Articles

« D comme Débrouille … au Rwanda », un film de Sebastian Perez le 23/09 sur CANAL +

Si Sebastian Perez est parti explorer le Rwanda, c’est pour nous montrer le nouveau visage du pays aux mille collines.

Près de deux décennies après le génocide, une nouvelle génération de Rwandais combat la résignation et a décidé de se prendre en main pour faire face aux problèmes du quotidien. Pourtant, 60 % de la population y vit avec moins de 1 dollar par jour et a bien du mal à accéder aux besoins les plus élémentaires. Mais il y a dans ce petit pays ceux qui grâce au système D réussissent à survivre et à aider leurs proches.

Ce sont ces gens que Sebastian est allé rencontrer. Ceux qui en récupérant des métaux peuvent fournir de l’électricité à tout un village. Ceux qui fabriquent du charbon de bois avec des déchets organiques et même ceux qui se servent d’un savon lessive pour attraper des poissons- chats.

Les Nouveaux Explorateurs : « D Comme Débrouille au Rwanda », un autre regard sur ce pays d’Afrique Centrale dans les pas de Sebastian Perez, le 23 septembre sur CANAL +

« Carnet de voyage au Rwanda : sur les traces des gorilles des montagnes », un reportage de Barbara Conforti pour Envoyé Spécial, le 14/07 à 20h35 sur France 2

Seize ans après un génocide qui a provoqué la mort de plus d’un million de personnes, le Rwanda, le pays aux mille collines, s’ouvre au tourisme. Attirés par ses célèbres gorilles au dos argenté, qui sont désormais protégés dans le parc des Volcans, 20 000 visiteurs sont venus ici l’an dernier. Beaucoup d’Américains et d’Anglais, mais aussi de plus en plus de Français.

Ces gorilles ont longtemps été menacés d’extinction, mais le combat de plusieurs ONG, dont celui de la célèbre primatologue Dian Fossey, a fini par porter ses fruits. La population des gorilles a augmenté de 28% ces dix dernières années. Les scientifiques comptent maintenant près de 400 gorilles dans le massif des Virungas qui s’étend du Rwanda à la République Démocratique du Congo et à l’Ouganda, dans une forêt tropicale très dense, située à une altitude de 2000 à 4000 mètres.

Ces primates attirent les touristes et permettent donc de faire rentrer dans les caisses de l’état des devises étrangères. Par ricochet, ils contribuent ainsi à assurer la paix et la prospérité des communautés rurales.

La pionnière de la défense des gorilles des montagnes, la primatologue américaine Dian Fossey, a été assassinée en 1985 – son combat gênait alors les braconniers et bien peu de Rwandais à l’époque se préoccupaient du sort des gorilles. Mais aujourd’hui, l’animal est devenu un emblême national, une fierté que l’on défend et revendique.

La Fondation de Dian Fossey existe toujours, et elle est plus active que jamais dans l’étude du comportement des gorilles, des primates qui sont aussi les plus proches cousins de l’Homme.

CARNET DE VOYAGE AU RWANDA : SUR LES TRACES DES GORILLES DES MONTAGNES Un reportage de 26′ de Barbara Conforti

Au sommaire de l’Effet Papillon du 5 mars 2011

Ils n’ont pas été primés aux Oscars, mais sont déjà des comédiens émérites, suffisamment crédibles en tout cas pour avoir piégédes organismes d’état,. Leur méthode : solliciter des services d’aides aux personnes défavorisées en se faisant passer pour quelqu’un d’autre, pousser leurs interlocuteurs à la faute, les filmer à leur insu, et balancer le tout sur YouTube. Quand les nouveaux conservateurs montrent leurs bobines, c’est un sujet de SABRINA VAN TASSEL.

Un tsunami de clandestins, c’est la grande peur des européens depuis que le monde arabe fait sa révolution… En un mois, 5300 tunisiens ont accosté sur l’île de LAMPEDUSA, et l’exode pourrait ne pas s’arrêter là, surtout en provenance de Lybie. De quoi nourrir les idées les plus folles, notamment sur la possible infiltration de terroristes parmi les migrants. Pour démonter les rumeurs et faire le point sur cette vague d’immigration, Papillon s’est rendu en Tunisie, dans l’œil du cyclone. CÔTES D’ALERTE, c’est un sujet d’Olivier PONTHUS, avec Akim REZGUI.

CITOYEN MODELE. Au Rwanda, pour trouver un emploi, faite la manche. Sous le régime de Kagamé, on ne laisse pas les jeunes mendier ou dormir à la belle étoile. On s’en charge, on rééduque la misère… en prison ! Les autorités ne parlent pas d’incarcération, mais de programme de réhabilitation : elles façonnent l’homme nouveau. Et peu importe que ces pensionnaires soient détenus, en toute illégalité, sur une île qui a tout d’Alcatraz, et rien de paradisiaque !

Et comme toujours, le planétarium, l’avant-poste et le bonus présentés par Mathieu Droin, Emiland Guillerme et Gregory Leduc.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : cliquez ici >  L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook > c’est par ici !