxquelles participent essentiellement des Français

Chaque hiver, il parcourt les rivières et les lacs gelés en compagnie de ses trente-huit chiens. Joël Rauzy est musher : conducteur de chiens de traîneau. Il est le seul en Mongolie : cette activité n’appartient pas à la culture d’Asie centrale. Avec sa compagne Bahina et une petite équipe d’assistants mongols, il organise des expéditions d’une dizaine de jours, auxquelles participent essentiellement des Français. Nous avons suivi l’une d’elles sur le lac de Khusvul, une gigantesque étendue d’eau du nord de la Mongolie, prise par les glaces de décembre à mai. Une féérie de givre et de cristal, par – 25 degrés.

Il y a encore huit ans, Joël était basé en France, dans les Pyrénées, et organisait des raids aux quatre coins du monde. C’est lors d’une de ces expéditions qu’il a eu le coup de foudre pour la Mongolie. Il s’y est établi, séduit par les grands espaces. « Je me suis dit : il y a de la place, il faut tenter le coup ». Depuis, il s’est habitué à une vie spartiate, souvent sans eau courante et avec le minimum d’électricité. Tous les ans au milieu de l’hiver, il transporte ses trente-huit chiens de son camp de base près d’Ulan Bator à son autre camp, situé à la pointe sud du lac de Khusvul.

Joël entretient des rapports étonnants avec ses chiens. Quand Queenie, sa chienne de tête, n’obéit plus à ses ordres, il immobilise brusquement le traîneau pour aller lui mordre l’oreille et lui rappeler qui est le maître. La même Queenie qui le soir, à l’étape, vient lui réclamer des caresses. « Elle vient vers moi parce qu’elle sait qu’elle a bien bossé. Ceux qui ont glandé se planquent », explique le musher avec malice. Joël n’hésite pas à prodiguer lui-même à ses chiens éprouvés par une rude journée de course des massages et des séances de stretching.

Le soir, les voyageurs font étape chez l’habitant, ou dans un campement de yourtes. Ils doivent monter la tente et dormir à même le sol, quand il n’y a pas d’autre habitation aux alentours.

Parmi les trois Français inscrits au raid, il y a Sophie, chimiste à Paris. C’est la troisième fois qu’elle participe à une expédition en chiens de traîneau, et la première fois qu’elle vient en Mongolie. Parée pour les grands froids, elle s’est équipée de deux chapkas, d’un masque anti-froid « façon Hannibal le cannibale », d’énormes chaussures « qui lui font gagner au moins trois pointures ». Elle va apprendre très vite à connaître les six chiens qui composent son attelage. Des chiens, qui lorsqu’ils aboient au moment du départ « lui donnent de l’énergie ». Pour Sophie, cette expédition sur le lac gelé, à travers des paysages d’une beauté minimaliste, est aussi l’occasion de faire le vide… « Tu passes d’une vie en ville où tu es sollicité tout le temps, où ça n’arrête jamais, et tu te retrouves au milieu de nulle part, dans le calme, le silence… C’est ça que je viens chercher ! »

Reportages TF1 / Agence Capa
Xavier Luizet, Jérôme Lanteri & Thomas Bourva

PORTRAITS DE FAMILLES : « Mange, c’est bon pour toi », le 19/10 à 20h35 sur GULLI

PORTRAITS DE FAMILLE, 1er rendez-vous de la série le 19 octobre à 20h35 avec le documentaire

La famille : c’est un refuge qui permet de se protéger d’une société pas toujours tendre. Mais c’est aussi un lieu de construction où s’élaborent des réponses, voire des ripostes aux questions que le monde nous pose. C’est là que s’exerce notre responsabilité de parents pour élever les citoyens de demain.
Ainsi, tous les grands sujets qui font l’actualité trouvent une traduction à l’échelle de la famille. Manger, nourrir sa famille est devenu le nouveau casse-tête de tous les parents. Comment mènent-ils la bataille du sain ?

Selon certains, la malbouffe serait partout… Pour d’autres, on se nourrirait beaucoup mieux aujourd’hui qu’au temps de nos grands parents… Mais les polémiques autour de la Vache folle, des OGM ou des sucres en tout genre brouillent les pistes.

Une chose est sûre : il est de plus en plus compliqué de savoir exactement ce que nous avons dans notre assiette et ce que nous mettons dans celle de nos enfants…
Pour mieux nourrir toute la famille sans devenir complètement paranos, certains ont choisi de se donner les moyens d’avoir une « alimentation santé » parfois aux dépens d’autres choses (de leur temps, de leur porte-monnaie, de leurs propres enfants qui réclament toujours plus de goût sucré).

Ce documentaire sociétal propose le portrait de quatre familles qui, face à l’alimentation ont fait le choix du sain, mais pour des raisons différentes.